Réunion de famille ~ Aïe, aïe !
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H74 :: Initiation :: Auditions
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Réunion de famille ~ Aïe, aïe !
Ce qui aurait du nous paraître comme de belle vacance, nous à plutôt paru comme de longue semaine ennuyante particulièrement détestable agrémenté de journée cauchemardesque. Bien sur, ne croyez pas que ce sont de simple journée pluvieuse, où il n’y a que quelques miettes de pain dans le garde manger, non. Elles sont plutôt peuplés de crie histérique à en plus finir, parfois accompagné de bleu et de plait par ci pas là, infligé par la source de folie de cette maison, notre mère. Par chance, nous ne la voyons que très rarement. Bien que l‘on sens sort parfois pas son incapacité à nous différencier l’un de l’autre se qui la rend encore plus folle mais inofencive. Par contre, on ne peut échapper à la dure réalité, car Elliot, lui, peux facilement nous distinguer l’un de l’autre. Semblant vouloir remplacé notre père disparu par quelque cou agrémenté de ragard glacial, sens est devenu plus effrayant de notre mère.
C’est pourquoi, à chaque année on ce retrouve dans un wagon seul et tranquille, sans idée maciavélique, sans futur plan d’invasion de lapin dans les couloir, Ho l’idée… passons, bref on est tranquille. On reste plutôt calme en ce début d’année. savourant se peut de liberté qui nous est accordé. On lance un long soupire simultané, comme si l’on venait de relaché tout l’aire que nous retenions depuis le début de notre été. Je détourne mon regard de la fenêtre pour poser mes yeux sur mon double, le regard perdu au loin, je me demande bien où tes pensé vont cher frère. Je quitte mon siège pour prendre place à ses côtés, enfouissant mon nez dans ces cheveux soyeux, glissants mes doigts sous ça chemise impeccable, caressant doucement cette cicatrice fraîchement guérie, infliguer il y a deux semaines. Notre mère crois pouvoir nous distinguer ainsi… seulement, elle nous en a tellement flanqué qu’elle ne se rappelle plus qui a quelles marques.
-Je vais bien.
Je lache un long soupire d’agonie plein de remord. Je vais bien, Je vais bien, mon c*l OUI ! Tu dois bien avoir une côtte de cassé, le poignet fouller et je compte pas les marques dans ton dos encore !!! Et tout ça, c’est APRÈS que j’ai tenté de guérir un peu tes blessures ! Comment, on peu allez bien dans tout ça ? hein, dit moi ? IMPOSSIBLE JE DIT !!! Je me renfrogne et me ressert on peu contre toi. Le pire dans tout ça, c’est que tout est de ma faute. C’est moi qui est brisé la tasse. Tasse qui, bien sur n’était rien au yeux de notre chère mêre. Prétexte pour défouler cette frustation qui lui ronge constament l’esprit. Je sens que le voyage seras plutôt long et remplis d’un froid glacial.
C’est pourquoi, à chaque année on ce retrouve dans un wagon seul et tranquille, sans idée maciavélique, sans futur plan d’invasion de lapin dans les couloir, Ho l’idée… passons, bref on est tranquille. On reste plutôt calme en ce début d’année. savourant se peut de liberté qui nous est accordé. On lance un long soupire simultané, comme si l’on venait de relaché tout l’aire que nous retenions depuis le début de notre été. Je détourne mon regard de la fenêtre pour poser mes yeux sur mon double, le regard perdu au loin, je me demande bien où tes pensé vont cher frère. Je quitte mon siège pour prendre place à ses côtés, enfouissant mon nez dans ces cheveux soyeux, glissants mes doigts sous ça chemise impeccable, caressant doucement cette cicatrice fraîchement guérie, infliguer il y a deux semaines. Notre mère crois pouvoir nous distinguer ainsi… seulement, elle nous en a tellement flanqué qu’elle ne se rappelle plus qui a quelles marques.
-Je vais bien.
Je lache un long soupire d’agonie plein de remord. Je vais bien, Je vais bien, mon c*l OUI ! Tu dois bien avoir une côtte de cassé, le poignet fouller et je compte pas les marques dans ton dos encore !!! Et tout ça, c’est APRÈS que j’ai tenté de guérir un peu tes blessures ! Comment, on peu allez bien dans tout ça ? hein, dit moi ? IMPOSSIBLE JE DIT !!! Je me renfrogne et me ressert on peu contre toi. Le pire dans tout ça, c’est que tout est de ma faute. C’est moi qui est brisé la tasse. Tasse qui, bien sur n’était rien au yeux de notre chère mêre. Prétexte pour défouler cette frustation qui lui ronge constament l’esprit. Je sens que le voyage seras plutôt long et remplis d’un froid glacial.
Yzaak Matis Devost- Nombre de messages : 30
Age : 34
Date d'inscription : 01/09/2007
Personnage
Maison: Slytherin
Études: Sixième année
Âge: 17 ans
Re: Réunion de famille ~ Aïe, aïe !
Assis dans le train, qui nous amène loin de notre maison de fous, je contemple l’horizon tout en chassant les visions d’horreur des débris de la tasse sur le sol ainsi que celle de notre mère. Cette scène en est une parmi tant d’autres. Elle est toutefois la plus récente et malheureusement, l’un des derniers souvenirs de l’été à la maison. C’est si bien d’avoir l’école comme un échappatoire, malheureusement on ne peut pas y être éternellement. De plus, nous avons le malheur d’avoir notre frère qui nous suit jusqu’ici. Le seul qui nous regarde si froidement et avec lequel nous nous rappelons malgré nous, la froideur de notre demeure et tout ce qui va avec.
Je laisse échapper un soupir tout comme mon frère. Une présence rassurante et qui me laisse décrocher de mes mauvaises pensées. En un rien de temps, je sens mon double se coller contre moi. Son pif à travers mes cheveux et sa main sous ma chemise. Je ne puis m’empêcher de sourire à cet instant. Je ne le garda pas longtemps puisque je ressens son inquiétude par les mouvements de ses doigts sur l’une de mes cicatrices.
- Je vais bien. lui répondis-je pour ne pas qu’il se fasse du souci à cause de moi.
Je ne voulais pas qu’il s’inquiète pour cela. Ça n’a plus d’importance, d’ici quelques jours à l’école et tout sera oublié - enfin, presque -. Il est impossible de lui mentir, puisque nous sommes un tout. Il me le fait savoir assez facilement avec son corps qui se presse un peu plus contre moi.
Mon frèro adoré, qui ne cessait de gigoter et de me plaquer sur le mur, je décide de me lever. Il me tira sur le bras lorsque je fut debout. Ce qu’il n’a pas compris pas sur le coup, c’est que je ne voulais pas m’enfuir de lui, simplement m’installer plus confortablement. Je m’assis sur ses genoux et pris déposa mes mains sur les siennes.
- Tu m’écrasais dans le mur.dis-je en guise de réponse à mon acte.
J’étais maintenant tout à fait heureux d’avoir ses bras autour de ma taille et sa tête bien accoté sur mon épaule.
Je laisse échapper un soupir tout comme mon frère. Une présence rassurante et qui me laisse décrocher de mes mauvaises pensées. En un rien de temps, je sens mon double se coller contre moi. Son pif à travers mes cheveux et sa main sous ma chemise. Je ne puis m’empêcher de sourire à cet instant. Je ne le garda pas longtemps puisque je ressens son inquiétude par les mouvements de ses doigts sur l’une de mes cicatrices.
- Je vais bien. lui répondis-je pour ne pas qu’il se fasse du souci à cause de moi.
Je ne voulais pas qu’il s’inquiète pour cela. Ça n’a plus d’importance, d’ici quelques jours à l’école et tout sera oublié - enfin, presque -. Il est impossible de lui mentir, puisque nous sommes un tout. Il me le fait savoir assez facilement avec son corps qui se presse un peu plus contre moi.
Mon frèro adoré, qui ne cessait de gigoter et de me plaquer sur le mur, je décide de me lever. Il me tira sur le bras lorsque je fut debout. Ce qu’il n’a pas compris pas sur le coup, c’est que je ne voulais pas m’enfuir de lui, simplement m’installer plus confortablement. Je m’assis sur ses genoux et pris déposa mes mains sur les siennes.
- Tu m’écrasais dans le mur.dis-je en guise de réponse à mon acte.
J’étais maintenant tout à fait heureux d’avoir ses bras autour de ma taille et sa tête bien accoté sur mon épaule.
Dernière édition par le Ven 19 Oct - 13:22, édité 1 fois
Matis Yzaak Devost- Nombre de messages : 230
Age : 34
Date d'inscription : 01/09/2007
Personnage
Maison: Slytherin
Études: Sixième année
Âge: 17 ans
Re: Réunion de famille ~ Aïe, aïe !
Mon père m'avait laissé à la gare. Me rappelant ma "mission" et mon but. Cette année, il semblait viser certaines personnes plus précises. Des gens que je devais "surveiller" et même des professeurs. La plupart semblait de mèche avec Voldemort. Quoi ? Ho, je l'ai prononcé ? Je ne comprends vraiment pas pourquoi cette peur de prononcer son nom, ce n'est qu'un nom. n'est-ce pas ? Devrais-je avoir peur ? Peut-être, normalement. Bref, valise en main, j'ai pris la direction de l'expresse.
J'ai dû me faufiler au travers d'une troupe d'adolescent totalement disjonctés pour me trouver un compartiment potable. Surtout, que je me suis fait arrêter une cinquantaine de fois par X personne pour tel et/ou tel raison, la plupart du temps pour m'inviter dans un compartiment que je refusais gentiment sous prétexte d'être déjà invité ailleurs. Je me suis faufilé dans ce que je croyais être un compartiment vide, mais qu'est-ce que je n'ai pas trouvé ? Une orgie de frère jumeaux roux à n’en pas douté , en l'occurrence, mes cousins Yzaak et Matis, inséparables et quasi impossible à différencier. Bien sûr, on finissait, avec un peu de jugeote et beaucoup d'observation, par les démêler. L'un étant plus doux et beaucoup moins possessif que l'autre. J'ai rapidement placé un masque à sourire sur mon visage.
- Eh bien dites donc, on ne se gène pas ici. dis-je sur un note amusée.
L'un assis sur l'autre, les bras autour de la taille, un acte qui voulait carrément dire "TU TOUCHES ET T'ES MORT". On pouvait facilement voir qui était qui. Mais bon, les jumeaux restaient toujours un certain mystère pour tout le monde. Leur attachement l’un à l’autre n'en était pas un. Plusieurs rumeurs venaient à dire que tout ça allait même jusqu'à l’inceste... ce qui, connaissant la famille ne m'étonnerait pas. Mais est-ce qu'il y a non seulement quelque chose qui m'étonne ? Bref, le début de l'année commençait, comme à chaque année. Du moins, pour l'instant. Je me suis installé face à eux, engageant une conversation simple, mettant, comme il m'était possible de le faire, les jumeaux en confiance.
J'ai dû me faufiler au travers d'une troupe d'adolescent totalement disjonctés pour me trouver un compartiment potable. Surtout, que je me suis fait arrêter une cinquantaine de fois par X personne pour tel et/ou tel raison, la plupart du temps pour m'inviter dans un compartiment que je refusais gentiment sous prétexte d'être déjà invité ailleurs. Je me suis faufilé dans ce que je croyais être un compartiment vide, mais qu'est-ce que je n'ai pas trouvé ? Une orgie de frère jumeaux roux à n’en pas douté , en l'occurrence, mes cousins Yzaak et Matis, inséparables et quasi impossible à différencier. Bien sûr, on finissait, avec un peu de jugeote et beaucoup d'observation, par les démêler. L'un étant plus doux et beaucoup moins possessif que l'autre. J'ai rapidement placé un masque à sourire sur mon visage.
- Eh bien dites donc, on ne se gène pas ici. dis-je sur un note amusée.
L'un assis sur l'autre, les bras autour de la taille, un acte qui voulait carrément dire "TU TOUCHES ET T'ES MORT". On pouvait facilement voir qui était qui. Mais bon, les jumeaux restaient toujours un certain mystère pour tout le monde. Leur attachement l’un à l’autre n'en était pas un. Plusieurs rumeurs venaient à dire que tout ça allait même jusqu'à l’inceste... ce qui, connaissant la famille ne m'étonnerait pas. Mais est-ce qu'il y a non seulement quelque chose qui m'étonne ? Bref, le début de l'année commençait, comme à chaque année. Du moins, pour l'instant. Je me suis installé face à eux, engageant une conversation simple, mettant, comme il m'était possible de le faire, les jumeaux en confiance.
Spyd Devost- Génétiquement Manipulateur
- Nombre de messages : 173
Age : 34
Date d'inscription : 11/09/2007
Personnage
Maison: Ravenclaw
Études: Sixième année
Âge: 16 ans
Re: Réunion de famille ~ Aïe, aïe !
L'été m'a semblé si long et pénible puisque mère se frustrait pour un rien et abattait toute sa fureur sur les deux petits monstres rouquins. Et moi, suis-je réellement mieux placé pour parler en mal de cette femme odieuse et glaciale ? Non, je ne crois pas, car moi aussi je lève la main sur ses petits êtres et moi aussi je les blesse... Tout comme elle, tout comme mon père... Non ! Je ne veux pas devenir comme eux... Pourtant, j'ai l'étrange sentiment qu'être le double de mon père me dirige inévitablement dans cette voie et que je ne peux rien faire contre cette ligne tracée par ma mère. Je ne suis qu'un jouet, qu'une marionnette, qu'un pantin manipuler par des ficelles invisibles. L’incident de la tasse n’était que l’un des innombrables événements qui leurs ont causés des ennuis, je peux dire cela car j’y étais, oui, derrière la porte presque close, j’épiais ces scènes ravageantes, mais je n’y prenais aucun plaisir…
Nous partons de la maison en trombe, après avoir rapidement empaquetés l’automobile, pour nous diriger vers la gare où, espérons-nous, le train attend encore. Mère avait perdu le fil du temps mais, bien entendu, c'est de ma faute et nous nous retrouvons obligés de nous presser pour être sur de ne pas le manquer, ce qui nous ferait certes perdre du temps précieux loin de cette maison et de cette folie. Je ne jette pas même un regard aux jumeaux tout le long du trajet, sachant que je ne supporterais pas de les voir abattus, et tiens ma tête bien haute afin que mes prunelles ne soient pas tentées d’y voir quelque chose. À la gare, ne désirant probablement plus nous endurer, ils entament une marche rapide, nous dépassant moi et mère qui marchons bien tranquillement. Je veux aller plus rapidement, mais à chaque fois, son regard me foudroie, me ramenant au pied tel un chien. Pourtant, je réussi à garder mon visage de marbre, sans émotion apparente, près d’elle qui, désirant bien paraître, c’était coiffée, maquillée et prenait la peine de sourire devant tout ces moldus.
Au loin, je vois les deux plus jeunes disparaître à la plate-forme 9 ¾, cela voulant dire que le train y est toujours et qu’il attend patiemment les élèves. Mère et moi y arrivons finalement et, comme à l’habitude, elle emboîte mon pas pour me rejoindre à la plate-forme où elle désire me saluer avant mon départ. Quelle bonne mère, penserez-vous. Mais ne vous y fiez pas, ce n’est qu’une parure pour camoufler son jeu de violente dominatrice, ma mère n’est pas aussi douce et gentille qu’elle le prétend aux yeux des autres !
Alors, elle m’entraîne à l’écart, me prenant par la manche de mon chandail pour être sur que je ne tente aucune échappatoire, puis s’arrête brusquement, me faisant face. Sa main se retire de sa prise et s’approche dangereusement de mon menton mais, à mon grand étonnement, mère se ravise et la pose plutôt au creux de sa hanche svelte. Elle me murmure quelques paroles sèchement, des consignes devrais-je plutôt dire. Pense-t-elle réellement que je les ai oubliées ? Mère s’amuse à me les répéter à toutes les fois… J’acquiesce tout de même à chacune de ses paroles, faisant mine d’écouter attentivement, puis elle déposa un baiser furtif à ma joue tout en me souhaitant un agréable départ. Je la remercie, puis lui tourne le dos, grimaçant de dégoût en repensant à ce geste qu’elle fait sans même éprouver le moindre sentiment envers moi qui est l’un de ses fils… Le train semble prêt à quitter, j’accélère donc le pas, jetant un bref regard aux fenêtres des wagons qui semblent tous contenir le nombre maximum d’élèves. Je me mordille la lèvre inférieure, il doit bien rester une place libre quelque part ! Je grimpe dans le train, puis constate que, s’il reste des places libres, elles doivent être bien cachées !
Non… Non… Non… Ah ! Hm, fausse alerte…
Enfin ! Je vois une place libre un peu plus loin ! M’y dirigeant avec hâte, sans jeter un regard aux personnes à l’intérieur, j’ouvre la porte et…
Je pose une main au cadre de bois, m’y soutenant. Ah non ! C’est pas possible, mais quel poisse ! Spyd y est, ce n’est pas le problème… C’est plutôt le fait que sur l’autre banc sont assis ensemble deux jumeaux … Mes frères… Moi qui fait mon possible pour les éviter, voilà que je me trouve face à eux, sans la moindre issue de secours. Malgré mon étonnement, dans un effort surhumain, je réussis à ne rien laisser paraître et m’avance silencieusement dans la petite pièce, rangeant mes effets personnels. Je hais ce silence, mais je ne le brise pas puisque cela ne ferait qu’empirer l’atmosphère. Je m’assois à côté du cousin, puis rive mon regard à la fenêtre, essayant de me faire le plus discret possible même si je sais pertinemment qu’ils ont déjà remarqués ma présence…
Nous partons de la maison en trombe, après avoir rapidement empaquetés l’automobile, pour nous diriger vers la gare où, espérons-nous, le train attend encore. Mère avait perdu le fil du temps mais, bien entendu, c'est de ma faute et nous nous retrouvons obligés de nous presser pour être sur de ne pas le manquer, ce qui nous ferait certes perdre du temps précieux loin de cette maison et de cette folie. Je ne jette pas même un regard aux jumeaux tout le long du trajet, sachant que je ne supporterais pas de les voir abattus, et tiens ma tête bien haute afin que mes prunelles ne soient pas tentées d’y voir quelque chose. À la gare, ne désirant probablement plus nous endurer, ils entament une marche rapide, nous dépassant moi et mère qui marchons bien tranquillement. Je veux aller plus rapidement, mais à chaque fois, son regard me foudroie, me ramenant au pied tel un chien. Pourtant, je réussi à garder mon visage de marbre, sans émotion apparente, près d’elle qui, désirant bien paraître, c’était coiffée, maquillée et prenait la peine de sourire devant tout ces moldus.
Au loin, je vois les deux plus jeunes disparaître à la plate-forme 9 ¾, cela voulant dire que le train y est toujours et qu’il attend patiemment les élèves. Mère et moi y arrivons finalement et, comme à l’habitude, elle emboîte mon pas pour me rejoindre à la plate-forme où elle désire me saluer avant mon départ. Quelle bonne mère, penserez-vous. Mais ne vous y fiez pas, ce n’est qu’une parure pour camoufler son jeu de violente dominatrice, ma mère n’est pas aussi douce et gentille qu’elle le prétend aux yeux des autres !
Alors, elle m’entraîne à l’écart, me prenant par la manche de mon chandail pour être sur que je ne tente aucune échappatoire, puis s’arrête brusquement, me faisant face. Sa main se retire de sa prise et s’approche dangereusement de mon menton mais, à mon grand étonnement, mère se ravise et la pose plutôt au creux de sa hanche svelte. Elle me murmure quelques paroles sèchement, des consignes devrais-je plutôt dire. Pense-t-elle réellement que je les ai oubliées ? Mère s’amuse à me les répéter à toutes les fois… J’acquiesce tout de même à chacune de ses paroles, faisant mine d’écouter attentivement, puis elle déposa un baiser furtif à ma joue tout en me souhaitant un agréable départ. Je la remercie, puis lui tourne le dos, grimaçant de dégoût en repensant à ce geste qu’elle fait sans même éprouver le moindre sentiment envers moi qui est l’un de ses fils… Le train semble prêt à quitter, j’accélère donc le pas, jetant un bref regard aux fenêtres des wagons qui semblent tous contenir le nombre maximum d’élèves. Je me mordille la lèvre inférieure, il doit bien rester une place libre quelque part ! Je grimpe dans le train, puis constate que, s’il reste des places libres, elles doivent être bien cachées !
Non… Non… Non… Ah ! Hm, fausse alerte…
Enfin ! Je vois une place libre un peu plus loin ! M’y dirigeant avec hâte, sans jeter un regard aux personnes à l’intérieur, j’ouvre la porte et…
Je pose une main au cadre de bois, m’y soutenant. Ah non ! C’est pas possible, mais quel poisse ! Spyd y est, ce n’est pas le problème… C’est plutôt le fait que sur l’autre banc sont assis ensemble deux jumeaux … Mes frères… Moi qui fait mon possible pour les éviter, voilà que je me trouve face à eux, sans la moindre issue de secours. Malgré mon étonnement, dans un effort surhumain, je réussis à ne rien laisser paraître et m’avance silencieusement dans la petite pièce, rangeant mes effets personnels. Je hais ce silence, mais je ne le brise pas puisque cela ne ferait qu’empirer l’atmosphère. Je m’assois à côté du cousin, puis rive mon regard à la fenêtre, essayant de me faire le plus discret possible même si je sais pertinemment qu’ils ont déjà remarqués ma présence…
Elliot Devost- Nombre de messages : 380
Age : 34
Date d'inscription : 09/09/2007
Personnage
Maison: Slytherin
Études: Septième année
Âge: 18 ans
Re: Réunion de famille ~ Aïe, aïe !
Lorsque mon frère c'est levé, j'ai automatiquement eu le réflexe de l'attraper. Oui, je dois le dire, j'ai un attachement plus que possésif envers mon frère. Un lueur de panique dans les yeux, OU TU VAS COMME ÇA !!?!! il me lence un petit sourire, plus que mignon et s'assis sur mes genoux.
- Tu m’écrasais dans le mur. m'a t-il répondu.
ho.... D'accord. J'entoure ça taille de mes bras pour le serré contre moi encore une fois. T'en vas jamais, j'en mourrais. Je dépose ma tête sur son épaule, tout simplement bien dans cette position, lorsque, DAM l'apocalipse en personne montre le bout de son nez. Je n'ai rien contre lui, c'est vraiment quelu'un d,incroyablement compréhensif et ouvert, seulement il lui arrive parfois d,avoir des chagements de ... personalité ? C'est plutôt déroutant dans ses moments. Lui qui, Habituellement, se présente plutôt comme quelqu'un de naïf, même puis-je me le permettre, d'idiot. Pourtant, si vous le veriez en classe, il est tellemnt intelligent qu'il surpasse facile même les septième années les plus instruit. C,est plutôt difficile à immaginé, avec un sourire aussi niais.
- Eh bien dites donc, on ne se gène pas ici. À t-il affirmé joyeusement.
Et dans un mouvement parfaitement sincroniser, nous lui montrons, avec toute la maturité que nous possédons, une belle grimace en guise de "Qu'est-ce que ça peux bien te faire" . Je fais un petite mine boudeuse lorsqu'il s'asseois sur le ban en face, mais, rapidmeent, il se met à converser, et sans savoir pourquoi, je me détend. Il est difficile de ne pas apprécier un être comme lui.
On à parlé quelque minute jusqu'à se que l'horeur se pointe. L'ambience est subitement devenu glacial et froide. Pas un mot, ni un bruit, seulement un silence pesant qui en disait long sur notre répoussement et dégout envers se nouvel arrivant, Elliot. Le pire dans tout ça, c'est qu'il c'est insatallé aux côté de spyd, comme s'il en avait vraiment le droigt. Je me ressert contre mon frère, la machoire serrer, le sentant me retenir légèrement de luia rraché la tête en glissant ses doigt dans mes cheveux pour me calmé. Je suis sur que toi aussi tu en a envis autant que moi, tu est trop résonable mon frère.
[désolé pour les fautes vais corrigé.... ]
- Tu m’écrasais dans le mur. m'a t-il répondu.
ho.... D'accord. J'entoure ça taille de mes bras pour le serré contre moi encore une fois. T'en vas jamais, j'en mourrais. Je dépose ma tête sur son épaule, tout simplement bien dans cette position, lorsque, DAM l'apocalipse en personne montre le bout de son nez. Je n'ai rien contre lui, c'est vraiment quelu'un d,incroyablement compréhensif et ouvert, seulement il lui arrive parfois d,avoir des chagements de ... personalité ? C'est plutôt déroutant dans ses moments. Lui qui, Habituellement, se présente plutôt comme quelqu'un de naïf, même puis-je me le permettre, d'idiot. Pourtant, si vous le veriez en classe, il est tellemnt intelligent qu'il surpasse facile même les septième années les plus instruit. C,est plutôt difficile à immaginé, avec un sourire aussi niais.
- Eh bien dites donc, on ne se gène pas ici. À t-il affirmé joyeusement.
Et dans un mouvement parfaitement sincroniser, nous lui montrons, avec toute la maturité que nous possédons, une belle grimace en guise de "Qu'est-ce que ça peux bien te faire" . Je fais un petite mine boudeuse lorsqu'il s'asseois sur le ban en face, mais, rapidmeent, il se met à converser, et sans savoir pourquoi, je me détend. Il est difficile de ne pas apprécier un être comme lui.
On à parlé quelque minute jusqu'à se que l'horeur se pointe. L'ambience est subitement devenu glacial et froide. Pas un mot, ni un bruit, seulement un silence pesant qui en disait long sur notre répoussement et dégout envers se nouvel arrivant, Elliot. Le pire dans tout ça, c'est qu'il c'est insatallé aux côté de spyd, comme s'il en avait vraiment le droigt. Je me ressert contre mon frère, la machoire serrer, le sentant me retenir légèrement de luia rraché la tête en glissant ses doigt dans mes cheveux pour me calmé. Je suis sur que toi aussi tu en a envis autant que moi, tu est trop résonable mon frère.
[désolé pour les fautes vais corrigé.... ]
Yzaak Matis Devost- Nombre de messages : 30
Age : 34
Date d'inscription : 01/09/2007
Personnage
Maison: Slytherin
Études: Sixième année
Âge: 17 ans
Re: Réunion de famille ~ Aïe, aïe !
Notre douce sensation de tranquillité et de bien-être s’estompa en une seconde. Il fallait que quelqu’un entre dans notre compartiment. Je ne déteste pas les gens, mais en ce moment, je n’avais pas le goût d’être déranger. J’avais besoin de ce silence, de ce calme tout simplement réconfortant. Je m’aperçois bien vite que ce n’est nul autre que notre cousin Spyd. C’est quelqu’un avec qui je m’attends bien. Il est habituellement de bonne humeur et il est gentil avec nous. Aussi, lorsque nous sommes avec lui on peut parler de tout et de rien sans souci. J’avoue qu’en sa présence, c’est rare que mère pouvait lever le petit doigt sur nous. Quoique avec Elliot, notre grand frère, qu’il soit là ou pas, ne changeait rien à ses manières.
- Eh bien dites donc, on ne se gène pas ici. Sorti-t-il gaîment.
Nous lui répondons d’une grimace plutôt enfantine malgré nous, et ce au même moment. Peu importe ce qu’il pensait, cela nous importait peu. Je remarque la mine boudeuse de ma moitié et suit son regard vers notre cousin qui s’installe en face de nous. Nous jasons tous les trois sans problème. Une nouvelle atmosphère régnait dans le compartiment depuis l’arrivé de Spyd et elle est ma foi plaisante. Toutefois, cela ne dura pas bien longtemps. Il fallait qu’IL arrive. Celui qui inspire qu’une aura de froideur sur son passage. Je réussis à avoir quelques frissons, malgré la chaleur que me procurait mon frère d’amour. Eh oui, c’est toujours ainsi quand ce Elliot - voyez ici mon sarcasme - est là.
Le silence pesant était insoutenable et je comprenais parfaitement les ondes meurtrières qui émanaient de mon double. Je sentais également la pression de sa mâchoire qu’il serrait fortement ainsi que la pression au niveau de ma taille. Je tentais en vain de le calmer avec un massage crânien. C’était l’une des choses que j’adore faire et qui est souvent très pratique que ce soit pour lui ou pour moi. Ça le calme et moi aussi. Contrairement à lui, je préférais l’ignorer que de le fixer. Ça ne sert à rien Elliot, il est imbattable au niveau de la froideur et des regards glacials. J’approchai mes lèvres des oreilles de mon frèro et lui chuchoté d’une voix à peine audible ces quelques mots :
- T’occupes pas de lui pour le moment.
Je frotte mon nez dans ses cheveux et posa mon regard sur notre cousin. Je partis la conversation d’où l’on était afin de modifier un peu cette atmosphère étouffante.
- Eh bien dites donc, on ne se gène pas ici. Sorti-t-il gaîment.
Nous lui répondons d’une grimace plutôt enfantine malgré nous, et ce au même moment. Peu importe ce qu’il pensait, cela nous importait peu. Je remarque la mine boudeuse de ma moitié et suit son regard vers notre cousin qui s’installe en face de nous. Nous jasons tous les trois sans problème. Une nouvelle atmosphère régnait dans le compartiment depuis l’arrivé de Spyd et elle est ma foi plaisante. Toutefois, cela ne dura pas bien longtemps. Il fallait qu’IL arrive. Celui qui inspire qu’une aura de froideur sur son passage. Je réussis à avoir quelques frissons, malgré la chaleur que me procurait mon frère d’amour. Eh oui, c’est toujours ainsi quand ce Elliot - voyez ici mon sarcasme - est là.
Le silence pesant était insoutenable et je comprenais parfaitement les ondes meurtrières qui émanaient de mon double. Je sentais également la pression de sa mâchoire qu’il serrait fortement ainsi que la pression au niveau de ma taille. Je tentais en vain de le calmer avec un massage crânien. C’était l’une des choses que j’adore faire et qui est souvent très pratique que ce soit pour lui ou pour moi. Ça le calme et moi aussi. Contrairement à lui, je préférais l’ignorer que de le fixer. Ça ne sert à rien Elliot, il est imbattable au niveau de la froideur et des regards glacials. J’approchai mes lèvres des oreilles de mon frèro et lui chuchoté d’une voix à peine audible ces quelques mots :
- T’occupes pas de lui pour le moment.
Je frotte mon nez dans ses cheveux et posa mon regard sur notre cousin. Je partis la conversation d’où l’on était afin de modifier un peu cette atmosphère étouffante.
Dernière édition par le Ven 19 Oct - 13:23, édité 2 fois
Matis Yzaak Devost- Nombre de messages : 230
Age : 34
Date d'inscription : 01/09/2007
Personnage
Maison: Slytherin
Études: Sixième année
Âge: 17 ans
Re: Réunion de famille ~ Aïe, aïe !
La tention n’a jamais été aussi intence. Les choses venaient de changer du tout au tout. Elliot venait de faire sont entré. Quoi de plus glaciale qu’un famille en guerre réunie. On pouvait parfaitement voir la machoir crispé des jumeaux et l’envie de l’un deux d’attaquer l’aîné a coup de point tel un vulgère moldu. Le plus vieux prend place à côté de moi et fait mine de ne pas se préhoccupé du reste. L’ambiance est à son minimum, un vide intence s’installe dans la pièce. J’agrandi mon sourire question de détendre un peu, mais rien n’y fait. Les trois, continue à garder leur regard d’un glacial profond. La conversation reprend, beaucoup moins animé, plus dur et froide, avec beaucoup moins de non chalance, qu’asiment agréssive, même si le sujet en temps que tel n’en vallais pas la peine. Elle n,avais plus vraiment raison d’être, tout restais aussi dure et fracassant. Yun simple mot, suptile, un simple geste dicret. Tout était parfaitement claire, la présence de l’aîné n’était pas voulue. J’ai attrapé Elliot par les épaule pour engager mainte conversation mais il finissait toujours par se désisté, gardant se visage impassible qu’il suprimais seulement lorsqu’il était en ma présence et seulement moi, pas accompagner d’eux deux.
-Ellili !!! dit-je d’une petite plainte pour le faire réagir.
Mais, encore une fois, il enleva ma mains sur son épaule et continua à regardé le vide, la tête haute et le ragard froid sans expréssion. Je fis mine de soupiré et me tourna vers les jumeaux. Leur cas n’était pas vraiment mieux. Les deux, collé l’un à l’autre encore plus que jamais, regardait obstinément leur frère, tel un reproche muet. Je ne pouvait rien n’y faire. Je ne pourrais rien retiré de se petit groupe obstinément fermé et muet de colère.
On pouvais facilement voir qeul effort surhumain le possésif fesait pour ne pas bronché. Il était évidant que leur départ de la maison n’avais pas du être des plus joyeuse. Enfin, il n’y a jamais vraiment quoi que se sois de joyeux lorsqu’il s’agie de cette petite famille. Non décidément, aucun n’était ouvert à la conversation. Alors, je me lève. Passe un regard sur la troupe et souris.
-Je vais me chercher quelque chose à mangé !! vous voulez quelque chose ?
Aucun des trois ne répond, évidament je ne suis plus de la partie depuis un bon moment. J’ouvre alors la porte en direction d’un autre compartiment, futur personne à observé. Laissant derrière moi se compartiment froid et vide de joie.
[Retour à Hogwarts (Dean et Welindah)]
-Ellili !!! dit-je d’une petite plainte pour le faire réagir.
Mais, encore une fois, il enleva ma mains sur son épaule et continua à regardé le vide, la tête haute et le ragard froid sans expréssion. Je fis mine de soupiré et me tourna vers les jumeaux. Leur cas n’était pas vraiment mieux. Les deux, collé l’un à l’autre encore plus que jamais, regardait obstinément leur frère, tel un reproche muet. Je ne pouvait rien n’y faire. Je ne pourrais rien retiré de se petit groupe obstinément fermé et muet de colère.
On pouvais facilement voir qeul effort surhumain le possésif fesait pour ne pas bronché. Il était évidant que leur départ de la maison n’avais pas du être des plus joyeuse. Enfin, il n’y a jamais vraiment quoi que se sois de joyeux lorsqu’il s’agie de cette petite famille. Non décidément, aucun n’était ouvert à la conversation. Alors, je me lève. Passe un regard sur la troupe et souris.
-Je vais me chercher quelque chose à mangé !! vous voulez quelque chose ?
Aucun des trois ne répond, évidament je ne suis plus de la partie depuis un bon moment. J’ouvre alors la porte en direction d’un autre compartiment, futur personne à observé. Laissant derrière moi se compartiment froid et vide de joie.
[Retour à Hogwarts (Dean et Welindah)]
Spyd Devost- Génétiquement Manipulateur
- Nombre de messages : 173
Age : 34
Date d'inscription : 11/09/2007
Personnage
Maison: Ravenclaw
Études: Sixième année
Âge: 16 ans
Re: Réunion de famille ~ Aïe, aïe !
Mon regard argenté ne quitte pas l’horizon qui, plus la vitesse du train augmente, plus les objets qui y défilent sont difficiles à voir nettement et avec distinction. En ce même temps, je sais pertinemment qu’Ils me regardent, que leurs prunelles verdâtres me scrutent sans aucun enchantement ni joie de remarquer que je partagerai l’endroit avec eux pendant tout le trajet menant à l'école. Sans même les consulter du regard, je perçois quelques-uns de leurs mouvements impatients, mais mes fins traits faciaux demeurent le plus neutre possible, malgré mes doigts qui resserrent faiblement leur poigne le coussin du banc, chaque côté de mon frêle corps.
J’oscille mon regard acier vers le duo, mais le requitte tout aussi vivement, rapide comme un papillon et ses ailes fragiles, satisfaisant ma curiosité qui cherchait à découvrir ce qu’ils faisaient exactement. Ils me détestent… Cette pensée ne quitte pas mon esprit tandis que mon regard se perd dans la nature que me permet de voir la fenêtre. Puis, le seul être qui semble être capable de me supporter, de faire disparaître cette froideur qui dérange tant les autres, posa ses mains sur mes graciles épaules. Faiblement, j’y pose les miennes et retire cette pression, essayant de paraître le plus las possible, tout en cachant ce petit sourire que provoque l’action du cousin à mon égard. Puis, il prononça mon nom, mon surnom devrais-je dire, d’une petite voix plaintive qui me sort pleinement de ma rêverie en un léger sursaut. Ahhhhhhhh ! Il ne faut pas que je lâche mon masque d’indifférence ! Je réussi tant bien que mal à ne pas ciller d’un mouvement, gardant mon visage rivé vers l’extérieur et mon air quelque peu hautain. Je retire à nouveau ses mains de moi, toujours du même air, sinon légèrement plus irrité, en apparence. Puis, il se lève, déclarant qu’il part à la recherche de nourriture et nous demande si nous en voulons aussi. Bien entendu, nulle réponse ne se laisse entendre, il n’y a que ce silence lourd d’intention, présent depuis le temps où je suis apparu dans le compartiment, qui persiste tandis que Spyd quitte l’endroit ce qui laisse à mon cœur une légère touche de désolation. J’aurais désiré qu’il reste ici… Mais, avec eux, les jumeaux, je ne peux rien faire et je dois garder ma parure intacts à leurs yeux, inébranlables.
Je ne sais plus quoi faire, leurs regards posés sur moi me rendent nerveux et me font perdre mes moyens. C’est comme s’ils me détaillaient, je n’aime pas ça. Mon regard se pose au sol, je me concentre sur ma respiration, réfléchissant à une manière qui pourrait améliorer le voyage… Mais quooooooooooiiii !
Je lève mon visage vers eux, voyant désormais à quel point ils semblent se retenir l’un l’autre de venir me frapper ou même de faire le moindre geste vers moi. Ysaak, retenant son frère qui caresse sa chevelure rousse du bout de son nez, semble être le plus touché par ma présence. Pourtant, mes paroles s’envolent avant même que je ne pense à leur sens :
« Tout va bien ?, dis-je d’un ton totalement détaché de la situation. »
J’hausse un sourcil pour compléter le tableau.
* Imbécile !, me pris-je à penser. *
Toutefois, je ne quitte pas ces regards, ayant l’irrésistible envi de me frapper la tête contre le mur. Pourquoi est-ce que j’ai dit ça moi ?! Je désire réellement ma mort ? Je désire à ce point me faire détester pas ces êtres si cher à mes yeux ? Aaaaaaahhhh ! Stupide humain que je suis !
J’oscille mon regard acier vers le duo, mais le requitte tout aussi vivement, rapide comme un papillon et ses ailes fragiles, satisfaisant ma curiosité qui cherchait à découvrir ce qu’ils faisaient exactement. Ils me détestent… Cette pensée ne quitte pas mon esprit tandis que mon regard se perd dans la nature que me permet de voir la fenêtre. Puis, le seul être qui semble être capable de me supporter, de faire disparaître cette froideur qui dérange tant les autres, posa ses mains sur mes graciles épaules. Faiblement, j’y pose les miennes et retire cette pression, essayant de paraître le plus las possible, tout en cachant ce petit sourire que provoque l’action du cousin à mon égard. Puis, il prononça mon nom, mon surnom devrais-je dire, d’une petite voix plaintive qui me sort pleinement de ma rêverie en un léger sursaut. Ahhhhhhhh ! Il ne faut pas que je lâche mon masque d’indifférence ! Je réussi tant bien que mal à ne pas ciller d’un mouvement, gardant mon visage rivé vers l’extérieur et mon air quelque peu hautain. Je retire à nouveau ses mains de moi, toujours du même air, sinon légèrement plus irrité, en apparence. Puis, il se lève, déclarant qu’il part à la recherche de nourriture et nous demande si nous en voulons aussi. Bien entendu, nulle réponse ne se laisse entendre, il n’y a que ce silence lourd d’intention, présent depuis le temps où je suis apparu dans le compartiment, qui persiste tandis que Spyd quitte l’endroit ce qui laisse à mon cœur une légère touche de désolation. J’aurais désiré qu’il reste ici… Mais, avec eux, les jumeaux, je ne peux rien faire et je dois garder ma parure intacts à leurs yeux, inébranlables.
Je ne sais plus quoi faire, leurs regards posés sur moi me rendent nerveux et me font perdre mes moyens. C’est comme s’ils me détaillaient, je n’aime pas ça. Mon regard se pose au sol, je me concentre sur ma respiration, réfléchissant à une manière qui pourrait améliorer le voyage… Mais quooooooooooiiii !
Je lève mon visage vers eux, voyant désormais à quel point ils semblent se retenir l’un l’autre de venir me frapper ou même de faire le moindre geste vers moi. Ysaak, retenant son frère qui caresse sa chevelure rousse du bout de son nez, semble être le plus touché par ma présence. Pourtant, mes paroles s’envolent avant même que je ne pense à leur sens :
« Tout va bien ?, dis-je d’un ton totalement détaché de la situation. »
J’hausse un sourcil pour compléter le tableau.
* Imbécile !, me pris-je à penser. *
Toutefois, je ne quitte pas ces regards, ayant l’irrésistible envi de me frapper la tête contre le mur. Pourquoi est-ce que j’ai dit ça moi ?! Je désire réellement ma mort ? Je désire à ce point me faire détester pas ces êtres si cher à mes yeux ? Aaaaaaahhhh ! Stupide humain que je suis !
Elliot Devost- Nombre de messages : 380
Age : 34
Date d'inscription : 09/09/2007
Personnage
Maison: Slytherin
Études: Septième année
Âge: 18 ans
Re: Réunion de famille ~ Aïe, aïe !
M’éprisable, crasseux, sans pitier, laid, vicieux, impardonable et surtout détestable. Tout ça peux vous décrire ce qu’est parfaitement cet être ignoble, cet charogne de frère. Je n’ai pas porté attention au dépard du cousin. Par qu’il n’était pas intéréssant, ni même que ça présence ne nous dérangeais pas vraiment, mais je dois dire que mon attention était totalement focussé sur cette chose immonde chose emplie de malice et de malheure. Il est tellement… non chalant, indiférent, calme. Ça me donne la simple envie de lui en mettre une plein la figure comme c’est bon vieux moldu. L’idée me démange que j’en mort l’épaule de mon double, juste assez pour me retenir.
Je peux sentir les muscles de ce denier tendu, comme les miens. De la tête aux pieds, ils n’attendent que le déclancheur. Près à bondir sur l‘immondise au moindre mouvement tel une pantère assoifé de sang, et en se moment c’est ce que je voulais. Son sang répandu sur le sol comme celui de mon jumeaux quelques heures plus tôt. Oui, je voulais qu’il souffre. Et finalement, il m’a donné cette porte grande ouverte qui voulais tout simplement dire « mangez moi, c’est à volonté » !
-Espèce de… ai-je crié d’un voix hirrité.
Je veux bien me levé mais mon frère m’en empêche. Restant assi sur moi en tentant de me calmé du mieux qu’il peux bien que je peux facilement voir son hirritation, il a toujours été plus facile pour lui de garder son sang froid. Ce regard, ce visage… Je ne tiens plus. Mes muscle se contracte et pousse mon frère sur le côté sans douceur. Trop furieux pour pensé à quoi que ce sois d’autre de lui écraser mes jointures contre son visage trop calme.
-Je vais te montrer si on va bien !!!!
Le dents sérré, le poin bien fermé près à frapper, je m’élence vers lui. Je sens deux bras m’attrapé par la taille pour m’empêché de tuer cet face de rat pourrie.
-Matis laisse moi corrigé cette pouriture, ai-je crié en me débattant.
Il mérite pas de vivre ce crétin. Il le fait exprès. Il est venu pour nous narguer encore. C’est toujours comme ça. Dégage ordure ! DÉGAGE DE MA VUE !!! Cet enfant de … Merde il me fait chier !!! Matis laisse moi lui faire la peau. Regarde dans quel état t’es ! Occupe toi pas de lui mais de toi, bon sang !!!! Sur cet pensé, je m’arrêtte. C’est vrai Matis !!!
-Qu’est-ce que tu fait ! me suis-je plein, Tu vas empirer ton état !!!
Je me suis retourné pour l’attraper par les épaules le regard dur et sévère. Je ne trouve pas ça drôle ! C’est pas le moment de jouer les héros ! Surtout pour quelqu’un qui ne vos pas la peine ! Pourtant, je cède. Je dépose ma tête contre son torse et lâche un lonnnng soupire.
-il le méritait. Ai-je grogné de mécontentement.
Je peux sentir les muscles de ce denier tendu, comme les miens. De la tête aux pieds, ils n’attendent que le déclancheur. Près à bondir sur l‘immondise au moindre mouvement tel une pantère assoifé de sang, et en se moment c’est ce que je voulais. Son sang répandu sur le sol comme celui de mon jumeaux quelques heures plus tôt. Oui, je voulais qu’il souffre. Et finalement, il m’a donné cette porte grande ouverte qui voulais tout simplement dire « mangez moi, c’est à volonté » !
-Espèce de… ai-je crié d’un voix hirrité.
Je veux bien me levé mais mon frère m’en empêche. Restant assi sur moi en tentant de me calmé du mieux qu’il peux bien que je peux facilement voir son hirritation, il a toujours été plus facile pour lui de garder son sang froid. Ce regard, ce visage… Je ne tiens plus. Mes muscle se contracte et pousse mon frère sur le côté sans douceur. Trop furieux pour pensé à quoi que ce sois d’autre de lui écraser mes jointures contre son visage trop calme.
-Je vais te montrer si on va bien !!!!
Le dents sérré, le poin bien fermé près à frapper, je m’élence vers lui. Je sens deux bras m’attrapé par la taille pour m’empêché de tuer cet face de rat pourrie.
-Matis laisse moi corrigé cette pouriture, ai-je crié en me débattant.
Il mérite pas de vivre ce crétin. Il le fait exprès. Il est venu pour nous narguer encore. C’est toujours comme ça. Dégage ordure ! DÉGAGE DE MA VUE !!! Cet enfant de … Merde il me fait chier !!! Matis laisse moi lui faire la peau. Regarde dans quel état t’es ! Occupe toi pas de lui mais de toi, bon sang !!!! Sur cet pensé, je m’arrêtte. C’est vrai Matis !!!
-Qu’est-ce que tu fait ! me suis-je plein, Tu vas empirer ton état !!!
Je me suis retourné pour l’attraper par les épaules le regard dur et sévère. Je ne trouve pas ça drôle ! C’est pas le moment de jouer les héros ! Surtout pour quelqu’un qui ne vos pas la peine ! Pourtant, je cède. Je dépose ma tête contre son torse et lâche un lonnnng soupire.
-il le méritait. Ai-je grogné de mécontentement.
Yzaak Matis Devost- Nombre de messages : 30
Age : 34
Date d'inscription : 01/09/2007
Personnage
Maison: Slytherin
Études: Sixième année
Âge: 17 ans
Re: Réunion de famille ~ Aïe, aïe !
Je gardais mon regard pointé vers l’indésirable dans la pièce tout en me concentrant sur mon double. Malgré tous mes efforts, il se calme que trop lentement. C’est si dur de lui faire oublier sa présence surtout depuis le départ de notre cousin. Que faire jusqu’à son retour? En faite, je ne crois pas qu’il va revenir. Alors, que faire seul avec ces deux-là? Au moins tant que c’est silencieux comme cela et qu’Elliot ne décide pas de le provoquer, tout devrait rester dans ce calme. Malheureusement, une parole de trop sorti de la bouche de notre chouchou à maman.
- Tout va bien?
Quoi? Qu’est-ce que tu viens de dire? Es-tu bête à ce point!? Depuis le temps que tu vis sous le même toit que nous! Ne sais-tu donc pas que peu importe les mots sortant de ta bouche, c’est de la provocation pour lui. Veux-tu réellement te faire tuer? Je n’en reviens tout simplement pas. C’est signé son arrêt de mort quand on s’appelle Elliot Devost et qu’on parle en la présence d’Yzaak. Il a bien vu qu’il ne le supportait déjà pas en étant silencieux. Que pensait-il faire en agissant ainsi?
J’oublie le « suicidaire » lorsque je ressens une douleur à l’épaule. Elle ne me faisait pas mal en soi, mais à quelque part c’était un mauvais signe. Un TRÈS mauvais signe! Lorsqu’il passait à ce stade c’est qu’il était à la limite d’exploser. Un regard de plus vers lui et c’est fini.
-Espèce de…Dit ma tendre moitié avec une colère apparente.
Moi aussi, je ne le supporte pas, mais ce n’est pas le moment idéal de se battre. Nous avons eu assez d’ennuis avant de partir. Il est tant de se calmer et de décompresser. Pourquoi fallait-il qu’il vienne ICI!? Voyant que ce n’était pas le temps pour moi de me fâcher, je me concentre sur celui qui est en dessous de moi.
Je n’eus même pas le temps de m’apercevoir que mon frérot d’amour décidait d’agir, qu’il me pousse sans ménagement jusqu’à l’autre bout de la banquette. Je me repris toutefois assez vite pour empêcher le pire de se produire. Je saute sur mon jumeau et le tient fermement à la taille.
J’étais très en colère après Elliot, sauf que je ne pouvais le laisser se faire mettre un coup de poing en plein visage. Pourquoi? Parce que c’est ce que notre mère fait lorsque nous faisons une gaffe ou tout simplement parce qu’ELLE en a envie. À quoi bon se baisser à son niveau simplement parce qu’on est en rogne? Est-ce réellement une bonne raison? NON! Je ne suis pas en train de dire que mon frère adoré est pareil à ELLE. Non, pas du tout! C’est simplement normal de ressembler à nos parents sur certain point, c’est dans nos gènes voilà tout. Cela dit, il n’est pas du genre à être aussi violent et il est beaucoup plus aimable et attentionné envers les autres que la démone qui est malheureusement notre mère.
-Matis laisse-moi corriger cette pourriture! Me cri-t-il tout en essayant de s’échapper de mon emprise.
Je suis aussi têtu que lui quand je le veux. Et j’ai la ferme intention de le retenir jusqu’à temps qu’il se calme. Malgré que ça me fait terriblement mal. J’ai connu pire et je dois dire que c’est pour une bonne cause que je le retiens.
-Qu’est-ce que tu fais ! Tu vas empirer ton état !!!
Le revoilà, l’attentionné que je connais. Je souris et le relâche sachant qu’il ne fera plus rien désormais ou du moins pas tout de suite. Il me prend les épaules et me regarde de ce regard dur que je trouve si touchant de sa part. Je le regarde droit dans les yeux en affichant un sourire en coin pour son attention vis-à-vis mon état. J’en oublie l’autre que je viens de sauver.
-Il le méritait. dit-il une fois sa tête sur mon torse.
C’est fini! Le calme vient toujours après une tempête. Comme ça fait du bien. C’est ce que je voulais pour nous. C’est ce que nous avions de besoin.
Je lui caresse sa chevelure une fois de plus et lui remonte la tête au niveau de la mienne. Je l’oblige à glisser sa tête par-dessus mon épaule après que j’ai glissé mes bras dans son dos. Je laisse, par la suite mes mains se promener dans ses cheveux, dans son cou ou tout simplement dans son dos. Dans cette position, moi seul je pouvais envoyer des regards haineux vers le fauteur de troubles. Tant que leur regard ne se croisent pas, rien de dangereux ne se produira. Cette fois-ci, je ne ferai pas d’erreurs, du moins je l’espère.
Je m’écarte de quelques centimètres et je recule pour me laisser choir sur le banc. Tout en nous déplaçant, je prend soin d’empêcher Yzaak de se retourner. Je le fais asseoir sur moi et ce face à moi. Synchroniquement, nous plaçons notre tête sur l’épaule de notre double. Si j’ai fait cela, c’est de un parce que je ne tenais plus debout dans ce train qui file vers notre école. De deux, il y a moins de risque qu’il regarde l’intrus s’il ne voit que le dossier de la banquette.
Je pense à l’endroit où nous allons et ça me calme énormément. Car, pour nous c’est une école de rêves. Là où on est puni en étant fière de l’être. Je pousse un soupir de soulagement et ferme les yeux un moment.
- J’ai hâte que nous jouons des tours aux nouveaux arrivants. ai-je dit d’un ton rêveur en nous imaginant là-bas avec les autres élèves.
- Tout va bien?
Quoi? Qu’est-ce que tu viens de dire? Es-tu bête à ce point!? Depuis le temps que tu vis sous le même toit que nous! Ne sais-tu donc pas que peu importe les mots sortant de ta bouche, c’est de la provocation pour lui. Veux-tu réellement te faire tuer? Je n’en reviens tout simplement pas. C’est signé son arrêt de mort quand on s’appelle Elliot Devost et qu’on parle en la présence d’Yzaak. Il a bien vu qu’il ne le supportait déjà pas en étant silencieux. Que pensait-il faire en agissant ainsi?
J’oublie le « suicidaire » lorsque je ressens une douleur à l’épaule. Elle ne me faisait pas mal en soi, mais à quelque part c’était un mauvais signe. Un TRÈS mauvais signe! Lorsqu’il passait à ce stade c’est qu’il était à la limite d’exploser. Un regard de plus vers lui et c’est fini.
-Espèce de…Dit ma tendre moitié avec une colère apparente.
Moi aussi, je ne le supporte pas, mais ce n’est pas le moment idéal de se battre. Nous avons eu assez d’ennuis avant de partir. Il est tant de se calmer et de décompresser. Pourquoi fallait-il qu’il vienne ICI!? Voyant que ce n’était pas le temps pour moi de me fâcher, je me concentre sur celui qui est en dessous de moi.
Je n’eus même pas le temps de m’apercevoir que mon frérot d’amour décidait d’agir, qu’il me pousse sans ménagement jusqu’à l’autre bout de la banquette. Je me repris toutefois assez vite pour empêcher le pire de se produire. Je saute sur mon jumeau et le tient fermement à la taille.
J’étais très en colère après Elliot, sauf que je ne pouvais le laisser se faire mettre un coup de poing en plein visage. Pourquoi? Parce que c’est ce que notre mère fait lorsque nous faisons une gaffe ou tout simplement parce qu’ELLE en a envie. À quoi bon se baisser à son niveau simplement parce qu’on est en rogne? Est-ce réellement une bonne raison? NON! Je ne suis pas en train de dire que mon frère adoré est pareil à ELLE. Non, pas du tout! C’est simplement normal de ressembler à nos parents sur certain point, c’est dans nos gènes voilà tout. Cela dit, il n’est pas du genre à être aussi violent et il est beaucoup plus aimable et attentionné envers les autres que la démone qui est malheureusement notre mère.
-Matis laisse-moi corriger cette pourriture! Me cri-t-il tout en essayant de s’échapper de mon emprise.
Je suis aussi têtu que lui quand je le veux. Et j’ai la ferme intention de le retenir jusqu’à temps qu’il se calme. Malgré que ça me fait terriblement mal. J’ai connu pire et je dois dire que c’est pour une bonne cause que je le retiens.
-Qu’est-ce que tu fais ! Tu vas empirer ton état !!!
Le revoilà, l’attentionné que je connais. Je souris et le relâche sachant qu’il ne fera plus rien désormais ou du moins pas tout de suite. Il me prend les épaules et me regarde de ce regard dur que je trouve si touchant de sa part. Je le regarde droit dans les yeux en affichant un sourire en coin pour son attention vis-à-vis mon état. J’en oublie l’autre que je viens de sauver.
-Il le méritait. dit-il une fois sa tête sur mon torse.
C’est fini! Le calme vient toujours après une tempête. Comme ça fait du bien. C’est ce que je voulais pour nous. C’est ce que nous avions de besoin.
Je lui caresse sa chevelure une fois de plus et lui remonte la tête au niveau de la mienne. Je l’oblige à glisser sa tête par-dessus mon épaule après que j’ai glissé mes bras dans son dos. Je laisse, par la suite mes mains se promener dans ses cheveux, dans son cou ou tout simplement dans son dos. Dans cette position, moi seul je pouvais envoyer des regards haineux vers le fauteur de troubles. Tant que leur regard ne se croisent pas, rien de dangereux ne se produira. Cette fois-ci, je ne ferai pas d’erreurs, du moins je l’espère.
Je m’écarte de quelques centimètres et je recule pour me laisser choir sur le banc. Tout en nous déplaçant, je prend soin d’empêcher Yzaak de se retourner. Je le fais asseoir sur moi et ce face à moi. Synchroniquement, nous plaçons notre tête sur l’épaule de notre double. Si j’ai fait cela, c’est de un parce que je ne tenais plus debout dans ce train qui file vers notre école. De deux, il y a moins de risque qu’il regarde l’intrus s’il ne voit que le dossier de la banquette.
Je pense à l’endroit où nous allons et ça me calme énormément. Car, pour nous c’est une école de rêves. Là où on est puni en étant fière de l’être. Je pousse un soupir de soulagement et ferme les yeux un moment.
- J’ai hâte que nous jouons des tours aux nouveaux arrivants. ai-je dit d’un ton rêveur en nous imaginant là-bas avec les autres élèves.
Dernière édition par le Ven 28 Sep - 18:21, édité 1 fois
Matis Yzaak Devost- Nombre de messages : 230
Age : 34
Date d'inscription : 01/09/2007
Personnage
Maison: Slytherin
Études: Sixième année
Âge: 17 ans
Re: Réunion de famille ~ Aïe, aïe !
Le changement de leurs traits faciaux est immédiat, mais n’est malheureusement pas pour le mieux. Ah que c’est bête.… Non mais franchement, est-ce que j’ai réellement cru, pour un instant, qu’Ils auraient accueilli ma froideur à la rigolade ? Je suis tout simplement incorrigible, je le sais et je voudrais changer, mais j’ai toujours le désagréable réflexe d’agir sans penser lorsque je suis près d’eux. Je ne les quittes pas du regard, demeurant à l’affût de leur moindre geste, peut-être est-ce que la réaction ne sera pas aussi terrible que…
…
J’arrête nettement mais penser. Voir ainsi Ysaak mordre l’épaule de sa tendre moitié me prouve qu’en fait, je ne me suis peut-être pas vraiment trompé et qu’il y a bel et bien une tempête flamboyante qui s’accroît à une vitesse ahurissante. Essayer de baisser la tension d’une manière quelconque… ? Non ! Avec mon sens de l’humour si développé, remarquez ici mon sarcasme, je risque seulement d’aggraver la situation car, à l’habitude, mes blagues sont blessantes, froides, sarcastiques… Bref, rien qui pourrait calmer la fureur de frères qui en ont plus qu’assez de devoir nous supporter, moi et mère. Puis, une voix courroucée se fait entendre et je ne suis même pas étonné que cela me soit destiné. Ah ! Mais pourquoi il ne l’a pas continué sa phrase !? J’aurais pu savoir ce qu’ils pensent de moi, du moins un peu lors de leur colère… Il essaie de se lever, mais son jumeau le retient, je reconnais bien là la douceur de Matis qui arrive bien plus facilement à conserver son sang froid lors de moment comme celui-ci. J’aime bien son attitude, mais Ysaak est beaucoup plus agressif tout comme… Un imperceptible frisson parcours mon corps. Il s’emporte si facilement, tout comme Elle… Brusquement, il rejette son frère sur le côté, bondissant aussitôt sur ses pieds.
- Je vais te montrer si on va bien !!!! qu’il siffle entre ses dents.
Je peux voir ses doigts bien refermés, son poing prêt à frapper, à me frapper plus précisément. Il s’avance puis, s’arrête. J’avoue être surpris, mais je ne suis pas réellement étonné d’en voir la cause. Deux bras l’entourent, l’empêchant de faire un autre pas en ma direction. Pourriture… Finalement, est-ce que je désirais réellement savoir ce qu’il pensait de moi ? Une lueur de tristesse passe rapidement comme l’éclaire à mon regard et je réprime mon soupire découragé. L’énergique cesse de se débattre, semblant repenser à quelque chose. Il se retourne vers son jumeau, se plaignant au sujet de l’état qu’il a et… Dit que je l’aurais mérité. Mais non ! Enfin, peut-être que si… Et je ne peux tout simplement pas m’excuser, ils ne le prendraient pas du tout au sérieux ! Avant même d’atteindre Poudlard je serais mort si je faisais quelque chose d’autre. Matis réussit à calmer son frère, faisant rapidement chuter la tension que ma maladresse avait causée. Et moi je reste là, silencieux tout en les regardants se réconforter mutuellement. Je n'ai... Jamais eu droit à ce genre de chose. Ressentant une puissante vague de jalousie prendre mon coeur d'assaut, je repose mon regard à l'extérieur, juste après avoir vu le regard haineux que me lance Matis.
Mes frères me détestent, je n'ai donc pas d'amour de ce côté.
Mère me déteste, me fait subir d'atroces souffrances, je ne reçois donc pas plus d'amour d'elle...
Notre père est disparu, ou plutôt très rarement présent et il ne m'affectionne pas tout particulièrement... Il est pire qu'Elle.
Ils ne savent pas la chance qu'Ils ont, ils ne savent tout simplement pas ce que je donnerais pour être né en même temps qu'eux ou bien seulement être à l'une de ces deux places... En silence, afin de ne pas me faire entendre par Ysaak, je prend la place désormais libre à côté de la fenêtre, l'endroit même où était Spyd légèrement plus tôt. Spyd... Il est le seul qui m'a vu pleurer et sourire en toute franchise, sans mon masque d'indifférence total. Peut-être est-ce que le duo pourra un jour voir qui je suis réellement... M'enfin, pour l'instant, je rive mes prunelles grisâtres au décors, laissant mon corps s'appuyer au mur avec lenteur. Le voyage risque d'être long, mais je sais maintenant qu'il est complètement inutile d'ajouter la moindre parole. Alors, je laisse mes lèvres closes, les laissant dans leur monde où rien de la maison n'existe.
…
J’arrête nettement mais penser. Voir ainsi Ysaak mordre l’épaule de sa tendre moitié me prouve qu’en fait, je ne me suis peut-être pas vraiment trompé et qu’il y a bel et bien une tempête flamboyante qui s’accroît à une vitesse ahurissante. Essayer de baisser la tension d’une manière quelconque… ? Non ! Avec mon sens de l’humour si développé, remarquez ici mon sarcasme, je risque seulement d’aggraver la situation car, à l’habitude, mes blagues sont blessantes, froides, sarcastiques… Bref, rien qui pourrait calmer la fureur de frères qui en ont plus qu’assez de devoir nous supporter, moi et mère. Puis, une voix courroucée se fait entendre et je ne suis même pas étonné que cela me soit destiné. Ah ! Mais pourquoi il ne l’a pas continué sa phrase !? J’aurais pu savoir ce qu’ils pensent de moi, du moins un peu lors de leur colère… Il essaie de se lever, mais son jumeau le retient, je reconnais bien là la douceur de Matis qui arrive bien plus facilement à conserver son sang froid lors de moment comme celui-ci. J’aime bien son attitude, mais Ysaak est beaucoup plus agressif tout comme… Un imperceptible frisson parcours mon corps. Il s’emporte si facilement, tout comme Elle… Brusquement, il rejette son frère sur le côté, bondissant aussitôt sur ses pieds.
- Je vais te montrer si on va bien !!!! qu’il siffle entre ses dents.
Je peux voir ses doigts bien refermés, son poing prêt à frapper, à me frapper plus précisément. Il s’avance puis, s’arrête. J’avoue être surpris, mais je ne suis pas réellement étonné d’en voir la cause. Deux bras l’entourent, l’empêchant de faire un autre pas en ma direction. Pourriture… Finalement, est-ce que je désirais réellement savoir ce qu’il pensait de moi ? Une lueur de tristesse passe rapidement comme l’éclaire à mon regard et je réprime mon soupire découragé. L’énergique cesse de se débattre, semblant repenser à quelque chose. Il se retourne vers son jumeau, se plaignant au sujet de l’état qu’il a et… Dit que je l’aurais mérité. Mais non ! Enfin, peut-être que si… Et je ne peux tout simplement pas m’excuser, ils ne le prendraient pas du tout au sérieux ! Avant même d’atteindre Poudlard je serais mort si je faisais quelque chose d’autre. Matis réussit à calmer son frère, faisant rapidement chuter la tension que ma maladresse avait causée. Et moi je reste là, silencieux tout en les regardants se réconforter mutuellement. Je n'ai... Jamais eu droit à ce genre de chose. Ressentant une puissante vague de jalousie prendre mon coeur d'assaut, je repose mon regard à l'extérieur, juste après avoir vu le regard haineux que me lance Matis.
Mes frères me détestent, je n'ai donc pas d'amour de ce côté.
Mère me déteste, me fait subir d'atroces souffrances, je ne reçois donc pas plus d'amour d'elle...
Notre père est disparu, ou plutôt très rarement présent et il ne m'affectionne pas tout particulièrement... Il est pire qu'Elle.
Ils ne savent pas la chance qu'Ils ont, ils ne savent tout simplement pas ce que je donnerais pour être né en même temps qu'eux ou bien seulement être à l'une de ces deux places... En silence, afin de ne pas me faire entendre par Ysaak, je prend la place désormais libre à côté de la fenêtre, l'endroit même où était Spyd légèrement plus tôt. Spyd... Il est le seul qui m'a vu pleurer et sourire en toute franchise, sans mon masque d'indifférence total. Peut-être est-ce que le duo pourra un jour voir qui je suis réellement... M'enfin, pour l'instant, je rive mes prunelles grisâtres au décors, laissant mon corps s'appuyer au mur avec lenteur. Le voyage risque d'être long, mais je sais maintenant qu'il est complètement inutile d'ajouter la moindre parole. Alors, je laisse mes lèvres closes, les laissant dans leur monde où rien de la maison n'existe.
Elliot Devost- Nombre de messages : 380
Age : 34
Date d'inscription : 09/09/2007
Personnage
Maison: Slytherin
Études: Septième année
Âge: 18 ans
Re: Réunion de famille ~ Aïe, aïe !
Je rumine contre son torse jusqu'à sentir ses doigts sur mon menton. Mon cœur fait un bon, j'oublie mes envies de meurtre. J'ai l'impression de sautez dans le vide. Ses yeux si doux, me transperce. Ça fait... mal. Si tu savais comme ta douceur pouvais me détruire à se point. Tu en serais inquiet, malheureux à ton tour. Non, ce secret je le garde pour moi. Vos mieux parfois garder certaine chose pour nous, même si mes entrailles se déchire et me cris de le dire, ma bouche reste obstinément close.
Ta main qui se perd dans mes cheveux, tes bras qui se renferme sur moi, ton souffle si près, si calme. Je ferme les yeux, ressentant la moindre de tes caresses et j’oublie se qui m’entoure. J’oublie qu’il existe un autre monde que le nôtre. J’entre dans cette bulle que seul toi et moi peuvent comprendre, dans cette univers ou seul toi existe pour moi. Toi, moi, nous, seulement nous. Ni eux, ni lui, ni elle. Juste nous.
Et là tu t’éloigne, je panique. Trop loin, trop distant. Je te veux près de moi, ne te sauve pas. J’ai peur. Peur que tu ne reviennes pas. Tu n’es pourtant pas si loin, mais mon cœur se serre de plus en plus. Je tombe dans cette réalité cru. Dans une solitude effrayante et cruelle. Je frissonne. Je le regarde et me dit que c’est mieux pour toi. Loin de moi. Je deviens de plus en plus monstrueux, dangereux même. Tu ne dois pas trop t’approcher. Reste loin. Sinon, je finir par te salir, comme moi. Sale et crasseux. Trop… Amoureux.
Et là, alors que je me résigne à ma solitude, tu m’attrape, et me tire vers toi. J’oublie ma peur. J’oublie l’idée de t’éloigné de moi, c’est trop dure. Toujours avec moi, reste toujours avec moi. S’il te plait.
Mais, je suis sale.
Je m’assis sur tes genoux et dépose ma tête sur ton épaule. J’enfouie ma tête dans ton cou. Me retenir, surtout me retenir. Alors je préfère fermer les yeux. Mais, je sens toujours tes mains, tes doigts qui dessinent de façon distraite dans mon dos. Je t’aime tellement que ça me fait peur. Alors je préfère dormir. Je te répond un vague «oui» et lentement mes yeux se selle, et mon esprit par à la dérive.
Tes mains qui glisse sur ma peau, tes lèvres qui retrouve les miennes, tes mots doux dans le creux de mon oreille. Une parole prononcée. Je t’aime.
Rêve qui nous qui nous démontre à quelle point notre réalité est dur et cruelle. Je me suis endormie. Combien de temps ? Il fait noir à l’extérieur. Tu te colle à mon oreille pour me murmurer de me réveillé que nous devions nous préparer croyant que je suis toujours endormie. Je lève ma tête et retourne dans se monde qui n’est pas le notre. La tension est revenue. Je me lève et n’adresse aucun regard à Elliot.
L’année allais être bien … L’année prochaine il n’y aura plus d’Elliot, se sera la meilleur et la plus triste des années… du moins je crois. J’enlève ma camisole et mes pantalons pour enfiler des pantalons noirs et une chemise blanche. J’attarde mon regard sur le corps de mon double. Criblé de cicatrice. Pourtant, je le trouvais atrocement beau et moi atrocement laid. Ironique n’est-ce pas. Nous qui somme jumeaux identique. Je me mort la lèvre inférieur, j’ai les entrailles qui s’entortille.
-Je vais bien…
Je me rends subitement compte que je fixais, non dévorait serais plus juste, le torse de mon frère tout en me mordant les lèvres. Petit naïf vas.
-Je sais Je sais… ai-je répondu en détournant le regard.
HABILLE-TOI !!! Je lui tourne le dos, si ça continue je vais rougir et la, mon frère a beau être crédule il n’est pas si stupide. En me tournant je me rends compte que je faisais face à Elliot. Géniale, pris dans un dilemme.
-Quoi ? Ai-je grogné en voyant le frère me dévisager.
Était-il moins innocent ? Mes mains en tremblant quasiment, m’emmêlant deux trois fois dans les boutons de ma chemise.
Ta main qui se perd dans mes cheveux, tes bras qui se renferme sur moi, ton souffle si près, si calme. Je ferme les yeux, ressentant la moindre de tes caresses et j’oublie se qui m’entoure. J’oublie qu’il existe un autre monde que le nôtre. J’entre dans cette bulle que seul toi et moi peuvent comprendre, dans cette univers ou seul toi existe pour moi. Toi, moi, nous, seulement nous. Ni eux, ni lui, ni elle. Juste nous.
Et là tu t’éloigne, je panique. Trop loin, trop distant. Je te veux près de moi, ne te sauve pas. J’ai peur. Peur que tu ne reviennes pas. Tu n’es pourtant pas si loin, mais mon cœur se serre de plus en plus. Je tombe dans cette réalité cru. Dans une solitude effrayante et cruelle. Je frissonne. Je le regarde et me dit que c’est mieux pour toi. Loin de moi. Je deviens de plus en plus monstrueux, dangereux même. Tu ne dois pas trop t’approcher. Reste loin. Sinon, je finir par te salir, comme moi. Sale et crasseux. Trop… Amoureux.
Et là, alors que je me résigne à ma solitude, tu m’attrape, et me tire vers toi. J’oublie ma peur. J’oublie l’idée de t’éloigné de moi, c’est trop dure. Toujours avec moi, reste toujours avec moi. S’il te plait.
Mais, je suis sale.
Je m’assis sur tes genoux et dépose ma tête sur ton épaule. J’enfouie ma tête dans ton cou. Me retenir, surtout me retenir. Alors je préfère fermer les yeux. Mais, je sens toujours tes mains, tes doigts qui dessinent de façon distraite dans mon dos. Je t’aime tellement que ça me fait peur. Alors je préfère dormir. Je te répond un vague «oui» et lentement mes yeux se selle, et mon esprit par à la dérive.
Tes mains qui glisse sur ma peau, tes lèvres qui retrouve les miennes, tes mots doux dans le creux de mon oreille. Une parole prononcée. Je t’aime.
Rêve qui nous qui nous démontre à quelle point notre réalité est dur et cruelle. Je me suis endormie. Combien de temps ? Il fait noir à l’extérieur. Tu te colle à mon oreille pour me murmurer de me réveillé que nous devions nous préparer croyant que je suis toujours endormie. Je lève ma tête et retourne dans se monde qui n’est pas le notre. La tension est revenue. Je me lève et n’adresse aucun regard à Elliot.
L’année allais être bien … L’année prochaine il n’y aura plus d’Elliot, se sera la meilleur et la plus triste des années… du moins je crois. J’enlève ma camisole et mes pantalons pour enfiler des pantalons noirs et une chemise blanche. J’attarde mon regard sur le corps de mon double. Criblé de cicatrice. Pourtant, je le trouvais atrocement beau et moi atrocement laid. Ironique n’est-ce pas. Nous qui somme jumeaux identique. Je me mort la lèvre inférieur, j’ai les entrailles qui s’entortille.
-Je vais bien…
Je me rends subitement compte que je fixais, non dévorait serais plus juste, le torse de mon frère tout en me mordant les lèvres. Petit naïf vas.
-Je sais Je sais… ai-je répondu en détournant le regard.
HABILLE-TOI !!! Je lui tourne le dos, si ça continue je vais rougir et la, mon frère a beau être crédule il n’est pas si stupide. En me tournant je me rends compte que je faisais face à Elliot. Géniale, pris dans un dilemme.
-Quoi ? Ai-je grogné en voyant le frère me dévisager.
Était-il moins innocent ? Mes mains en tremblant quasiment, m’emmêlant deux trois fois dans les boutons de ma chemise.
Yzaak Matis Devost- Nombre de messages : 30
Age : 34
Date d'inscription : 01/09/2007
Personnage
Maison: Slytherin
Études: Sixième année
Âge: 17 ans
Re: Réunion de famille ~ Aïe, aïe !
Nous sommes confortablement collés l’un à l’autre. Lui, ma tendre moitié dormant calmement sur moi. Il ne fait que bouger de temps à autre. Je me demande à quoi il rêve. Peut-être nous voient-ils déjà là-bas en train de s’amuser à jeter des sorts aux gens qui le mérite ou simplement pour s’amuser. Peut-être rêve-t-il que nous ayons une retenue à cause qu’on a encore embêter un professeur. Je continue comme cela en souriant bêtement. Puis, je me souviens qu’ en face de moi se trouve notre frérot. Il s’avère qu’il a pris la bonne initiative de se taire pour de bon. Je l’observe d’un regard neutre de ma place. Il est concentré par le paysage qui défile à l’extérieur de notre cabine tout comme je l’étais au tout début du voyage. Lorsque nous étions simplement deux. Plus je le regarde, plus il me fait penser à notre père et à moi. Les deus sont dotés d’un contrôle impressionnant de leurs émotions. Ils sont d’après moi des grands maîtres dans cette discipline. Moi, je réussis qu’à être aussi calme qu’eux. Je me rappelle moins de notre paternel, mais pour ce qui est d’Elliot, il dégage un espèce de vide autour de lui. Il semble dépourvu d’émotions puisqu’il les cache tant. S’il agissait autrement, il serait sûrement plus apprécié. J’arrête de le fixer et pose plutôt mon regard dans le vide.
Moi, aussi j’aimerais réussir à fermer l’œil. Peut-être que ça passerait plus vite? Je soupire pour la x ième fois dans la journée. Dire que c’est moi qui me plaignait, il y a quelques minutes de toute cette action et qui désirait le calme. Maintenant un peu de bruit ne serait pas de refus. Qu’est-il arrivé avec le cousin? Il s’est étouffé avec sa nourriture? Il est tombé malade? Il s’est endormi en chemin? Peut-être qu’en fait c’était qu’une échappatoire et qu’il est parti parce qu’il en avait marre de nous. Oui, ça doit être ça. J’avoue que je ne connais personne qui resterait ici de son plein gré quoique ça devrait être différent pour lui vu qu’il fait parti de la famille. Qu’importe, il faut faire avec le fait qu’il n’est plus ici et qu’il ne reviendra sûrement jamais. Je chasse ses idées peu encourageantes et laisse mes yeux se posés sur les plaines au dehors.
La nature est aussi changeante que mes humeurs. Je voulais du calme, maintenant je veux de la vie. Tout le contraire de ce qui se passe dehors. Il n’y avait qu’un petit vent tout à l’heure, présentement il a augmenté et la pluie se déverse sur la vitre. Les gens d’habitude n’aiment pas la pluie pourtant moi elle ne me dérange pas plus qu’il le faut. Ça n’affecte pas vraiment mon moral et le fait d’être mouillé ne me dérange pas du tout. Dans ses moments-là, je redeviens un gamin de 8 ans. Je me mets à courir sous cette douche géante suivit de mon frère jumeau et tous les deux marchons le temps que nous voulons sans que personne veuille nous suivre. On se sens alors libre et seul au monde. Notre quartier étant peuplé de personnes assez âgées, il n’y a pas grande âme qui sont dehors lors de ces températures. Nous pouvons passer des heures ainsi. Bien sûr, la plupart du temps quand nous revenons, non seulement nous sommes trempés jusqu’aux os, mais le lendemain nous avons une grippe. Même si l’on tombe malade après c’est plus fort que nous. C’est tellement une libération pour nous et malheureusement, c’est un moment qui n’arrive pas si souvent que ça. La vent se calme, la pluie cesse et le soir tombe. Il reste peu de temps avant notre arrivée. C’est le moment de se changer en tenue de sorcier.
- Yzaak, il est l’heure de nous préparer. On va arriver à l’école bientôt. Chuchotai-je doucement à son oreille afin de ne pas le réveiller en sursaut.
Il se réveille presque aussitôt après que je lui ai parlé. Je le regarde lancer sa camisole et ses pantalons sur le sol à la vitesse de l’éclair. Ensuite, il saisit ses vêtements pour l’école et les enfilent sans tarder. Le temps qu’il a pris pour faire tout cela, j’ai uniquement enlevé mon haut. Nous avons pourtant le même linge sur le dos. Pour celui qui vient à peine de se réveiller, il est franchement plus rapide que moi. Je l’observe surpris de ce fait et c’est alors, que je le vois épier mon torse. Je baisse mes yeux et regardent les tonnes de cicatrices qui recouvrent mon corps. Je repenses à la scène ultérieure, lorsqu’il s’inquiétait pour mes blessures.
- Je vais bien… Dis-je en le regardant confus.
Qu’est-ce qu’il y a? Pourquoi ce regard vers mon ventre? Pourquoi se mord-t-il les lèvres? Je tentais de déchiffrer à quoi il pensait et sincèrement je n’arrivais pas à le cerner. Ça me contrarie un peu, comment se fait-il que je ne le comprenne pas? Nous sommes un tout. Il est comme moi et je suis comme lui. Alors, pourquoi?
-Je sais Je sais…
Il ne me regardait pas pour ça! Il…c’était quoi ça! Il fuit mon regard pour se tourner vers Elliot! Yzaak, ne me dit pas que…est-ce que…non…à quoi je penses! C’est impossible! Un doute me vient lorsque je croise le regard de notre grand frère et s’efface aussi subitement que disparaît sa petite expression au visage après le commentaire de mon double.
Je finis de m’habiller le plus vite possible au cas où l’un deux déciderait de reprendre leur combat de tout à l’heure. Étrangement, ils sont face à face et rien ne se passe. Je suis soulagé et étonné de les voir comme cela. Il faut croire que l’incident de tout à l’heure est oublié. Je m’approche d’eux et dépose ma tête sur l’épaule gauche d’Yzaak. Je souris à mes deux frères étant contents de voir que la tension bien qu’encore présente, n’est plus aussi intense qu’auparavant.
- Il y avait une de ses pluies pendant que tu dormais. Dis-je à ma tendre moitié.
Oui, je n’ai pas parlé à Elliot sinon ce serait comme de donner une arme dans les mains de mon jumeau et ça ne ferait qu’une nouvelle tempête. Je garde tout de même mon sourire affiché au visage.
Moi, aussi j’aimerais réussir à fermer l’œil. Peut-être que ça passerait plus vite? Je soupire pour la x ième fois dans la journée. Dire que c’est moi qui me plaignait, il y a quelques minutes de toute cette action et qui désirait le calme. Maintenant un peu de bruit ne serait pas de refus. Qu’est-il arrivé avec le cousin? Il s’est étouffé avec sa nourriture? Il est tombé malade? Il s’est endormi en chemin? Peut-être qu’en fait c’était qu’une échappatoire et qu’il est parti parce qu’il en avait marre de nous. Oui, ça doit être ça. J’avoue que je ne connais personne qui resterait ici de son plein gré quoique ça devrait être différent pour lui vu qu’il fait parti de la famille. Qu’importe, il faut faire avec le fait qu’il n’est plus ici et qu’il ne reviendra sûrement jamais. Je chasse ses idées peu encourageantes et laisse mes yeux se posés sur les plaines au dehors.
La nature est aussi changeante que mes humeurs. Je voulais du calme, maintenant je veux de la vie. Tout le contraire de ce qui se passe dehors. Il n’y avait qu’un petit vent tout à l’heure, présentement il a augmenté et la pluie se déverse sur la vitre. Les gens d’habitude n’aiment pas la pluie pourtant moi elle ne me dérange pas plus qu’il le faut. Ça n’affecte pas vraiment mon moral et le fait d’être mouillé ne me dérange pas du tout. Dans ses moments-là, je redeviens un gamin de 8 ans. Je me mets à courir sous cette douche géante suivit de mon frère jumeau et tous les deux marchons le temps que nous voulons sans que personne veuille nous suivre. On se sens alors libre et seul au monde. Notre quartier étant peuplé de personnes assez âgées, il n’y a pas grande âme qui sont dehors lors de ces températures. Nous pouvons passer des heures ainsi. Bien sûr, la plupart du temps quand nous revenons, non seulement nous sommes trempés jusqu’aux os, mais le lendemain nous avons une grippe. Même si l’on tombe malade après c’est plus fort que nous. C’est tellement une libération pour nous et malheureusement, c’est un moment qui n’arrive pas si souvent que ça. La vent se calme, la pluie cesse et le soir tombe. Il reste peu de temps avant notre arrivée. C’est le moment de se changer en tenue de sorcier.
- Yzaak, il est l’heure de nous préparer. On va arriver à l’école bientôt. Chuchotai-je doucement à son oreille afin de ne pas le réveiller en sursaut.
Il se réveille presque aussitôt après que je lui ai parlé. Je le regarde lancer sa camisole et ses pantalons sur le sol à la vitesse de l’éclair. Ensuite, il saisit ses vêtements pour l’école et les enfilent sans tarder. Le temps qu’il a pris pour faire tout cela, j’ai uniquement enlevé mon haut. Nous avons pourtant le même linge sur le dos. Pour celui qui vient à peine de se réveiller, il est franchement plus rapide que moi. Je l’observe surpris de ce fait et c’est alors, que je le vois épier mon torse. Je baisse mes yeux et regardent les tonnes de cicatrices qui recouvrent mon corps. Je repenses à la scène ultérieure, lorsqu’il s’inquiétait pour mes blessures.
- Je vais bien… Dis-je en le regardant confus.
Qu’est-ce qu’il y a? Pourquoi ce regard vers mon ventre? Pourquoi se mord-t-il les lèvres? Je tentais de déchiffrer à quoi il pensait et sincèrement je n’arrivais pas à le cerner. Ça me contrarie un peu, comment se fait-il que je ne le comprenne pas? Nous sommes un tout. Il est comme moi et je suis comme lui. Alors, pourquoi?
-Je sais Je sais…
Il ne me regardait pas pour ça! Il…c’était quoi ça! Il fuit mon regard pour se tourner vers Elliot! Yzaak, ne me dit pas que…est-ce que…non…à quoi je penses! C’est impossible! Un doute me vient lorsque je croise le regard de notre grand frère et s’efface aussi subitement que disparaît sa petite expression au visage après le commentaire de mon double.
Je finis de m’habiller le plus vite possible au cas où l’un deux déciderait de reprendre leur combat de tout à l’heure. Étrangement, ils sont face à face et rien ne se passe. Je suis soulagé et étonné de les voir comme cela. Il faut croire que l’incident de tout à l’heure est oublié. Je m’approche d’eux et dépose ma tête sur l’épaule gauche d’Yzaak. Je souris à mes deux frères étant contents de voir que la tension bien qu’encore présente, n’est plus aussi intense qu’auparavant.
- Il y avait une de ses pluies pendant que tu dormais. Dis-je à ma tendre moitié.
Oui, je n’ai pas parlé à Elliot sinon ce serait comme de donner une arme dans les mains de mon jumeau et ça ne ferait qu’une nouvelle tempête. Je garde tout de même mon sourire affiché au visage.
Matis Yzaak Devost- Nombre de messages : 230
Age : 34
Date d'inscription : 01/09/2007
Personnage
Maison: Slytherin
Études: Sixième année
Âge: 17 ans
Re: Réunion de famille ~ Aïe, aïe !
L'endroit est désormais si calme que nous pouvons entendre, tel un murmure, les voix des élèves dans les pièces environnantes. Mais, est-ce que j'aime réellement mieux ce silence si lourd de sens, si lourd d'émotions ? Je soupire. Non ! Je me retiens au dernier instant, le réprimant d'une manière discrète afin de ne pas créer, à nouveau, des tensions qui pourraient bien mal se terminer. Après tout, ce geste, aussi naturel soit-il, pourrait bien être perçu, par les jumeaux, comme une annonce de guerre ou bien une menace. De la paranoïa ? Oui, je vous l'accorde, peut-être que je me soucis trop de ces gestes insignifiants... Mais, je désire tant ne pas me faire détester que, lorsqu'ils sont là, j'essai de ne plus exister. Je respire, mais c'est tout juste !
Je ne dois pas les regarder, je ne dois pas... Ah ! Mais quelle idée de rendre le paysage floue en y laissant déverser la pluie ! Je ne vois plus rien de réel, que des tâches de couleurs ternes qui se superposent les unes aux autres pour former... Un amas de tâches... Je ne dois pas soupirer, je ne dois pas les regarder, ni même penser à jeter une remarque... Mais pourquoi alors est-ce que la nature me paraît, soudainement, si peu attirante ? Je n'en peux plus et jette un petit regard à leur intention. Que je sois maudit ! Je le replonge aussitôt dans le décors abstrait, camouflant tant bien que mal mes sentiments. Peut-être devrais-je aller voir où en est rendu Spyd ? Quel crétin ! Il doit s'être sauvé lui, il est intelligent après tout !
Ma mâchoire se crispe un tantinet, tandis que j'essai, tant bien que mal, de changer mes pensées pour de meilleurs. Les jumeaux sont là, l'un sur l'autre, s'aimant d'un amour qu'eux seuls peuvent comprendre... Je les aime ? Oui, je les aime, seulement, ce n'est en aucun cas réciproque... Et puis, est-ce que j'aimerais vraiment que l'on me voit dans de telles positions avec une personne du même sexe, même si ce serait mon frère ?
...
Je balaye ses pensées au loin, gardant mes paupières closes un certain moment. Je n'ose même pas imaginer... En fait peut-être que... NON ! Je n'ose même pas imaginer la scène. Je n'y est pas ma place, ce n'est pas moi et je ne serai jamais admis dans ce clan qui n'accepte, d'ailleurs, pas de nouveaux membres. Pourquoi est-ce que les autres pièces étaient-elles complètes ? ...Car nous sommes arrivés en retard... Ah oui, suis-je bête et ce n'est CERTAINEMENT pas la faute de mère ! Est-ce son idée ? Aurait-elle pu concocter un plan aussi songé et cruelle ? Ah et voilà la paranoïa de retour, comme tu m'as manqué, encore ces sarcasmes... En me plongeant dans mes pensées, j'avais réussi à les oublier, mais, bien entendu, ils bougent, me faisant revenir à la réalité. Pourquoi tous ses mouvements d'un seul coup ? Mes prunelles acier se posent sur eux et... Hm ? Je repose mon regard à l'extérieur, reconnaissant avec une grande difficulté le décors qui se trouve derrière la barrière d'eau. Poudlard n'est plus très loin maintenant, je devrais peut-être moi aussi me changer...
Pourquoi est-ce que Matis dit qu'il va bien ? Mon regard se fait inquisiteur et retourne sur les deux autres personnes présentent dans la cabine. Pourquoi semblent-ils si étrange tout d'un coup ? Puis, Ysaak tourne le dos à son frère, se tournant vers... Moi. Non, le fait que je sois face à lui ne devais pas être prévu dans ses plans et je fronce légèrement les sourcils. « Quoi ?, dit-il d'une voix colérique. » Quoi, quoi ? TU t'es tourné vers moi et je suis celui qui est questionné ? Permet moi de trouver cela quelque peu étrange, non ? Puis, pourquoi as-tu tant de misère à t'habiller ? Je retiens tant bien que mal mes paroles « Besoin d'aide ? », me contentant d'afficher un sourire niait à mes lèvres, tandis que, lui, semblait être préoccupé par quelque chose...
Je cesse de me questionner lorsque je vois la tête de Matis se poser sur l'épaule de Ysaak et puis se sourire... À qui est-il destiné... ? Les paroles sont destinées à son jumeau donc... Incapable de supporter cela plus longtemps, je retourne à la contemplation de l'extérieur qui semble être plus définie, la pluie s'étant calmé depuis quelques minutes. Mon visage redevient impassible, sans émotion, mais pourtant je suis heureux. Oui, je suis heureux, car je sais que l'école approche et que je n'aurai plus à recevoir toute cette pression que me font endurer ses deux là et je n'aurai plus à penser à tous mes faits et gestes !
Pour ce qui est de me changer ? Je n'ai pas vraiment le choix puisque nous arrivons dans moins de dix minutes... Alors, je retire mon veston noir avec lenteur, surveillant mes mouvements afin de ne faire aucune erreur, de plus, cela me permet de diriger mon attention à autre chose qu'à mes deux frères. Mais, comme je suis une personne pudique, j'avais pris soin de porter la chemise de notre uniforme afin de ne pas avoir à la retirer devant qui que se soit... Quelle bonne idée j'ai eu là ! Je me félicite intérieurement, tandis que j'enfile, par-dessus le vêtement immaculé, la robe de sorcier que l'on nous oblige à porter. Voilà ! J'ajuste le tout soigneusement, puis mon regard retourne au dehors. Enfin, le mauvais rêve est bientôt terminé... Plus que quelques instants encore... Je sens mon corps entier se détendre, mais je ne laisse pas paraître ma joie pour autant, je préfère encore la cacher aux jumeaux... Je dois me contrôler sinon, comment arriverai-je à le faire pour les autres ?
[HJ : Pardonnez moi pour le temps d'attente ! Et pour le poste aussi d'ailleurs >_< manque d'inspiration un peu...]
Je ne dois pas les regarder, je ne dois pas... Ah ! Mais quelle idée de rendre le paysage floue en y laissant déverser la pluie ! Je ne vois plus rien de réel, que des tâches de couleurs ternes qui se superposent les unes aux autres pour former... Un amas de tâches... Je ne dois pas soupirer, je ne dois pas les regarder, ni même penser à jeter une remarque... Mais pourquoi alors est-ce que la nature me paraît, soudainement, si peu attirante ? Je n'en peux plus et jette un petit regard à leur intention. Que je sois maudit ! Je le replonge aussitôt dans le décors abstrait, camouflant tant bien que mal mes sentiments. Peut-être devrais-je aller voir où en est rendu Spyd ? Quel crétin ! Il doit s'être sauvé lui, il est intelligent après tout !
Ma mâchoire se crispe un tantinet, tandis que j'essai, tant bien que mal, de changer mes pensées pour de meilleurs. Les jumeaux sont là, l'un sur l'autre, s'aimant d'un amour qu'eux seuls peuvent comprendre... Je les aime ? Oui, je les aime, seulement, ce n'est en aucun cas réciproque... Et puis, est-ce que j'aimerais vraiment que l'on me voit dans de telles positions avec une personne du même sexe, même si ce serait mon frère ?
...
Je balaye ses pensées au loin, gardant mes paupières closes un certain moment. Je n'ose même pas imaginer... En fait peut-être que... NON ! Je n'ose même pas imaginer la scène. Je n'y est pas ma place, ce n'est pas moi et je ne serai jamais admis dans ce clan qui n'accepte, d'ailleurs, pas de nouveaux membres. Pourquoi est-ce que les autres pièces étaient-elles complètes ? ...Car nous sommes arrivés en retard... Ah oui, suis-je bête et ce n'est CERTAINEMENT pas la faute de mère ! Est-ce son idée ? Aurait-elle pu concocter un plan aussi songé et cruelle ? Ah et voilà la paranoïa de retour, comme tu m'as manqué, encore ces sarcasmes... En me plongeant dans mes pensées, j'avais réussi à les oublier, mais, bien entendu, ils bougent, me faisant revenir à la réalité. Pourquoi tous ses mouvements d'un seul coup ? Mes prunelles acier se posent sur eux et... Hm ? Je repose mon regard à l'extérieur, reconnaissant avec une grande difficulté le décors qui se trouve derrière la barrière d'eau. Poudlard n'est plus très loin maintenant, je devrais peut-être moi aussi me changer...
Pourquoi est-ce que Matis dit qu'il va bien ? Mon regard se fait inquisiteur et retourne sur les deux autres personnes présentent dans la cabine. Pourquoi semblent-ils si étrange tout d'un coup ? Puis, Ysaak tourne le dos à son frère, se tournant vers... Moi. Non, le fait que je sois face à lui ne devais pas être prévu dans ses plans et je fronce légèrement les sourcils. « Quoi ?, dit-il d'une voix colérique. » Quoi, quoi ? TU t'es tourné vers moi et je suis celui qui est questionné ? Permet moi de trouver cela quelque peu étrange, non ? Puis, pourquoi as-tu tant de misère à t'habiller ? Je retiens tant bien que mal mes paroles « Besoin d'aide ? », me contentant d'afficher un sourire niait à mes lèvres, tandis que, lui, semblait être préoccupé par quelque chose...
Je cesse de me questionner lorsque je vois la tête de Matis se poser sur l'épaule de Ysaak et puis se sourire... À qui est-il destiné... ? Les paroles sont destinées à son jumeau donc... Incapable de supporter cela plus longtemps, je retourne à la contemplation de l'extérieur qui semble être plus définie, la pluie s'étant calmé depuis quelques minutes. Mon visage redevient impassible, sans émotion, mais pourtant je suis heureux. Oui, je suis heureux, car je sais que l'école approche et que je n'aurai plus à recevoir toute cette pression que me font endurer ses deux là et je n'aurai plus à penser à tous mes faits et gestes !
Pour ce qui est de me changer ? Je n'ai pas vraiment le choix puisque nous arrivons dans moins de dix minutes... Alors, je retire mon veston noir avec lenteur, surveillant mes mouvements afin de ne faire aucune erreur, de plus, cela me permet de diriger mon attention à autre chose qu'à mes deux frères. Mais, comme je suis une personne pudique, j'avais pris soin de porter la chemise de notre uniforme afin de ne pas avoir à la retirer devant qui que se soit... Quelle bonne idée j'ai eu là ! Je me félicite intérieurement, tandis que j'enfile, par-dessus le vêtement immaculé, la robe de sorcier que l'on nous oblige à porter. Voilà ! J'ajuste le tout soigneusement, puis mon regard retourne au dehors. Enfin, le mauvais rêve est bientôt terminé... Plus que quelques instants encore... Je sens mon corps entier se détendre, mais je ne laisse pas paraître ma joie pour autant, je préfère encore la cacher aux jumeaux... Je dois me contrôler sinon, comment arriverai-je à le faire pour les autres ?
[HJ : Pardonnez moi pour le temps d'attente ! Et pour le poste aussi d'ailleurs >_< manque d'inspiration un peu...]
Elliot Devost- Nombre de messages : 380
Age : 34
Date d'inscription : 09/09/2007
Personnage
Maison: Slytherin
Études: Septième année
Âge: 18 ans
Re: Réunion de famille ~ Aïe, aïe !
Il m’ignore. ARRRRR …. En fait c’est peut-être mieux ainsi. Reste loin de moi je ne suis pas d’humeur. Reste muet et ne pose surtout pas de question. Je le regarde s’habillé alors que moi y’a ses foutue bouton qui ne veux pas rester leur place. YAAAA…. Faut pas me faire un truck pareil lorsque je suis nerveux ! Mes épaule sursaute au moment où ton menton se dépose sur mon épaule, VIEN PAS ICI … tu ne vois pas que je suis très très troublé. Non surtout ne remarque pas. C’est mieux ainsi.
-Il y avait une de ses pluies pendant que tu dormais.
HO vraiment. Une petite idée vient faire son chemin dans cet esprit de tortionnaire qui est mien. Ce qui dit mouillé dit herbe mouillé. Il se pourrait que malencontreusement toutes les premières années glisse simultanément dans un orchestre de cris de surprises. Mon sourire s’étire sous des aires de satisfaction infantile. Je sens le sourire de mon double en faire de même. Comme je t’aime mon chou.
J’abandonne mon combat contre c’est foutue bouton et soupire. Vlà mon amour qui décide de faire le preux chevalier et viens me boutonné la chemise comme pour un gamin de trois ans pas encore capable d’attaché ses lacets. Je rougie de honte évidement. Quoi de pire que cette situation. Il fait même mon nœud de cravate … JE SAIS M’HABILLÉ TU SAIS. Cesse cette attention beaucoup trop tendre. Il sert doucement la cravate, juste assez tout en gardant notre côté décontracté.
ET SI ON C’EN ALLAIT !! Oui j’ai vraiment envies de partir prendre l’air embêté c’est première année. Il passe ses mains dans mes cheveux affins des placés. Arrête je te dis.
-Merci… ai-je murmuré.
Des élève vienne nous informé que nous arrivons et peut temps par après le train ralentir pour finir par stoppé. Je sors ma baguette et fait l’évité mes bagages…. Vite sortons de cet enfer.
[Pardon c'est très petit mais j'ai plus d'inspiration T.T ]
-Il y avait une de ses pluies pendant que tu dormais.
HO vraiment. Une petite idée vient faire son chemin dans cet esprit de tortionnaire qui est mien. Ce qui dit mouillé dit herbe mouillé. Il se pourrait que malencontreusement toutes les premières années glisse simultanément dans un orchestre de cris de surprises. Mon sourire s’étire sous des aires de satisfaction infantile. Je sens le sourire de mon double en faire de même. Comme je t’aime mon chou.
J’abandonne mon combat contre c’est foutue bouton et soupire. Vlà mon amour qui décide de faire le preux chevalier et viens me boutonné la chemise comme pour un gamin de trois ans pas encore capable d’attaché ses lacets. Je rougie de honte évidement. Quoi de pire que cette situation. Il fait même mon nœud de cravate … JE SAIS M’HABILLÉ TU SAIS. Cesse cette attention beaucoup trop tendre. Il sert doucement la cravate, juste assez tout en gardant notre côté décontracté.
ET SI ON C’EN ALLAIT !! Oui j’ai vraiment envies de partir prendre l’air embêté c’est première année. Il passe ses mains dans mes cheveux affins des placés. Arrête je te dis.
-Merci… ai-je murmuré.
Des élève vienne nous informé que nous arrivons et peut temps par après le train ralentir pour finir par stoppé. Je sors ma baguette et fait l’évité mes bagages…. Vite sortons de cet enfer.
[Pardon c'est très petit mais j'ai plus d'inspiration T.T ]
Yzaak Matis Devost- Nombre de messages : 30
Age : 34
Date d'inscription : 01/09/2007
Personnage
Maison: Slytherin
Études: Sixième année
Âge: 17 ans
Re: Réunion de famille ~ Aïe, aïe !
J’imagine tous les petits nouveaux, bien trop impressionnés pour faire attention à la masse humide et verte qui recouvre le sol, qui glissent et tombent sur leur petit popotin. Yzaak et moi sourions à cette idée. Du moins, je suppose que c'est la même qui a traversé son esprit ou à peu près. Que voulez-vous lorsqu’on est pareil, il nous arrive fréquemment d’agir simultanément malgré nos différences intérieurs.
Je sors de mes songes et je me retiens de rire en voyant tout le mal que mon double a pour boutonner sa chemise. Je viens à sa rescousse juste après qu'il est décidé de laisser son bouton défait. Je réussis en un tour de main à mettre son bouton. Je souris satisfait de ma prouesse. C’est à ce moment que je lève les yeux vers son visage. Il est tout rouge! Il est si mignon quand il est comme ça. Je décide donc de continuer de l’aider et m’attaque à sa cravate. Je prends bien soin de mesurer ma force pour ne pas l’étrangler avec le nœud. Maintenant, nous sommes tous prêts! Je constate que même Elliot est prêt. Oh j’allais oublié quelque chose! Je passe mes doigts dans ses cheveux afin de les placer comme il faut. Tant qu’à faire, pourquoi ne pas mettre le paquet pour la rentrée!
Yzaak s’éloigne de moi, j’ai terminé de toute façon. Il me remercie dans un murmure. La porte s’ouvre sur des élèves qui nous informent que nous y sommes. Le train perd de la vitesse et s’immobilise quelques instants plus tard.
Nous, les jumeaux, sortons avec nos bagages, qui lévites autour de nous, et Elliot nous suis non loin derrière. Une nouvelle année nous attend et je suis heureux de la débuter. J’espère de tout mon cœur que nous nous surpasserons cette année autant en mauvais coups qu’en réussites personnelles.
Je sors de mes songes et je me retiens de rire en voyant tout le mal que mon double a pour boutonner sa chemise. Je viens à sa rescousse juste après qu'il est décidé de laisser son bouton défait. Je réussis en un tour de main à mettre son bouton. Je souris satisfait de ma prouesse. C’est à ce moment que je lève les yeux vers son visage. Il est tout rouge! Il est si mignon quand il est comme ça. Je décide donc de continuer de l’aider et m’attaque à sa cravate. Je prends bien soin de mesurer ma force pour ne pas l’étrangler avec le nœud. Maintenant, nous sommes tous prêts! Je constate que même Elliot est prêt. Oh j’allais oublié quelque chose! Je passe mes doigts dans ses cheveux afin de les placer comme il faut. Tant qu’à faire, pourquoi ne pas mettre le paquet pour la rentrée!
Yzaak s’éloigne de moi, j’ai terminé de toute façon. Il me remercie dans un murmure. La porte s’ouvre sur des élèves qui nous informent que nous y sommes. Le train perd de la vitesse et s’immobilise quelques instants plus tard.
Nous, les jumeaux, sortons avec nos bagages, qui lévites autour de nous, et Elliot nous suis non loin derrière. Une nouvelle année nous attend et je suis heureux de la débuter. J’espère de tout mon cœur que nous nous surpasserons cette année autant en mauvais coups qu’en réussites personnelles.
[Terminé!]
Matis Yzaak Devost- Nombre de messages : 230
Age : 34
Date d'inscription : 01/09/2007
Personnage
Maison: Slytherin
Études: Sixième année
Âge: 17 ans
H74 :: Initiation :: Auditions
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