Spyd et Elliot
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Spyd et Elliot
L’an passé ...
L’été… Cette saison trop chaude, ce soleil brûlant et sans pitié. Bien entendu, il y a la mer non loin du chalet où je pourrais quérir un peu de fraîcheur et m’amuser avec les plus jeunes… Simplement, je sais pertinemment qu’en y allant, se plaisir serait gâché et qu’ils me fuiraient. Donc, je reste allongé dans mon lit, dans cette petite chambre, cet endroit restreint qui me chamboule l’estomac par son odeur et son apparence vieillot, sans oublier le fait que l’humidité pèse mon être et que j’ai la plus grande peine à ne pas régurgiter ma pomme que j’ai difficilement grignoté ce matin. Ô combien cruel d’entendre c’est rire amusé, alors que je m’oblige à rester cloîtrer dans ce donjon crasseux et probablement pourrit !
Puis, j’entend un léger grattement à ma porte, hésitant, mais tout de même persistant. Les yeux légèrement écarquillés par la surprise, je pose mon gris regard sur le bois qui dissimule la personne ou bien la chose de l’autre côté qui semble désirer me rencontrer. Pourquoi maintenant… Je ne suis pas vraiment d’humeur à rencontrer qui que se soit, donc je marmonne un faible « C’est ouvert… » et attend que la personne daigne ouvrir pour finalement découvrir que…
Non ! Pas… Trop tard… Je bondis hors de mon lit, cessant sur le coup de respirer, et je m’agenouille devant elle, la tête basse, aussi piteux qu’un chien qui aurait désobéit à l’ordre de son maître et dont il savait qu’il y aurait des conséquence à ce geste.
« Relève toi !, l’entendis-je siffler entre ses dents avec colère. »
Je déglutis avec peine, sentant mon corps entier trembler et prêt à tomber au sol. Lentement mais sûrement, je parvint à me tenir sur mes jambes, le plus droit possible. J’entrouvre faiblement mes lèvres, désirant m’excuser de ne pas avoir été plus poli envers elle comme je me devais de le faire, mais je n’en ai pas le temps. En effet, une main se pause à ma mâchoire, la serrant de plus en plus fortement. J’essaie de lui dire que je souffre, malgré mon visage grimaçant de douleur qui aurait du le lui faire remarquer, mais n’y parvient pas avec cette souffrance… Je sent également ses ongles pénétrer ma chaire et mes yeux s’embuer de larmes.
« Comme tu étais seul, je voulais te tenir compagnie… Mais ce mauvais comportement m’en dissuade totalement !, me cracha-t-elle au visage. »
Son regard se rive à ma fenêtre et pendant ce court silence, on peut entendre le rire des autres ainsi que les vagues à l’horizon. Un sourire naît à ses lèvres rosées et je sais très bien qu’il n’est pas doux et amicale, mais bien froid et mauvais.
« Je vois que tu t’amuses déjà bien seul ! Je te laisse donc la garde du chalet ! Si tu as besoin de moi, je serai à l’extérieur avec les autres. »
Elle retire finalement sa main, me dévisageant d’un air satisfait, puis me fait volte-face pour prendre la route menant à l’extérieur, sa chevelure rousse virevoltant à chacun de ses pas avec élégances. Mais moi, je reste planté là… Quelques larmes perlant le long de mes joues, tandis que les plaies faites par les ongles sont d’un rouge vif et bien apparente à ma mâchoire et que je relâche l'air contenu en un plaintif soupire. Je n’en peux tout simplement plus…
L’été… Cette saison trop chaude, ce soleil brûlant et sans pitié. Bien entendu, il y a la mer non loin du chalet où je pourrais quérir un peu de fraîcheur et m’amuser avec les plus jeunes… Simplement, je sais pertinemment qu’en y allant, se plaisir serait gâché et qu’ils me fuiraient. Donc, je reste allongé dans mon lit, dans cette petite chambre, cet endroit restreint qui me chamboule l’estomac par son odeur et son apparence vieillot, sans oublier le fait que l’humidité pèse mon être et que j’ai la plus grande peine à ne pas régurgiter ma pomme que j’ai difficilement grignoté ce matin. Ô combien cruel d’entendre c’est rire amusé, alors que je m’oblige à rester cloîtrer dans ce donjon crasseux et probablement pourrit !
Puis, j’entend un léger grattement à ma porte, hésitant, mais tout de même persistant. Les yeux légèrement écarquillés par la surprise, je pose mon gris regard sur le bois qui dissimule la personne ou bien la chose de l’autre côté qui semble désirer me rencontrer. Pourquoi maintenant… Je ne suis pas vraiment d’humeur à rencontrer qui que se soit, donc je marmonne un faible « C’est ouvert… » et attend que la personne daigne ouvrir pour finalement découvrir que…
Non ! Pas… Trop tard… Je bondis hors de mon lit, cessant sur le coup de respirer, et je m’agenouille devant elle, la tête basse, aussi piteux qu’un chien qui aurait désobéit à l’ordre de son maître et dont il savait qu’il y aurait des conséquence à ce geste.
« Relève toi !, l’entendis-je siffler entre ses dents avec colère. »
Je déglutis avec peine, sentant mon corps entier trembler et prêt à tomber au sol. Lentement mais sûrement, je parvint à me tenir sur mes jambes, le plus droit possible. J’entrouvre faiblement mes lèvres, désirant m’excuser de ne pas avoir été plus poli envers elle comme je me devais de le faire, mais je n’en ai pas le temps. En effet, une main se pause à ma mâchoire, la serrant de plus en plus fortement. J’essaie de lui dire que je souffre, malgré mon visage grimaçant de douleur qui aurait du le lui faire remarquer, mais n’y parvient pas avec cette souffrance… Je sent également ses ongles pénétrer ma chaire et mes yeux s’embuer de larmes.
« Comme tu étais seul, je voulais te tenir compagnie… Mais ce mauvais comportement m’en dissuade totalement !, me cracha-t-elle au visage. »
Son regard se rive à ma fenêtre et pendant ce court silence, on peut entendre le rire des autres ainsi que les vagues à l’horizon. Un sourire naît à ses lèvres rosées et je sais très bien qu’il n’est pas doux et amicale, mais bien froid et mauvais.
« Je vois que tu t’amuses déjà bien seul ! Je te laisse donc la garde du chalet ! Si tu as besoin de moi, je serai à l’extérieur avec les autres. »
Elle retire finalement sa main, me dévisageant d’un air satisfait, puis me fait volte-face pour prendre la route menant à l’extérieur, sa chevelure rousse virevoltant à chacun de ses pas avec élégances. Mais moi, je reste planté là… Quelques larmes perlant le long de mes joues, tandis que les plaies faites par les ongles sont d’un rouge vif et bien apparente à ma mâchoire et que je relâche l'air contenu en un plaintif soupire. Je n’en peux tout simplement plus…
Elliot Devost- Nombre de messages : 380
Age : 34
Date d'inscription : 09/09/2007
Personnage
Maison: Slytherin
Études: Septième année
Âge: 18 ans
Re: Spyd et Elliot
J’ai préféré, où plutôt j’ai vue plus apte à me tirer du lot, n’ayant pas de préférance, n’étant pas apte à avoir de préférance, me gardant cette constante neutralité émotionnel. Pourquoi, parce que techniquement, moi spyd le gentil cousin, ne fait pas partie d’un monde à qui les jumeaux ouvre leur porte, parce que moi Spyd le cousin compatissant n’ai pas le papa chérie d’Eddie et que Je ne suis pas le silence et la solitude que kanda semble affectionné c’est temps si. Alors je m’extirpe de se troupeau d’enfant pour rentrer au chalet. Je monte doucement les escaliers du chalet d’un air morne et sans vie, celle qui m’ai naturel, et oui je n’ai rien de bien attirant et attréyant de cette façon vous ne trouvez pas ? Neutre et ne dégageant que cet étoufant charisme.
J’entend des pas feutrés glisser le long des planches de bois vielles d’une cinquantaine d’année. J’affiche un léger sourire, sans exagération, pour cette personne plus que suceptible envers qui nous devons un respect impeccable. Je la vois, autaine et gracieuse, decendre lentement les escalier, relevant le bas de ça robe tel une reine. Arrivé à ma heuteur elle s’arrêtte, attandant des louange qu’elle ne mériterais pas selon certain.
-Tante Sophia, vous êtes toujours aussi radieuse à se que je peux voir. Dis-je en m’inclinant tel le gentleman que je joue.
- Si seulement mes fils étaient tous comme toi cher enfant. Dit-elle d’un ton mielleux.
Elle passe une main douce, qui pourtant ne donne aucun doute sur ça rudesse habituelle envers ses enfants, dans les quelques mêches noirs qui ne tenait pas dans ma queue de cheval particulièrement sérré, pour la decendre sous mon menton et relever mon visage. Elle laisse un baiser humide sur ma joue comme si je venais de vivre la bénédiction d’une reine. Puis elle me laisse et quitte pour aller rejoindre les autres adultes restés à l’extérieur, exepté mon père qui lui c’était enfermé dans une chambre qu’il avait prestement transformé en laboratoire. À cette pensé, je me rappel le but de ma présence dans les marches, étant le chemin en direction de ce « Laboratoire » en question.
Pourtant, je change mes plans en cours de route et birfuque vers la droit dans une toute nouvelle direction. Dépassant quelques portes de chambre parfois fermés, d’autre ouvertes d’où l’on pouvait voir les vêtements jonchés le sol ou encore le lit fait à la hâte. J’arrive finalement à destination, la porte entre-ouverte. J’entre sans en demandé la permission, il est évidant que je ne l’aurais pas obtenu. Je me retrouve devant un corp svelte, qu’asi féminin, assis en tailleur sur son lit, me tournant le dos. Cette être si froid et glaciale en apparence, semble bien mal en point.
J’enlêve les écouteurs – appareille permettant d’écouter de la musique sans en dérangé les voisins (moldu) – au tour de mon cou, attrappe le lecteur – appareille contenant des morceaux de musique (moldu) – que j’ai légèrement trafiqué bien sur, lui donne deux légés coups de baguette en prononçant mentalement une formul, et l’appareille se met en marche et recherche automatiquement un musique appaisante et douce. J’ambarque sur le lit, passant mes deux bras au tour du coup de mon cousin, lui passant par la même occasion les écouteurs sur les oreilles et enfouie mon visage dans son cou en le serrant un peu contre moi. Ainsi, il ne pouvait plus les entendres ses deux démons. Source et point faible principale d’Elliot. Ainsi, il pouvait pleurer et oublier la dur réalité qui l’entourait, pendant un cour moment de tranquillité et de bien être. Comme j’aimerais pouvoir oublié, comme j’aimerais ne pas avoir à joué et me rendre compte que je déteste … quoi ? Suis-je programmé pour détesté quelque chose ? non bien sur que non, pas plus probable que le fait d’être programmé pour avoir une préférence ? Doucement je m’assoupi contre son dos frêle qui pourtant, semble me suporter facilement. Se poids sur tes épaules serait-il plus lourd que le miens, au point de pouvoir me suporter. Avoir ces sentiments, est-ce plus difficile que de ne pas en avoir ? Dis Eliot ?
J’entend des pas feutrés glisser le long des planches de bois vielles d’une cinquantaine d’année. J’affiche un léger sourire, sans exagération, pour cette personne plus que suceptible envers qui nous devons un respect impeccable. Je la vois, autaine et gracieuse, decendre lentement les escalier, relevant le bas de ça robe tel une reine. Arrivé à ma heuteur elle s’arrêtte, attandant des louange qu’elle ne mériterais pas selon certain.
-Tante Sophia, vous êtes toujours aussi radieuse à se que je peux voir. Dis-je en m’inclinant tel le gentleman que je joue.
- Si seulement mes fils étaient tous comme toi cher enfant. Dit-elle d’un ton mielleux.
Elle passe une main douce, qui pourtant ne donne aucun doute sur ça rudesse habituelle envers ses enfants, dans les quelques mêches noirs qui ne tenait pas dans ma queue de cheval particulièrement sérré, pour la decendre sous mon menton et relever mon visage. Elle laisse un baiser humide sur ma joue comme si je venais de vivre la bénédiction d’une reine. Puis elle me laisse et quitte pour aller rejoindre les autres adultes restés à l’extérieur, exepté mon père qui lui c’était enfermé dans une chambre qu’il avait prestement transformé en laboratoire. À cette pensé, je me rappel le but de ma présence dans les marches, étant le chemin en direction de ce « Laboratoire » en question.
Pourtant, je change mes plans en cours de route et birfuque vers la droit dans une toute nouvelle direction. Dépassant quelques portes de chambre parfois fermés, d’autre ouvertes d’où l’on pouvait voir les vêtements jonchés le sol ou encore le lit fait à la hâte. J’arrive finalement à destination, la porte entre-ouverte. J’entre sans en demandé la permission, il est évidant que je ne l’aurais pas obtenu. Je me retrouve devant un corp svelte, qu’asi féminin, assis en tailleur sur son lit, me tournant le dos. Cette être si froid et glaciale en apparence, semble bien mal en point.
J’enlêve les écouteurs – appareille permettant d’écouter de la musique sans en dérangé les voisins (moldu) – au tour de mon cou, attrappe le lecteur – appareille contenant des morceaux de musique (moldu) – que j’ai légèrement trafiqué bien sur, lui donne deux légés coups de baguette en prononçant mentalement une formul, et l’appareille se met en marche et recherche automatiquement un musique appaisante et douce. J’ambarque sur le lit, passant mes deux bras au tour du coup de mon cousin, lui passant par la même occasion les écouteurs sur les oreilles et enfouie mon visage dans son cou en le serrant un peu contre moi. Ainsi, il ne pouvait plus les entendres ses deux démons. Source et point faible principale d’Elliot. Ainsi, il pouvait pleurer et oublier la dur réalité qui l’entourait, pendant un cour moment de tranquillité et de bien être. Comme j’aimerais pouvoir oublié, comme j’aimerais ne pas avoir à joué et me rendre compte que je déteste … quoi ? Suis-je programmé pour détesté quelque chose ? non bien sur que non, pas plus probable que le fait d’être programmé pour avoir une préférence ? Doucement je m’assoupi contre son dos frêle qui pourtant, semble me suporter facilement. Se poids sur tes épaules serait-il plus lourd que le miens, au point de pouvoir me suporter. Avoir ces sentiments, est-ce plus difficile que de ne pas en avoir ? Dis Eliot ?
Spyd Devost- Génétiquement Manipulateur
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Age : 34
Date d'inscription : 11/09/2007
Personnage
Maison: Ravenclaw
Études: Sixième année
Âge: 16 ans
Re: Spyd et Elliot
Je ne peux même plus voir son ombre gracile et pâle sur le mur à l’avant des escaliers, mais sa voix se fait encore entendre et résonne à ma tête douloureusement, comme si une personne malveillante m’avais jeté un sort qui martèlerais mon crâne. J’y porte une main tremblante, mes doigts effleurant, au passage, les sillons argentés qui demeurent à mes joues. Mes vertiges recommencent et je décide de retourner sur mon lit, donnant, au passage, un faible coup sur ma porte afin qu’elle se referme, mais une ouverture est encore apparente.
Je grimpe sur mon lit félinement, ne désirant pas faire trop de bruit qui pourrait accentuer cette douleur pénible et me fige en regardant les personnes à l’extérieur, les sourires à leur visage, leur amusement,… Abattu, je m’assis sur mon lit, ne quittant pas du regard cette scène qui me déchire entre le bonheur de les voir si plein d’énergie et la douleur de ne pouvoir y être. Je ne suis plus vraiment là, mais en même temps j’y suis… Je rêvasse à un monde meilleur, à une autre vie que celle misérable vécue à chacun des mes jours. Pourquoi est-ce que j’ai accepté d’avoir le rôle du mauvais, celui que tous détestes… ? Je ressens à nouveau mes yeux brûler intensément et laisse les larmes s’en échapper, sachant que désormais je suis seul dans ma tristesse…
Puis, je sens un poids grimper sur mon lit, derrière moi… Surpris et légèrement apeuré puisque je n’ai pas entendu âme qui vive s’approcher ou même entrer, je n’ai pas le temps de me retourner pour voir qui est là que mes oreilles se retrouvent couvertes et qu’une musique réconfortante coule à mon être. Je pose mon regard écarquillé sur les bras liés à mon cou, devinant facilement que mon cousin était venu me voir. Fronçant l’arcade sourcilière, je le sentais collé à moi, sa tête à ma nuque et quelques mèches ébènes, comme ma propre chevelure, caresser ma peau. J’entrouvre les lèvres pour parler, mais ma gorge se serre et j’abandonne l’idée, décidant de poser les mains sur celles de Spyd. Pourquoi… Pourquoi fais-tu ça pour moi ?
La seule voix désormais perceptible est celle d’une femme, calme et apaisante telle une mère… Une vraie mère qui réconforterait son enfant dont le cauchemar empêcherait son sommeil troublé. Je suis bien mais mon orgueil m’empêche de rester dans la position de faiblard dans laquelle je me trouve, avec lui m’entourant de ses bras… Déjà que j’ai l’apparence d’une fille, l’avoir comme cela, protecteur et compatissant… Je frémis légèrement et, comme j’ai toujours les mains sur ses bras, je les détache de mon cou, essuyant par la suite les traces de ma tristesse. Je retire les écouteurs, lui tendant dans un silence total, dans un absence de parole flagrant. Je ne veux pas… Ne peux pas être dans cette situation… Je sent à mon cœur le besoin de cette affection rejetée, mais ne peux me résoudre à l’accepter comme cela. Je penche légèrement la tête vers l’avant, piteux et marmonne un faible :
« Un problème ?, presque inaudible, d’une voix que je veux comme à mon habitude, détaché et dure, mais le résultat n’est pas réellement convainquant… »
Puis je reste là, soutenant toujours cette personne à mon dos, regrettant ses bras, regrettant cette musique… Le rire des jumeaux se fait entendre à nouveau… Je veux pleurer, je veux la paix ! Ma propre mère me hait, alors tous devraient me rejeter… Il perd son temps avec moi, ou plutôt je perd mon temps à rejeter les autres qui essaient de m’aider…
Je grimpe sur mon lit félinement, ne désirant pas faire trop de bruit qui pourrait accentuer cette douleur pénible et me fige en regardant les personnes à l’extérieur, les sourires à leur visage, leur amusement,… Abattu, je m’assis sur mon lit, ne quittant pas du regard cette scène qui me déchire entre le bonheur de les voir si plein d’énergie et la douleur de ne pouvoir y être. Je ne suis plus vraiment là, mais en même temps j’y suis… Je rêvasse à un monde meilleur, à une autre vie que celle misérable vécue à chacun des mes jours. Pourquoi est-ce que j’ai accepté d’avoir le rôle du mauvais, celui que tous détestes… ? Je ressens à nouveau mes yeux brûler intensément et laisse les larmes s’en échapper, sachant que désormais je suis seul dans ma tristesse…
Puis, je sens un poids grimper sur mon lit, derrière moi… Surpris et légèrement apeuré puisque je n’ai pas entendu âme qui vive s’approcher ou même entrer, je n’ai pas le temps de me retourner pour voir qui est là que mes oreilles se retrouvent couvertes et qu’une musique réconfortante coule à mon être. Je pose mon regard écarquillé sur les bras liés à mon cou, devinant facilement que mon cousin était venu me voir. Fronçant l’arcade sourcilière, je le sentais collé à moi, sa tête à ma nuque et quelques mèches ébènes, comme ma propre chevelure, caresser ma peau. J’entrouvre les lèvres pour parler, mais ma gorge se serre et j’abandonne l’idée, décidant de poser les mains sur celles de Spyd. Pourquoi… Pourquoi fais-tu ça pour moi ?
La seule voix désormais perceptible est celle d’une femme, calme et apaisante telle une mère… Une vraie mère qui réconforterait son enfant dont le cauchemar empêcherait son sommeil troublé. Je suis bien mais mon orgueil m’empêche de rester dans la position de faiblard dans laquelle je me trouve, avec lui m’entourant de ses bras… Déjà que j’ai l’apparence d’une fille, l’avoir comme cela, protecteur et compatissant… Je frémis légèrement et, comme j’ai toujours les mains sur ses bras, je les détache de mon cou, essuyant par la suite les traces de ma tristesse. Je retire les écouteurs, lui tendant dans un silence total, dans un absence de parole flagrant. Je ne veux pas… Ne peux pas être dans cette situation… Je sent à mon cœur le besoin de cette affection rejetée, mais ne peux me résoudre à l’accepter comme cela. Je penche légèrement la tête vers l’avant, piteux et marmonne un faible :
« Un problème ?, presque inaudible, d’une voix que je veux comme à mon habitude, détaché et dure, mais le résultat n’est pas réellement convainquant… »
Puis je reste là, soutenant toujours cette personne à mon dos, regrettant ses bras, regrettant cette musique… Le rire des jumeaux se fait entendre à nouveau… Je veux pleurer, je veux la paix ! Ma propre mère me hait, alors tous devraient me rejeter… Il perd son temps avec moi, ou plutôt je perd mon temps à rejeter les autres qui essaient de m’aider…
Elliot Devost- Nombre de messages : 380
Age : 34
Date d'inscription : 09/09/2007
Personnage
Maison: Slytherin
Études: Septième année
Âge: 18 ans
Re: Spyd et Elliot
-Peut-être, qui sait ? ai-je ajouté sur une note joyeuse.
J’enfoui une main dans ça toison d’ébène et sourie doucement. Je ne comprends pas. Je n’y arrive pas. Pourquoi les gens s’obstinent t-ils à s’encombrer de sentiment. À s’attacher aux autres alors que l’on sait pertinemment que cela n’aboutie qu’à des inconvénients, des encombrements et du négatif. On m’a dit, qu’il n’y avait pas seulement des côtés négatifs dans tout ça. Pourtant, je voix bien qu’ils sont plutôt rares ces situations positives qui semblerais, selon certain, valoir la peine de vivre ses regrets. Moi qui vie dans cette ignorance je n’ai pas de problème a vivre, puis que je ne ressent pas vraiment de déception ? ….. En suis-je vraiment certain ? Vous savez, j’ai une certaine difficulté à me comprendre moi-même. J’ai parfois l’impression d’être capable d’éprouvé une certaine déception à mon existence, pourtant, elle fini la plupart du temps par s’envolé comme une mèche de cheveux que l’on écarte du revers de la main la plaçant confortablement derrière son oreille. Mais, la mèche reviens, plus rebelle, plus insistante, plus insupportable encore.
Je pose mes yeux sur Elliot, toujours malheureux et constamment tourmenté. Pourquoi ? Parce que c’est ainsi que l’on devrait être, parce que c’est ce que l’on appelle la nature humaine ? Alors, je ne suis pas humain ? N’est-ce pas ? C’est là que je peux ressentir se sentiment de déception, qui me donne l’espoir l’instant de moment de pouvoir croire que, je suis peut-être, un peu, juste un tout petit peu, humain. Puis l’idée s’envole comme une feuille en automne, comme si, jamais, je n’avais ressentie quelque chose en particulier, que c’était un semblant de sentiment que je tentais de créer, un espèce de réplique, quelque chose d’artificielle. Je me couche complètement sur Elliot de façon à l’écrasé dans le matelas, un immense sourire aux lèvres.
-Eliliiiiiii … t’aime pas ma musique ? Dis-je d’un ton boudeur. Veux des câlins mouaaa !
Puis je le sers un peu plus fort contre moi, avec un léger rire, doux, mais assez fort pour enterré les jumeaux. Je ne possède ni sentiment ni conscience moral, mais je suis fabriqué pour me faire aimé. Peut-être, en même temps et inconsciemment, je puis aidé les gens, sans que je ne m’en rende compte véritablement.
J’enfoui une main dans ça toison d’ébène et sourie doucement. Je ne comprends pas. Je n’y arrive pas. Pourquoi les gens s’obstinent t-ils à s’encombrer de sentiment. À s’attacher aux autres alors que l’on sait pertinemment que cela n’aboutie qu’à des inconvénients, des encombrements et du négatif. On m’a dit, qu’il n’y avait pas seulement des côtés négatifs dans tout ça. Pourtant, je voix bien qu’ils sont plutôt rares ces situations positives qui semblerais, selon certain, valoir la peine de vivre ses regrets. Moi qui vie dans cette ignorance je n’ai pas de problème a vivre, puis que je ne ressent pas vraiment de déception ? ….. En suis-je vraiment certain ? Vous savez, j’ai une certaine difficulté à me comprendre moi-même. J’ai parfois l’impression d’être capable d’éprouvé une certaine déception à mon existence, pourtant, elle fini la plupart du temps par s’envolé comme une mèche de cheveux que l’on écarte du revers de la main la plaçant confortablement derrière son oreille. Mais, la mèche reviens, plus rebelle, plus insistante, plus insupportable encore.
Je pose mes yeux sur Elliot, toujours malheureux et constamment tourmenté. Pourquoi ? Parce que c’est ainsi que l’on devrait être, parce que c’est ce que l’on appelle la nature humaine ? Alors, je ne suis pas humain ? N’est-ce pas ? C’est là que je peux ressentir se sentiment de déception, qui me donne l’espoir l’instant de moment de pouvoir croire que, je suis peut-être, un peu, juste un tout petit peu, humain. Puis l’idée s’envole comme une feuille en automne, comme si, jamais, je n’avais ressentie quelque chose en particulier, que c’était un semblant de sentiment que je tentais de créer, un espèce de réplique, quelque chose d’artificielle. Je me couche complètement sur Elliot de façon à l’écrasé dans le matelas, un immense sourire aux lèvres.
-Eliliiiiiii … t’aime pas ma musique ? Dis-je d’un ton boudeur. Veux des câlins mouaaa !
Puis je le sers un peu plus fort contre moi, avec un léger rire, doux, mais assez fort pour enterré les jumeaux. Je ne possède ni sentiment ni conscience moral, mais je suis fabriqué pour me faire aimé. Peut-être, en même temps et inconsciemment, je puis aidé les gens, sans que je ne m’en rende compte véritablement.
Dernière édition par le Ven 14 Sep - 11:58, édité 2 fois
Spyd Devost- Génétiquement Manipulateur
- Nombre de messages : 173
Age : 34
Date d'inscription : 11/09/2007
Personnage
Maison: Ravenclaw
Études: Sixième année
Âge: 16 ans
Re: Spyd et Elliot
Peut-être, qui sait…
Sa voix est joyeuse, contrastant parfaitement avec mon humeur plutôt basse et mes regrets qui n’en finissent plus. Il est encore là, décidemment tenace, posant une main à ma noire chevelure sans gêne. Je relève la tête, l’ombre d’un sourire flottant à mes lèvres, mais il ne le saura jamais puisque mon dos ne peut rien révéler de mon état.
Ma mère m’a si souvent blessée, tant émotionnellement que physiquement, et laissé en pleure ou au bord des larmes sans même s’en préoccuper... Je ne l’aime pas, mais c’est elle qui me permet de vivre… Sans elle je n’aurais ni foyer, ni même l’argent pour pouvoir payer l’école et tout le matériel requis pour les nombreux cours. Je dois donc mon entière obéissance et tout mon respect à cette femme qui me blesse et qui m’aide à la fois… Cette main qui nourrie et qui gifle, qui protège et qui attaque…
Je repose mon regard à la voûte céleste d’un pâle bleuté, ornée par quelques nuages blanchâtres, malgré ce poids toujours présent à mon dos. Je tourne faiblement la tête vers lui, reprenant mon air, dissimulant mon sourire. J’ai à peine bougé la tête, que je le sens peser davantage m’écraser. Je retiens difficilement un juron, tandis qu’il est maintenant parfaitement couché sur moi qui tente désespérément de revenir à ma position assise. C’est … Lourdddddddddddd… J’abandonne l’idée et me contente de me retirer avec difficulté de sous cette masse qui aura tôt fait de m’étouffer. Toujours couché et dans ses bras, à son côté au lieu de sous, je fronce les sourcils et un air inquisiteur se peint à mon visage, mais je ne réussi pas réellement à être fâché contre lui et sa gaieté. Qui pourrait d’ailleurs y parvenir ? Je ne comprends pas ses gestes envers moi, mais au moins j’oublie peu à peu tout mes soucis.
« Ce n’est pas que je ne l’aimais pas ta musique !, dis-je d’une manière plus assuré que la dernière fois. Mon air est presque comme à son habitude, hormis la pointe d’amusement que l’on peut y ressentir. Lorsque j'entends cette deuxième phrase, je cesse de répondre à la question au sujet de la musique et répond subitement. Tu veux des câlins et alors ? »
D’accord, je l’avoue, de toute la famille, il est l’un des moins pires. Mais, de là à lui montrer mon affection comme ça, l’enlacer. Alors non ! J’hausse un sourcil, l’air de ne pas comprendre cette requête, ou plutôt espérant ne pas la comprendre. Il ne peut pas voir mon visage, mais simplement ma voix doit lui faire comprendre que je ne veux pas l’enlacer. Et puis, de toute façon, de quoi se plaint-il ? Il ne m’a pas encore lâché après tout ! Mais, je ne lui partage cette soudaine pensée, puisqu’à nouveau il agit avant même que je ne pose un geste. Ses bras se resserrent autour de moi et son rire retentit dans la pièce, me faisant complètement oublié les jumeaux et les autres qui s’amusent sur la plage.
Je me sens mieux, je veux le remercier mais ne préfère pas puisque ce n’est pas dans ma nature d’agir ainsi envers les autres. Il m’amuse et apaise ma peine, sachant que les jumeaux et ma mère en sont la cause.
« Mais, pourquoi es-tu ici ?, je n’avais pas pensé à cela. Pourquoi est-il ici, avec moi ?, comment a-t-il découvert ma douleur et ma solitude … »
Je laisse à nouveau le silence s’établir, ne me débattant plus pour me sortir de cette cage. Il m’a trouvé lors d’un moment de vulnérabilité, c’est le premier à m’aider ainsi suite à une attaque de ma mère…
Sa voix est joyeuse, contrastant parfaitement avec mon humeur plutôt basse et mes regrets qui n’en finissent plus. Il est encore là, décidemment tenace, posant une main à ma noire chevelure sans gêne. Je relève la tête, l’ombre d’un sourire flottant à mes lèvres, mais il ne le saura jamais puisque mon dos ne peut rien révéler de mon état.
Ma mère m’a si souvent blessée, tant émotionnellement que physiquement, et laissé en pleure ou au bord des larmes sans même s’en préoccuper... Je ne l’aime pas, mais c’est elle qui me permet de vivre… Sans elle je n’aurais ni foyer, ni même l’argent pour pouvoir payer l’école et tout le matériel requis pour les nombreux cours. Je dois donc mon entière obéissance et tout mon respect à cette femme qui me blesse et qui m’aide à la fois… Cette main qui nourrie et qui gifle, qui protège et qui attaque…
Je repose mon regard à la voûte céleste d’un pâle bleuté, ornée par quelques nuages blanchâtres, malgré ce poids toujours présent à mon dos. Je tourne faiblement la tête vers lui, reprenant mon air, dissimulant mon sourire. J’ai à peine bougé la tête, que je le sens peser davantage m’écraser. Je retiens difficilement un juron, tandis qu’il est maintenant parfaitement couché sur moi qui tente désespérément de revenir à ma position assise. C’est … Lourdddddddddddd… J’abandonne l’idée et me contente de me retirer avec difficulté de sous cette masse qui aura tôt fait de m’étouffer. Toujours couché et dans ses bras, à son côté au lieu de sous, je fronce les sourcils et un air inquisiteur se peint à mon visage, mais je ne réussi pas réellement à être fâché contre lui et sa gaieté. Qui pourrait d’ailleurs y parvenir ? Je ne comprends pas ses gestes envers moi, mais au moins j’oublie peu à peu tout mes soucis.
« Ce n’est pas que je ne l’aimais pas ta musique !, dis-je d’une manière plus assuré que la dernière fois. Mon air est presque comme à son habitude, hormis la pointe d’amusement que l’on peut y ressentir. Lorsque j'entends cette deuxième phrase, je cesse de répondre à la question au sujet de la musique et répond subitement. Tu veux des câlins et alors ? »
D’accord, je l’avoue, de toute la famille, il est l’un des moins pires. Mais, de là à lui montrer mon affection comme ça, l’enlacer. Alors non ! J’hausse un sourcil, l’air de ne pas comprendre cette requête, ou plutôt espérant ne pas la comprendre. Il ne peut pas voir mon visage, mais simplement ma voix doit lui faire comprendre que je ne veux pas l’enlacer. Et puis, de toute façon, de quoi se plaint-il ? Il ne m’a pas encore lâché après tout ! Mais, je ne lui partage cette soudaine pensée, puisqu’à nouveau il agit avant même que je ne pose un geste. Ses bras se resserrent autour de moi et son rire retentit dans la pièce, me faisant complètement oublié les jumeaux et les autres qui s’amusent sur la plage.
Je me sens mieux, je veux le remercier mais ne préfère pas puisque ce n’est pas dans ma nature d’agir ainsi envers les autres. Il m’amuse et apaise ma peine, sachant que les jumeaux et ma mère en sont la cause.
« Mais, pourquoi es-tu ici ?, je n’avais pas pensé à cela. Pourquoi est-il ici, avec moi ?, comment a-t-il découvert ma douleur et ma solitude … »
Je laisse à nouveau le silence s’établir, ne me débattant plus pour me sortir de cette cage. Il m’a trouvé lors d’un moment de vulnérabilité, c’est le premier à m’aider ainsi suite à une attaque de ma mère…
Elliot Devost- Nombre de messages : 380
Age : 34
Date d'inscription : 09/09/2007
Personnage
Maison: Slytherin
Études: Septième année
Âge: 18 ans
Re: Spyd et Elliot
Pourquoi ? Parce que, je suis comme ça. J'ai été conçus comme ça. Je dois être aimé, connaître mon ennemie. Ennemie, Lequel ? pourquoi ? Je ne sais pas. Tout le monde selon mon père, parce que mon père en a décidé ainsi. Parce que c'est ainsi que dois se passer les choses. Parce que, mais jamais dans une réponce nette. Embiguité, mes idée sont flous. Je suis un mélange de tout sans ne jamais pouvoir moi même me sortir de toutes cet épais brouillard. Ne sachant pas vraiment le pourquoi du comment j'agi, j'agi et c'est tout.
- Et toi, pourquoi pleure tu Elliot ?
Ma voix chage, plus douce, moins enfantine. L'instant d'un simple moment. Cruelle de lui faire rapeller ça tristesse. Peut-être, qu'es-ce que la cruauté pour vous ? Moi, je n'en connais même pas le sence et le sentiment. Seulement, je sais très bien qu'il doit se poser la question. Je dois lui poser la question, car il ne dois pas retomber durment dans la réalité, il dois garder un pied au sol. Sinon, je ne pourais savoir et connaître se qui se passe dans ta tête. Et c'est important. Pourquoi ? Je ne sais pas. C'est important selon mon père. J'agi c'est tout. Le retourne vers moi et lui souris d'un immence sourire qui me dévore le visage.
-C'est parce que t'a pas eu de biscuit, dit-je sur un ton naïf, retrouvant cette gaité enfantine.
Je fait une petite mine boudeuse, comme si je compatisait cette trsitesse face à la perte des femeux biscuits que Zakary nous prépart à chaque année. Compassion. AI-je déjà véritablement ressentit de la compassion... J'ai beau chercher, je ne trouve pas. J'ai beau me creusé la tête, je ne comprend pas. Les sentiments sont des choses si compliqués, si seulement j'arrivais à en comprendre le sens et le but, si seulement j'arrivais à en exprimé. Serais-je .... humain ?
Je glisse une main contre les plait encore rougâtre sur son mentonet le regarde légèrement inquiet. inquietude. Tant de sentiment pour un si petit univers, comment faire pour tout les apprendre, les ressentir.
-T'es tombé Elliot ? Maman me disait qu'on devait embrassé la plaît pour que ça guérisse ! Tu veux que je te guérisse Elliot ? ajoutais-je suite à mon geste.
On disait que les enfants était naïf, mais très intelligent, c'est plutôt contradictoire. Les enfants ont des parents pour les guider, ont des mère pour les aimés. Ai-je déjà été enfant. Ne suis-je pas normal parce que je n'ai jamais eu de mère. Dit Elliot ? Ta maman, elle t'a déjà donné de l'amour ?
- Et toi, pourquoi pleure tu Elliot ?
Ma voix chage, plus douce, moins enfantine. L'instant d'un simple moment. Cruelle de lui faire rapeller ça tristesse. Peut-être, qu'es-ce que la cruauté pour vous ? Moi, je n'en connais même pas le sence et le sentiment. Seulement, je sais très bien qu'il doit se poser la question. Je dois lui poser la question, car il ne dois pas retomber durment dans la réalité, il dois garder un pied au sol. Sinon, je ne pourais savoir et connaître se qui se passe dans ta tête. Et c'est important. Pourquoi ? Je ne sais pas. C'est important selon mon père. J'agi c'est tout. Le retourne vers moi et lui souris d'un immence sourire qui me dévore le visage.
-C'est parce que t'a pas eu de biscuit, dit-je sur un ton naïf, retrouvant cette gaité enfantine.
Je fait une petite mine boudeuse, comme si je compatisait cette trsitesse face à la perte des femeux biscuits que Zakary nous prépart à chaque année. Compassion. AI-je déjà véritablement ressentit de la compassion... J'ai beau chercher, je ne trouve pas. J'ai beau me creusé la tête, je ne comprend pas. Les sentiments sont des choses si compliqués, si seulement j'arrivais à en comprendre le sens et le but, si seulement j'arrivais à en exprimé. Serais-je .... humain ?
Je glisse une main contre les plait encore rougâtre sur son mentonet le regarde légèrement inquiet. inquietude. Tant de sentiment pour un si petit univers, comment faire pour tout les apprendre, les ressentir.
-T'es tombé Elliot ? Maman me disait qu'on devait embrassé la plaît pour que ça guérisse ! Tu veux que je te guérisse Elliot ? ajoutais-je suite à mon geste.
On disait que les enfants était naïf, mais très intelligent, c'est plutôt contradictoire. Les enfants ont des parents pour les guider, ont des mère pour les aimés. Ai-je déjà été enfant. Ne suis-je pas normal parce que je n'ai jamais eu de mère. Dit Elliot ? Ta maman, elle t'a déjà donné de l'amour ?
Spyd Devost- Génétiquement Manipulateur
- Nombre de messages : 173
Age : 34
Date d'inscription : 11/09/2007
Personnage
Maison: Ravenclaw
Études: Sixième année
Âge: 16 ans
Re: Spyd et Elliot
Pourquoi est-ce que je pleures ? Mon air s’assombrit à nouveau et je baisse la tête vers l’avant, replongeant dans le moment présent, redescendant à cette dure réalité qu’est la mienne. J’étais bien, j’avais perdu cette tristesse… Je pose une main à mon visage, cachant mon regard, écartant très lentement mes lèvres afin d’entamer une réponse.
« Je ne sais plus quoi faire… Quoi dire… J…, commençais-je d’une voix incertaine. »
Mais je coupe ma parole nette, le sentant me tourner vers lui et je retire ma main de mon visage, afin de regarder le sien souriant. Je ne termine pas ma réponse puisqu’elle n’en vaut pas réellement la peine, il le sait déjà sans doute, avant même que je ne lui dise, qui sont ses personnes qui mutilent mon être. Je m’attarde plutôt à écouter son hypothèse farfelue, haussant un sourcil inquisiteur tout en me demandant si réellement il était sérieux. J’opte pour le non, même si sa voix semblait enfantine et amusée et qu’il ajoute à ses mots un petit air grognon face à cette fameuse histoire de biscuit. C’est vrai que les biscuits d’oncle Zakary… Je secoue quelque peu la tête, trouvant que mes pensées commençaient à dérouter.
J’écarquille légèrement les yeux lorsque je sent les doigts de Spyd se poser à mon menton, à mes blessures, sans toutefois me causer une douleur atroce. Je sent une légère brûlure mais rien de comparable à ce que mère fait… Mère…
Mon cousin semble se préoccuper de mes blessures et je lui en suis reconnaissant… Seulement, à ses paroles, je me contente de le regarder d’un air surpris, déconcerté… Embrasser mes plaies ?! Déjà que je trouvais les câlins un peu déplacés, mais alors là !
« Non, elles guériront bien par elles-mêmes. , je le regarde d’un air qui dit " tu ne disais pas ça sérieusement j’espère ", tout en reculant légèrement la tête au cas où il déciderait d’agir quand même. »
Toutefois, je ne peux empêcher un mince sourire d’apparaître sur mes lèvres. Il est vrai que je trouve la situation embarrassante, mais, d’un autre côté, elle était plus amusante et c’est tout ce qu’il me faut pour oublier, le temps de quelques minutes, ma triste vie.
Et puis, tant mieux s'il ne répond pas. Je me sent bien maintenant, dans ses bras, dans cette bulle de bonheur qu'il à fait naître afin d'apaiser mes douleurs.
....Merci Spyd...[Fin de la pensine qui explique la relation entre les personnages Spyd et Elliot]
« Je ne sais plus quoi faire… Quoi dire… J…, commençais-je d’une voix incertaine. »
Mais je coupe ma parole nette, le sentant me tourner vers lui et je retire ma main de mon visage, afin de regarder le sien souriant. Je ne termine pas ma réponse puisqu’elle n’en vaut pas réellement la peine, il le sait déjà sans doute, avant même que je ne lui dise, qui sont ses personnes qui mutilent mon être. Je m’attarde plutôt à écouter son hypothèse farfelue, haussant un sourcil inquisiteur tout en me demandant si réellement il était sérieux. J’opte pour le non, même si sa voix semblait enfantine et amusée et qu’il ajoute à ses mots un petit air grognon face à cette fameuse histoire de biscuit. C’est vrai que les biscuits d’oncle Zakary… Je secoue quelque peu la tête, trouvant que mes pensées commençaient à dérouter.
J’écarquille légèrement les yeux lorsque je sent les doigts de Spyd se poser à mon menton, à mes blessures, sans toutefois me causer une douleur atroce. Je sent une légère brûlure mais rien de comparable à ce que mère fait… Mère…
Mon cousin semble se préoccuper de mes blessures et je lui en suis reconnaissant… Seulement, à ses paroles, je me contente de le regarder d’un air surpris, déconcerté… Embrasser mes plaies ?! Déjà que je trouvais les câlins un peu déplacés, mais alors là !
« Non, elles guériront bien par elles-mêmes. , je le regarde d’un air qui dit " tu ne disais pas ça sérieusement j’espère ", tout en reculant légèrement la tête au cas où il déciderait d’agir quand même. »
Toutefois, je ne peux empêcher un mince sourire d’apparaître sur mes lèvres. Il est vrai que je trouve la situation embarrassante, mais, d’un autre côté, elle était plus amusante et c’est tout ce qu’il me faut pour oublier, le temps de quelques minutes, ma triste vie.
Et puis, tant mieux s'il ne répond pas. Je me sent bien maintenant, dans ses bras, dans cette bulle de bonheur qu'il à fait naître afin d'apaiser mes douleurs.
....Merci Spyd...
Elliot Devost- Nombre de messages : 380
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Date d'inscription : 09/09/2007
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