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H74 :: Initiation :: Présentations :: Étudiants :: Slytherin
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Elliot Devost
Elliot Devost Dim 9 Sep - 20:34
Nom:
Devost
Prénom:
Je me prénomme Elliot et je sais pertinemment que vous ne l’oublierez pas de si tôt.
Âge:
Est-ce vraiment utile que vous le sachiez ? Cela ne vous apportera rien mais si vraiment vous êtes curieux, j’ai 18 ans.
Année:
En sachant mon âge, j’espère que vous n’êtes pas assez imbécile pour ne pas avoir deviné que j’entamais ma 7e année !
Maison:
C’est familiale j’imagine, Slytherin
Animal:
Je n’en vois pas l’utilité, les animaux sont bien plus long à dresser que les humains ! Et, en ce sens, certes bien moins amusant à regarder.
Matière Favorite:
« Sortilèges » Hm… À vrai dire, j’aime bien apprendre de nouvelles choses qui pourraient fortement m’aider…
Hobbies:
Je n’aime rien en particulier, cela varie selon mon humeur et le temps que j’ai. De plus, ce n’est pas de vos affaires !
Bande/Amis:
Je n’ai que peu de gens autour de moi qui peuvent porter le rang " amis ", car j’aime bien manipuler et y prend un malin plaisir.
Histoire:
Vous voulez connaître mon histoire ? … Si tel est votre souhait, mais n’espérez pas y découvrir un doux et chatoyant récit, car vous en serez profondément déçu !
Tout commença lorsque deux êtres se rencontrèrent, Phillip et Sophia, dont il est fort probable que la seule raison qu’ils fussent ensemble soit l’espoir de devenir la puissance même. L’homme, grand et svelte, semblait toujours sérieux et froid, jamais je ne vis un sourire à ses lèvres. Et la femme était d’une grande beauté, une rousse chevelure cascadant le long de son dos et un air hautain se peignait constamment à ses fins traits faciaux ; plus petite que l’homme et arborait quelques fois un sourire à ses lèvres charnues. Tout deux devinrent des amants de la magie noire et décidèrent de Le suivre. Celui dont seulement prononcer le nom était une faute et que respirer le même souffle, partager ses idées étaient simplement impardonnable aux yeux de la société. Non je ne vous présente pas ici deux parfaits inconnues, puisqu’en fait se sont mes parents.
Je naquit, un jour de printemps bien ordinaire, mais qui, paraîtrait-il, aurait été un heureux instant bien gravé dans leur mémoire, je n’en sais la cause d’ailleurs. Je pourrais dire avoir vécu choyer, mais je ne fus pas enfant unique assez longtemps pour connaître la vie d’un enfant roi. Au lieu de se contenter d’un seul mioche, les parents eurent droit à l’arrivée de deux autres poupons, deux rouquins, qui, en plus d’être le nouveau centre d’attention, étaient de véritables monstres ! Ils sont de véritables trouble-fête et ne trouve rien de mieux à faire que d’embêter les autres…
« Elliot ! »
Sursautant, je bondis hors de mon lit où je m’étais légèrement assoupis, soudainement tiré hors de cette état de repos par cette voix forte et autoritaire, glaciale et quémandante. Cette voix féminine, comment parvenait-elle à rendre mon nom si horrible lorsqu’il me parvenait de ces lèvres ? Les cheveux en batailles, le souffle court et les pommettes colorées d’un pâle rosé, je parvins finalement au salon dont, malgré les portes closes, je parvenais à deviner sa présence : assise sur le fauteuil indigo, sa couleur préférée je présume, le dos bien droit et le menton finement incliné vers le haut, elle m’attendait impatiemment arborant comme toujours cet allure dominatrice, sa rousse crinière qu’elle n’arrivait pas à dompter était la plupart du temps laissé libre et son regard ne quittait plus l’entrée de la pièce, s’attendant à me voir arriver dans les plus bref délais. Je jetai une brève œillade vers la chambre des jumeaux, devinant qu’ils allaient être l’un des sujets de cette future discussion. Bien entendu, ils ne le sauront jamais, il ne sauront jamais ce qu’il se passe réellement dans cette pièce avec Elle, notre mère à nous trois. Un frisson parcourra l’ensemble de mon corps, puis je portai mes mains tremblantes aux portes que j’ouvris avec lenteur. Dans une famille normale, le jeune homme serait entré et aurait regardé sa mère d’un air agacé et impatient, espérant que l’entretien serais court. Mais, notre famille n’est pas de ce genre et j’avoue en être plutôt déçu car la vie aurait été beaucoup plus facile… Alors, j’entrai timidement dans la pièce par la mince fente que les portes coulissantes m’offraient, gardant mon visage rivé vers le bas et n’adressant d’ailleurs pas la moindre parole. Je me contentai de refermer derrière moi ces lourdes portes qui rendront cette conversation silencieuse pour ceux étant resté à l’extérieur de la pièce. Un mutisme lourd et sans fin pesait, l’atmosphère était insoutenable, mais je crois mieux aimer ne pas entendre cette voix… Je pris place à son avant, m’agenouillant comme elle le désirait, puis attendit les foudres qui ne tarderaient pas, car, même sans lever mon regard, je pouvais voir ces mains crispées et entendre son souffle irrégulier démontrant sa colère. Je fermai les yeux, mieux valait ne pas voir et, pour ne pas l’entendre, j’aurais plaqués mes mains à mes oreilles, mais je ne le fis pas de peur qu’il y ait une conséquence.
« Tu sais…, commença-t-elle d’une voix calme. »
Je sentis sa main se glisser à ma noire chevelure avec douceur, l’expression de mon visage devais sans nul doute refléter ma surprise puisque le rire de ma mère se fit entendre. Etait-ce elle ? Au moment même où ma curiosité l’avait emporté sur la peur et que j’entrouvrais mes paupières pour juger de la situation, je sentis ses doigts se refermer. Non, mon rêve ne s’était pas réalisé, elle n’était pas subitement devenue la mère parfaite… Je commençai à sentir la douleur, tandis qu’elle m’attirait en me tirant par les cheveux. Pourquoi est-ce que je ne réagissait pas ? Stupide ! Je n’ai jamais réussi à leur dire non, à lui dire non puisque mon père semblait être disparu depuis un moment. Les fins doigts de son autre main vinrent se poser sous mon menton, m’obligeant à lui dévoiler mon visage grimaçant de douleur.
« … Tu peux me regarder. »
Te regarder… Ou désirais-tu simplement voir mon regard et y déceler mes intentions, mes véritables pensées ? Une fois de plus, je lui obéis et posai mon regard argenté au sien qui était satisfait puisque la situation se déroulait comme elle le désirait. Sa poigne se relâcha lentement et elle me laissa reprendre ma place agenouillée. Colérique, pourquoi devais-je supporter ses sauts d’humeur si fréquents ? De la douceur à ces crises de colères qui lui prenaient constamment. Je ressentait toujours cette douleur à la tête et pourtant sa main n’y était plus… Le calme était revenu ainsi que son sourire, tandis que mon visage était parcouru d’une larme. Elle humecta ses lèvres puis reprit la parole puisque, de toute façon, je n’y avait pas droit.
« Alors, la place des jumeaux est-elle toujours aussi amusante ?, ajouta-t-elle sur une note amusée qui m’agaçait bien plus qu’autre chose. »
Puisque je ne répondis pas, elle se contenta d’acquiescer à ma place et de sourire davantage avant de poursuivre sur un ton plus sévère :
« Ils te détestent… Tu le sais, non ? »
Provocation… Mais elle disait juste. Puis elle ajouta sur une note plus sérieuse :
« Allons, je suppose que tu ne veux pas qu’ils leur arrivent de mal ? »
Je frémis à ses paroles menaçantes et bien entendu, je savais que son regard me détaillait afin de voir la réaction que j’aurais face à cette inquisition. Elle m’examinait inlassablement et j’étais incapable de soutenir cet air hautain et du détourné mon regard du sien. Encore une fois, ma mère avait gagné…
« Le grenier est poussiéreux, il faudrait que le ménage y soit fait. Désires-tu que j’envoies tes frères accomplir cette tâche ? »
Je fis signe que non et me levai lentement, le visage vers le bas, totalement soumis. Je me dirigeai vers les portes, essuyant le sillon argenté du revers de ma main et sortis avec empressement. Comme je ne fut pas surpris de constater la présence des jumeaux dans l’entrebâillement de la porte de leur chambre, me regardant d’un œil mauvais. Aussitôt, sans les laisser voir mon air abattu, je le changeai pour allure habituelle, impassible. Sans rien dire, je quittai l’endroit pour me rendre au grenier, leur montrant mon dos tandis que je me préparais mentalement à cette pénible tâche.
Ils me détestent et alors ? Je me dois de les protéger, puisque je les aime… Jamais je ne leur ai montré, mais toujours j’ai été de leur côté. Et c’est pourquoi je me retrouve à faire toutes ces tâches difficiles, c’est pourquoi mes parents me manipulent si facilement… Ils connaissent mon point faible…
Mais, au moins, j’ai des moments de répits lorsque j’entame l’année scolaire à Poudlard. Les liens sont rompus et je n’ai plus la moindre nouvelle d’eux pendant un bon moment.
Je parle comme si l’école était bien mieux mais ce n’est pas réellement le cas. Je m’amuse, en quelque sorte, à échanger les rôles et prendre la place de mes parents. Mon côté soumis, il n’y a que mes parents qu’il l’ont déjà vus, jamais au grand jamais il ne sera dévoilé.
Famille:
J’en ai glissé quelques mots lors de mon histoire mais voyons ses gens plus en détail. Je commencerai par mes deux jeunes frères. Je suis probablement l’un des seuls à être capable de les différencier et à s’amuser de l’étonnement que cela leur provoquent ! Ils ont les cheveux roux, ainsi qu’une pâle peau qui pourrait rappeler notre mère Sophia qui, elle aussi, a ces caractéristiques. Ils me détestent réellement, moi qui les aime et les protège depuis toujours… Ils ont toujours formés un duo inséparable et mes parents savaient qu’il aurait été difficile de les séparés ou bien seulement de les rendre dociles. Etant le plus vieux et rejeté des plus jeunes, j’étais une proie facile, c’est pourquoi je suis celui qui a le " privilège " de toujours être avec les parents. Mais, pourtant, je ne les aime pas les parents… Et cela ne m’apporte rien de bon… Heureusement que mon père a disparu, les choses se sont légèrement calmées depuis puisqu’il était celui qui avançait les pires idées. Mes frères ne l’ont que rarement vu et il ne manque pas grand chose, puisqu’il est horrible…
Caractéristiques Physiques
Devost
Prénom:
Je me prénomme Elliot et je sais pertinemment que vous ne l’oublierez pas de si tôt.
Âge:
Est-ce vraiment utile que vous le sachiez ? Cela ne vous apportera rien mais si vraiment vous êtes curieux, j’ai 18 ans.
Année:
En sachant mon âge, j’espère que vous n’êtes pas assez imbécile pour ne pas avoir deviné que j’entamais ma 7e année !
Maison:
C’est familiale j’imagine, Slytherin
Animal:
Je n’en vois pas l’utilité, les animaux sont bien plus long à dresser que les humains ! Et, en ce sens, certes bien moins amusant à regarder.
Matière Favorite:
« Sortilèges » Hm… À vrai dire, j’aime bien apprendre de nouvelles choses qui pourraient fortement m’aider…
Hobbies:
Je n’aime rien en particulier, cela varie selon mon humeur et le temps que j’ai. De plus, ce n’est pas de vos affaires !
Bande/Amis:
Je n’ai que peu de gens autour de moi qui peuvent porter le rang " amis ", car j’aime bien manipuler et y prend un malin plaisir.
Histoire:
Vous voulez connaître mon histoire ? … Si tel est votre souhait, mais n’espérez pas y découvrir un doux et chatoyant récit, car vous en serez profondément déçu !
Tout commença lorsque deux êtres se rencontrèrent, Phillip et Sophia, dont il est fort probable que la seule raison qu’ils fussent ensemble soit l’espoir de devenir la puissance même. L’homme, grand et svelte, semblait toujours sérieux et froid, jamais je ne vis un sourire à ses lèvres. Et la femme était d’une grande beauté, une rousse chevelure cascadant le long de son dos et un air hautain se peignait constamment à ses fins traits faciaux ; plus petite que l’homme et arborait quelques fois un sourire à ses lèvres charnues. Tout deux devinrent des amants de la magie noire et décidèrent de Le suivre. Celui dont seulement prononcer le nom était une faute et que respirer le même souffle, partager ses idées étaient simplement impardonnable aux yeux de la société. Non je ne vous présente pas ici deux parfaits inconnues, puisqu’en fait se sont mes parents.
Je naquit, un jour de printemps bien ordinaire, mais qui, paraîtrait-il, aurait été un heureux instant bien gravé dans leur mémoire, je n’en sais la cause d’ailleurs. Je pourrais dire avoir vécu choyer, mais je ne fus pas enfant unique assez longtemps pour connaître la vie d’un enfant roi. Au lieu de se contenter d’un seul mioche, les parents eurent droit à l’arrivée de deux autres poupons, deux rouquins, qui, en plus d’être le nouveau centre d’attention, étaient de véritables monstres ! Ils sont de véritables trouble-fête et ne trouve rien de mieux à faire que d’embêter les autres…
« Elliot ! »
Sursautant, je bondis hors de mon lit où je m’étais légèrement assoupis, soudainement tiré hors de cette état de repos par cette voix forte et autoritaire, glaciale et quémandante. Cette voix féminine, comment parvenait-elle à rendre mon nom si horrible lorsqu’il me parvenait de ces lèvres ? Les cheveux en batailles, le souffle court et les pommettes colorées d’un pâle rosé, je parvins finalement au salon dont, malgré les portes closes, je parvenais à deviner sa présence : assise sur le fauteuil indigo, sa couleur préférée je présume, le dos bien droit et le menton finement incliné vers le haut, elle m’attendait impatiemment arborant comme toujours cet allure dominatrice, sa rousse crinière qu’elle n’arrivait pas à dompter était la plupart du temps laissé libre et son regard ne quittait plus l’entrée de la pièce, s’attendant à me voir arriver dans les plus bref délais. Je jetai une brève œillade vers la chambre des jumeaux, devinant qu’ils allaient être l’un des sujets de cette future discussion. Bien entendu, ils ne le sauront jamais, il ne sauront jamais ce qu’il se passe réellement dans cette pièce avec Elle, notre mère à nous trois. Un frisson parcourra l’ensemble de mon corps, puis je portai mes mains tremblantes aux portes que j’ouvris avec lenteur. Dans une famille normale, le jeune homme serait entré et aurait regardé sa mère d’un air agacé et impatient, espérant que l’entretien serais court. Mais, notre famille n’est pas de ce genre et j’avoue en être plutôt déçu car la vie aurait été beaucoup plus facile… Alors, j’entrai timidement dans la pièce par la mince fente que les portes coulissantes m’offraient, gardant mon visage rivé vers le bas et n’adressant d’ailleurs pas la moindre parole. Je me contentai de refermer derrière moi ces lourdes portes qui rendront cette conversation silencieuse pour ceux étant resté à l’extérieur de la pièce. Un mutisme lourd et sans fin pesait, l’atmosphère était insoutenable, mais je crois mieux aimer ne pas entendre cette voix… Je pris place à son avant, m’agenouillant comme elle le désirait, puis attendit les foudres qui ne tarderaient pas, car, même sans lever mon regard, je pouvais voir ces mains crispées et entendre son souffle irrégulier démontrant sa colère. Je fermai les yeux, mieux valait ne pas voir et, pour ne pas l’entendre, j’aurais plaqués mes mains à mes oreilles, mais je ne le fis pas de peur qu’il y ait une conséquence.
« Tu sais…, commença-t-elle d’une voix calme. »
Je sentis sa main se glisser à ma noire chevelure avec douceur, l’expression de mon visage devais sans nul doute refléter ma surprise puisque le rire de ma mère se fit entendre. Etait-ce elle ? Au moment même où ma curiosité l’avait emporté sur la peur et que j’entrouvrais mes paupières pour juger de la situation, je sentis ses doigts se refermer. Non, mon rêve ne s’était pas réalisé, elle n’était pas subitement devenue la mère parfaite… Je commençai à sentir la douleur, tandis qu’elle m’attirait en me tirant par les cheveux. Pourquoi est-ce que je ne réagissait pas ? Stupide ! Je n’ai jamais réussi à leur dire non, à lui dire non puisque mon père semblait être disparu depuis un moment. Les fins doigts de son autre main vinrent se poser sous mon menton, m’obligeant à lui dévoiler mon visage grimaçant de douleur.
« … Tu peux me regarder. »
Te regarder… Ou désirais-tu simplement voir mon regard et y déceler mes intentions, mes véritables pensées ? Une fois de plus, je lui obéis et posai mon regard argenté au sien qui était satisfait puisque la situation se déroulait comme elle le désirait. Sa poigne se relâcha lentement et elle me laissa reprendre ma place agenouillée. Colérique, pourquoi devais-je supporter ses sauts d’humeur si fréquents ? De la douceur à ces crises de colères qui lui prenaient constamment. Je ressentait toujours cette douleur à la tête et pourtant sa main n’y était plus… Le calme était revenu ainsi que son sourire, tandis que mon visage était parcouru d’une larme. Elle humecta ses lèvres puis reprit la parole puisque, de toute façon, je n’y avait pas droit.
« Alors, la place des jumeaux est-elle toujours aussi amusante ?, ajouta-t-elle sur une note amusée qui m’agaçait bien plus qu’autre chose. »
Puisque je ne répondis pas, elle se contenta d’acquiescer à ma place et de sourire davantage avant de poursuivre sur un ton plus sévère :
« Ils te détestent… Tu le sais, non ? »
Provocation… Mais elle disait juste. Puis elle ajouta sur une note plus sérieuse :
« Allons, je suppose que tu ne veux pas qu’ils leur arrivent de mal ? »
Je frémis à ses paroles menaçantes et bien entendu, je savais que son regard me détaillait afin de voir la réaction que j’aurais face à cette inquisition. Elle m’examinait inlassablement et j’étais incapable de soutenir cet air hautain et du détourné mon regard du sien. Encore une fois, ma mère avait gagné…
« Le grenier est poussiéreux, il faudrait que le ménage y soit fait. Désires-tu que j’envoies tes frères accomplir cette tâche ? »
Je fis signe que non et me levai lentement, le visage vers le bas, totalement soumis. Je me dirigeai vers les portes, essuyant le sillon argenté du revers de ma main et sortis avec empressement. Comme je ne fut pas surpris de constater la présence des jumeaux dans l’entrebâillement de la porte de leur chambre, me regardant d’un œil mauvais. Aussitôt, sans les laisser voir mon air abattu, je le changeai pour allure habituelle, impassible. Sans rien dire, je quittai l’endroit pour me rendre au grenier, leur montrant mon dos tandis que je me préparais mentalement à cette pénible tâche.
Ils me détestent et alors ? Je me dois de les protéger, puisque je les aime… Jamais je ne leur ai montré, mais toujours j’ai été de leur côté. Et c’est pourquoi je me retrouve à faire toutes ces tâches difficiles, c’est pourquoi mes parents me manipulent si facilement… Ils connaissent mon point faible…
Mais, au moins, j’ai des moments de répits lorsque j’entame l’année scolaire à Poudlard. Les liens sont rompus et je n’ai plus la moindre nouvelle d’eux pendant un bon moment.
Je parle comme si l’école était bien mieux mais ce n’est pas réellement le cas. Je m’amuse, en quelque sorte, à échanger les rôles et prendre la place de mes parents. Mon côté soumis, il n’y a que mes parents qu’il l’ont déjà vus, jamais au grand jamais il ne sera dévoilé.
Famille:
J’en ai glissé quelques mots lors de mon histoire mais voyons ses gens plus en détail. Je commencerai par mes deux jeunes frères. Je suis probablement l’un des seuls à être capable de les différencier et à s’amuser de l’étonnement que cela leur provoquent ! Ils ont les cheveux roux, ainsi qu’une pâle peau qui pourrait rappeler notre mère Sophia qui, elle aussi, a ces caractéristiques. Ils me détestent réellement, moi qui les aime et les protège depuis toujours… Ils ont toujours formés un duo inséparable et mes parents savaient qu’il aurait été difficile de les séparés ou bien seulement de les rendre dociles. Etant le plus vieux et rejeté des plus jeunes, j’étais une proie facile, c’est pourquoi je suis celui qui a le " privilège " de toujours être avec les parents. Mais, pourtant, je ne les aime pas les parents… Et cela ne m’apporte rien de bon… Heureusement que mon père a disparu, les choses se sont légèrement calmées depuis puisqu’il était celui qui avançait les pires idées. Mes frères ne l’ont que rarement vu et il ne manque pas grand chose, puisqu’il est horrible…
Caractéristiques Physiques
Corps : D’une certaine grandeur (1m73), je suis plutôt efflanqué et svelte, ne me préoccupant pas réellement de l’apparence de mon corps, au contraire de tout ces jeunes hommes musclés ou ayant une certaine largeur d’épaules qui sont à l’école. Mes gestes ont tendances à être imprégnés d’une certaine souplesse et gracieuseté, me donnant une allure que certains qualifies de " théâtrale ".
Visage : Mon visage, tout comme l’ensemble de mon propre physique, est un tantinet efféminé puisque la carrure de ma mâchoire est faible. Mes yeux gris en amande sont grands et lorsque la colère s’empare de mon être, quelques éclaires illumines mon regard, le rendant étrangement captivant. Mon nez est fin et droit; mes lèvres minces où rarement un sourire se laisse entrevoir; ma chevelure, tout comme la plupart de mes vêtements, est noire tel le charbon, comme la nuit et son ciel d'encre. Ils sont habituellement plaqués sur ma tête, en dégradés, ma frange toujours soigneusement posée à la gauche de mon visage.
J’aime porter des chemises et vestons, le tout de couleurs sombres, des habits propres et paraissant bien.
Bref, je ressemble beaucoup à notre père disparu, hormis le fait que je ne porte pas de lunettes qui lui donnaient un air des plus sérieux et sévère.
Caractéristiques Psychologiques:
Difficile à décrire…
Devant mes parents, je suis soumis et attentif, répondant au doigt et à l’œil à leurs multiples exigences afin de protéger mes deux jeunes frères. Je suis manipulé bien facilement et n’ose pas m’opposer ou même prononcer la moindre parole qui pourrait être mal perçue.
Devant mes frères, je me tient droit et sérieux, ne désirant pas leur dévoiler mes faiblesses. Je fait de mon possible pour ne pas baissé davantage dans leur estime, mais je ne sais pas comment m’y prendre et j’ai tendance à gaffer en disant des choses glaciales, même, parfois, blessantes. J’ai peur qu’ils découvrent mon rôle avec les parents, qu’ils ne se moquent de moi et de ma stupidité, mais de tout façon je suis tenu au silence par les parents qui, si je venais à briser ce mutisme, s’attaqueraient davantage au duo rouquin. C’est l’une de mes craintes et c’est pourquoi j’essaie de ne pas trop entrer en contacte avec eux.
Devant les autres, je est manipulateur, mauvais, méchant, sardonique… Mais, si je vois que la situation pourrait m’être bénéfique, je change mon attitude du tout au tout, devenant joyeux et sympathique. Mais, prenez gare à mes humeurs, vous ne pouvez jamais réellement prévoir en quoi consistera mon approche !
Signe(s) Particulier(s):
Particulier ? À l’exception du fait que j’ai deux jeunes frères roux, des jumeaux en fait et que je ressemble beaucoup à mon père… Je ne crois pas avoir quelque chose de réellement distinctif.
Ambitions:
Mes ambitions seraient sans nul doute en rapport avec mes parents. J’aimerais apprendre à leur résister et ainsi devenir quelqu’un de plus autonome.
Baguette:
Ma baguette est fait d’ébène, donc d’un pur noir, mesurant 26 centimètres et incrustée d'une larme de phénix.
"J'ai bien lu le règlement et je m'engage à être actif/active."
Finalement, le troisième frère est arrivé !
J’aime porter des chemises et vestons, le tout de couleurs sombres, des habits propres et paraissant bien.
Bref, je ressemble beaucoup à notre père disparu, hormis le fait que je ne porte pas de lunettes qui lui donnaient un air des plus sérieux et sévère.
Caractéristiques Psychologiques:
Difficile à décrire…
Devant mes parents, je suis soumis et attentif, répondant au doigt et à l’œil à leurs multiples exigences afin de protéger mes deux jeunes frères. Je suis manipulé bien facilement et n’ose pas m’opposer ou même prononcer la moindre parole qui pourrait être mal perçue.
Devant mes frères, je me tient droit et sérieux, ne désirant pas leur dévoiler mes faiblesses. Je fait de mon possible pour ne pas baissé davantage dans leur estime, mais je ne sais pas comment m’y prendre et j’ai tendance à gaffer en disant des choses glaciales, même, parfois, blessantes. J’ai peur qu’ils découvrent mon rôle avec les parents, qu’ils ne se moquent de moi et de ma stupidité, mais de tout façon je suis tenu au silence par les parents qui, si je venais à briser ce mutisme, s’attaqueraient davantage au duo rouquin. C’est l’une de mes craintes et c’est pourquoi j’essaie de ne pas trop entrer en contacte avec eux.
Devant les autres, je est manipulateur, mauvais, méchant, sardonique… Mais, si je vois que la situation pourrait m’être bénéfique, je change mon attitude du tout au tout, devenant joyeux et sympathique. Mais, prenez gare à mes humeurs, vous ne pouvez jamais réellement prévoir en quoi consistera mon approche !
Signe(s) Particulier(s):
Particulier ? À l’exception du fait que j’ai deux jeunes frères roux, des jumeaux en fait et que je ressemble beaucoup à mon père… Je ne crois pas avoir quelque chose de réellement distinctif.
Ambitions:
Mes ambitions seraient sans nul doute en rapport avec mes parents. J’aimerais apprendre à leur résister et ainsi devenir quelqu’un de plus autonome.
Baguette:
Ma baguette est fait d’ébène, donc d’un pur noir, mesurant 26 centimètres et incrustée d'une larme de phénix.
"J'ai bien lu le règlement et je m'engage à être actif/active."
Finalement, le troisième frère est arrivé !
Elliot Devost- Nombre de messages : 380
Age : 34
Date d'inscription : 09/09/2007
Personnage
Maison: Slytherin
Études: Septième année
Âge: 18 ans
Re: Elliot Devost
Edmund O'Dwyer Mar 11 Sep - 8:01
Woaaaah o___o
C'est magnifique. Je sais pas quoi dire de plus... à part que...c'est une très belle fiche, super complète!
J'aime la baguette :3 J'avais peur que tu écrives "plume de phénix" ; larme c'est bien plus original. :D
Enfin...
Ça m'intrigue : d'où l'idée que les jumeaux et toi travaillez une histoire ensemble? :P
[Je valide ;)]
C'est magnifique. Je sais pas quoi dire de plus... à part que...c'est une très belle fiche, super complète!
J'aime la baguette :3 J'avais peur que tu écrives "plume de phénix" ; larme c'est bien plus original. :D
Enfin...
Ça m'intrigue : d'où l'idée que les jumeaux et toi travaillez une histoire ensemble? :P
[Je valide ;)]
Edmund O'Dwyer- [Administratrice]
「インクブス」 - Nombre de messages : 1249
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Âge: Seize ans -
Re: Elliot Devost
Spyd Devost Mar 11 Sep - 9:24
VALIDÉ ELLIOT VALIDÉ .... lui qui mourais d'impacience ....
*Par en courant toalement conscient qu'il n'est pas autorisé à flooder*
....
*Par en courant toalement conscient qu'il n'est pas autorisé à flooder*
....
Spyd Devost- Génétiquement Manipulateur
- Nombre de messages : 173
Age : 34
Date d'inscription : 11/09/2007
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Études: Sixième année
Âge: 16 ans
Re: Elliot Devost
Edmund O'Dwyer Mar 11 Sep - 9:36
Vilain Spyd. xP
Rémus dit qu'elle va passer dès que possible. :)
Rémus dit qu'elle va passer dès que possible. :)
Edmund O'Dwyer- [Administratrice]
「インクブス」 - Nombre de messages : 1249
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Date d'inscription : 17/07/2007
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Maison: Slytherin
Études: Cinquième année
Âge: Seize ans -
Re: Elliot Devost
Elliot Devost Mar 11 Sep - 11:19
Comme « plume de phénix » n'était pas original, j'ai pris « larme » qui est quelque chose de bienfaisant et protecteur !
(Et puis, dans une usine, ils retirent les plumes et les larmes pour les baguettes et le reste de l'animal s'en va tout droit dans un restaurant ... Ah là là ... Délire monstrueux !)
Plus sérieusement, l'idée ? D'où elle vient ?
Hm... On se connait et, comme je n'avais pas vraiment d'idée pour un personnage, j'ai eu la proposition d'entrer dans cette belle et grande famille qu'est celle des Devost !
Spyd ! Non mais ! Floodez comme cela et dans MA présentation en plus ! Ce que tu es... Déplacé !
(Et puis, dans une usine, ils retirent les plumes et les larmes pour les baguettes et le reste de l'animal s'en va tout droit dans un restaurant ... Ah là là ... Délire monstrueux !)
Plus sérieusement, l'idée ? D'où elle vient ?
Hm... On se connait et, comme je n'avais pas vraiment d'idée pour un personnage, j'ai eu la proposition d'entrer dans cette belle et grande famille qu'est celle des Devost !
Spyd ! Non mais ! Floodez comme cela et dans MA présentation en plus ! Ce que tu es... Déplacé !
Elliot Devost- Nombre de messages : 380
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Études: Septième année
Âge: 18 ans
Re: Elliot Devost
Edmund O'Dwyer Mer 12 Sep - 9:04
[Re-déplacé]
Noäaaaah ><
Même chose que pour la fiche de Spyd, Rémus a même pas encore validé!
Fais gaffe :(
Noäaaaah ><
Même chose que pour la fiche de Spyd, Rémus a même pas encore validé!
Fais gaffe :(
Edmund O'Dwyer- [Administratrice]
「インクブス」 - Nombre de messages : 1249
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Spyd Devost- Génétiquement Manipulateur
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Âge: 16 ans
Re: Elliot Devost
Edmund O'Dwyer Mer 12 Sep - 9:52
Pas toi, Noäh ;)
Elle a envoyé deux fiches dans les fiches validées alors qu'il fallait pas tout de suite. :P
Elle a envoyé deux fiches dans les fiches validées alors qu'il fallait pas tout de suite. :P
Edmund O'Dwyer- [Administratrice]
「インクブス」 - Nombre de messages : 1249
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Date d'inscription : 17/07/2007
Personnage
Maison: Slytherin
Études: Cinquième année
Âge: Seize ans -
Re: Elliot Devost
Remus Lupin Jeu 13 Sep - 15:18
Encore milles excuses pour toute cette attente! ><
Fiche magnifique, histoire magnifique ; bref, j'adore!
Et j'adore aussi ton avatar. :3
Je valide!
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Remus Lupin- Loup-Loup Tourmenté
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Edmund O'Dwyer- [Administratrice]
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Elliot Devost- Nombre de messages : 380
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