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Les petites créations de bébé Naelichou ^^

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Les petites créations de bébé Naelichou ^^ Empty Les petites créations de bébé Naelichou ^^

Message  Naelesen Al'Than Jeu 11 Oct - 9:53

Humm .... j'ai commencé à faire du graphisme à cause de mon ex et aussi en voyant ce que ma cousine arrivait à faire ^^ Ai aussi quelques poèmes.

Vous verrez plusieurs adaptations de mon Naelichou d'amour ^^, des semblants de kit, des essais pour ainsi dire ^^

Les petites créations de bébé Naelichou ^^ Amour10

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Les petites créations de bébé Naelichou ^^ Empty Re: Les petites créations de bébé Naelichou ^^

Message  Naelesen Al'Than Jeu 11 Oct - 10:02

Quelques petits poèmes ?? ..

Le premier - mon plus long -, je l'ai fait l'an passé. C'était à l'époque où j'écrivais une histoire avec mon ex. Mais c'est tout de même mon texte favori parmi ceux que j'ai écrit ^^

PS: les petites croix sont des séparations XD

59

Le murmure de ma conscience m’a soufflé un jeu
Un jeu distrayant qui m’excite autant plus que toi
Oh oui…Il m’a raconté avec moult détails alléchants
Ce que ma perverse personne devait accomplir pour atteindre son plaisir
Et je dois avouer, frissonnant de désir, que je me suis plié à sa volonté
Alors que mon membre frémissait d’envie à son idée

Autrefois, je me caressais si souvent en songeant à toi
Je râlais ton nom avec l’espoir qu’un jour tu m’entendrais
Je remuais langoureusement mon corps comme si le tien se cambrait sous moi
Parfois, j’arrivais presque à croire que je te chevauchais, que je te faisais hurler
Avec toute la passion et l’ardeur dont je suis capable
Oh oui, je m’enfonçais en toi…
Jusqu’à connaître tes moindres recoins
C’est ce que je croyais…
Mais ma sève se déversait non en toi, mais sur mes mains

Je ne pourrais compter les nombreuses fois où je me suis touché
Fantasmant sur tes courbes, tes gémissements, tes mouvements
Où je me glissais en l’autre, m’imaginant que c’était toi
À ces moments, je devenais une véritable bête
Je voulais que tu cries, tu devais crier mon nom, ton plaisir et tu criais
Je me frayais un passage avec mes assauts vigoureux
Encouragé par ces plaintes suaves que tu poussais
Qui me faisaient l’éloge de mon talent
Mais au fond, ce n’était pas toi, car je n’ai jamais pu te prendre
Comme tu devais être pris par moi

Tu veux connaître ce jeu si plaisant qui m’allume ?
Oh comme tu l’aimerais puisqu’il s’agit de toi et de toi seul
Alors laisse-moi t’expliquer comment j’ose m’amuser sans toi

Avec douceur je m’étends sur un lit, seul et obsédé
Vêtu que d’un pantalon moulant où il se tend
Il sait bien que je vais le réveiller, m’occuper de lui
Puisque toi tu n’as jamais daigné le faire
Alors je permets à ma langue de parcourir mes lèvres
Comme si c’était la tienne qui me procurait de douces tendresses
Tendresses que tu as toujours refusées m’offrir

L’une de mes mains longent ma poitrine du bout des doigts
M’extirpant frissons et sourires taquins
Toujours pensant que celui qui me prodigue ce plaisir
N’est nul autre que toi
Aussi bien, je ferme mes paupières et me livre à mes mains
Qui se faufilent si coquettement sur mon membre tendu

La plus adroite s’en occupe, elle le stimule d’une telle façon
Que parfois j’hallucine que c’est toi, comme la première fois
Ainsi je crois que mes faibles gémissements te sont destinés
Et je te fais l’honneur de me toucher fougueusement en rêvant à toi
Cela me suffit pour me retrouver émoustillé
Pour toi, je l’entoure doucement, mais fermement
Glissant sur son manche avec gracieuseté
Je soupire et me cambre légèrement
Le jeu a commencé, je dois compter

Je dois compte le nombre de secondes
Que je suis capable de tenir avant de venir
Question de savoir à quel point tu me fais effet
Encore aujourd’hui, tu serais étonné
Ton seul souvenir me suffit pour jouir

La lumière est tamisée, je m’accroche aux draps
Comme quand je m’accrochais à ta chair
La seule fois où je t’ai goûté, où je t’ai perforé
Oh oui je me souviens bien des marques sanglantes que je t’ai laissées
Elles couraient le long de tes côtes, de ton dos, de tes cuisses
Je me souviens des maintes morsures décorant ton cou si frêle
Je me souviens de cet instant que je chérirai toute ma vie

C’est à cette scène sublime que je songe à toutes les fois
Où je laisse mes mains taquiner ce membre vibrant
Qui ne demande qu’une faveur ultime
Se faire cajoler de tes mains à toi
Mes doigts le caressent et s’agitent sur lui
Mes râles se font de plus en plus puissants
Et ma respiration devient saccadée et haletante
Je ne suis pas encore rendu à dix secondes

Je revois tes beaux yeux miroitants
Qui m’ont toujours faits chavirés
Je revois ces joues délicates sur lesquelles
Je déposais de légers baisers par moment
Je revois ces lèvres que j’aime tant
Que je dévorais à chaque baiser que je te volais
Je revois ton corps qui m’a toujours excité
Ma main se fait plus pressante, mon autre se cramponne
Et mon gémissement résonne à mes oreilles
Je ne serai pas capable de tenir bien longtemps

Dans ces moments intenses et languissants
Je pense à tes mains qui m’ont tenu durant quelques instants
Je pense à tes fesses que j’agrippais si souvent
Dans lesquelles j’aurais tant voulu me vider
Mais tu déclinais à tout moment mon invitation
Avec un sourire charmeur qui me faisait trembler d’envie
Avec une voix sensuelle qui me faisait frissonner d’envie
Je revois ces scènes présentement
Mes mains en sont encore plus encouragées
Et ce pauvre membre se gonfle de désir
Je me retiens encore…il n’y a que trente secondes d’écoulées

Trente secondes où ma main s’active avec frénésie
Voulant me soutirer de nouvelles plaintes d’extase
Voulant me porter aux portes de l’orgasme
Ce que tu savais si bien faire à cette époque
Oh comme je te laisserais mon corps une dernière nuit
Au moins, je serais comblé
Au moins, je pourrais m’enfouir en toi
Comme je le désire tant après toutes ces années

Trente-cinq…Je m’arque sur mon lit
Mordillant mes lèvres, soufflant mon plaisir
Toujours m’offrant des caresses téméraires
Qui rivalisent bien avec les tiennes d’autrefois
Tu en serais jaloux, oh oui mon ange
À un tel point que tu t’occuperais de cette besogne toi-même
Viens me rejoindre, je n’attends que toi
Tu pourrais me regarder jouir et me toucher
Qu’en dis-tu ?? C’est excitant, n’est-ce pas ?

J’ai l’impression de bouger en toi
De savourer la douceur de ta peau contre la mienne
De sentir ton doux parfum enivrant que j’humais si souvent
J’ai l’impression que tu remues sous moi
Que tu me supplies de le recevoir en ton être
Toujours plus profond, plus profond
Mais tu n’es pas là, et je me retrouve seul
Dans la noirceur de mon univers
À me satisfaire avec fougue et ardeur

Je veux jouir à tes oreilles
Que tu entendes mes râles qui sont tiens
Je veux te posséder aussi longtemps que je le peux
Je veux ressentir à nouveau mon membre au creux de tes reins
Je veux entendre ta voix souffler sensuellement mon nom
Comme tu l’as fait la première fois
Auquel j’ai répondu par des coups de bassin
Accompagné de mon chant de gorge
Et de tes faibles cris

Une fine sueur me recouvre comme toutes les fois
Où je croyais que tu allais te pencher devant moi
Un frisson immense me longe comme toutes les fois
Où ta main se baladait sur ma peau délicate
Une vague de chaleur m’échauffe comme toutes les fois
Où je déposais mes yeux sur toi
Une pointe de plaisir s’installe en mon bas-ventre comme toutes les fois
Où tu te pressais contre moi

Cinquante-neuf…

C’est le chiffre où les autres soirs je m’échappais
Criant ton nom et me courbant sur mes draps
C’est le chiffre où la volupté me saisissait
Et où ton image se représentait à nouveau
Derrière mes pauvres paupières fermées
Je te voyais à ma merci, comme la première fois
Me demandant de ne jamais m’arrêter
Pour que tu puisses connaître le goût de la jouissance

Je ne crois pas pouvoir me retenir encore bien longtemps
Tu es là, sous moi, t’agrippant, gémissant, m’embrassant
Tandis que moi, des larmes silencieuses perlent sur mes joues
Tu est là, sous moi, me mordant, me griffant, te cambrant
Tandis que moi je te fais l’amour de belle manière
Tu es là…muet et immobile, invisible…
Tandis que moi…je jouis en songeant à toi…

Quatre-vingt dix-neuf…

Ce sont encore des poèmes que j'ai écrits avec le pesonnage Nael ^^ Mais je les aime ^^

Laisse-moi t’embrasser ombre de mes pensées, étincelle de mon brasier
Laisse-moi goûter tes lèvres chaudes et sensuelles, tes lèvres au goût de miel
Laisse-moi assaillir cette chair délicate et enivrante, qui m’inspire un court moment de détente
Laisse-moi connaître la saveur empoisonnée que tu détiens, la saveur qui me fait tant rêver m’appartient



Le vent beugle des mots à mes oreilles triturées
Ses paroles sont l’œuvre de mon désarroi et de mon impuissance
Tout aussi que de mon essence souillée
Malgré moi, je ne peux saisir le sens de ces propos erronés
qui me plongent dans une torpeur de bienfaisance



Cruels furent les mots jaillissant de ses lèvres bafouées
Agissant vilement tels des coups de fouet sur ma chair craquelée
Roulant sur mon âme avec la tendresse d’une bien-aimée
Corrompant mes membres et ma pensée

Ils m’ont solidement menotté, enchaîné par leur exécrable volonté
Ignorant la puissance de mes appels, de mes hurlements éternels
Ceux qui déchirent les cieux, perçant leurs tympans précieux
Ceux qui lacèrent ma gorge en lambeaux, répandant un sang noirâtre tel le plumage du corbeau



Est-ce tout ce que tu m’offres ??
Espoir dissout et tendresse amère
Paroles acres inondant tes lèvres
Sans que tes yeux aveugles discernent
La douleur sourde qui me ronge, qui me tue
Le seul présent que tu m’aies donné
Le seul présent que je chéris en mon être

Parfois, je me persuade que tu le sais
Que la vérité te fut dévoilée
Mais qu’au fond, tu n’y prêtes attention vu que…
Tant de cœurs battent à l’unissions pour le tien
Tant d’âmes se languissent sur ton passage
Que ma personne te soit indifférente

Je le vois dans tes prunelles, dans ton regard, dans tes paroles, dans tes gestes
Ma vue te répugne, te dégoûte
Ton rêve est que je disparaisse
Alors que moi, je me fonds d’amour pour toi
Je crains n’avoir jamais ressenti pareil sentiment
Et j’ai peur…si peur

Peur de me perdre, de te perdre
Peur de m’éloigner, de t’éloigner
Peur de moi, de toi
Peur de sombrer et ne jamais me réveiller
Peur de te voir au bras d’une autre
Peur d’ouvrir les paupières et me rendre compte que,
Tu n’es qu’un mirage, qu’une délicieuse hallucination
Dont je suis follement épris



La noirceur opaque de mon univers s’obscurcit
Rendant mon monde bien plus morbide
Là où j’erre à l’aveuglette sur les terres arides
Qui écorchent sans pitié la paume déchirée de mes pieds
Alors que l’air se raréfie et n’est que poussière, que cendre
Alors qu’une fine couche de givre recouvre ma chair bleutée
Alors qu’un masque obscène s’étire sur mon visage
Alors que mes membres nus s’agitent par des convulsions frénétiques
Alors que les ténèbres m’assiègent obstinément
Je m’affale au sol, jambes brisées, tête inclinée
Mes yeux fixent avec un espoir déchu
Ses mains blafardes et vermeilles de sang
Le sang de mes larmes perlant sur mes joues
Le sang de mon crime gantant mes mains
Le sang de mes plaies striant ma peau
Ses blessures qui suintent et qui murmurent
Toute l’amère folie donc que je fus victime
Ainsi que l’amertume d’un passé tortionnaire
Qui a si bien su parfaire mon futur
Qui a si bien su me faire détester d’elle
L’unique raison qui anime ma fureur comprimée
L’unique raison qui m’apporte un semblant d’émotion
Enfin, l’unique raison qui me permet d’aimer autre chose que cette douce folie
Que j’ai appris à cajoler avec un sourire sadique sur les lèvres



Sauve-moi de la dépravation de mon âme illustre
Sauve-moi de poison que mes lèvres ont goûté
Sauve-moi de ce sentiment corruptible
Sauve-moi de toi
Car je ne puis le faire moi-même
N’est-ce pas ridicule, mon ange ?
Que toi, vile personnage au crâne couronné de cornes,
Tu as pu si facilement atteindre mon cœur
Celui que je m’efforce de refuse à quiconque
Pourtant, à ma déclaration, ta gorge a osé se moquer
Je crois ne pouvoir jamais te pardonner
Car tu as été le seul que j’ai véritablement aimé
Cela te fait-il encore rire, mon ange ?
De savoir qu’en ce monde
Un être te désire au point de se tuer
Que ces tourments dont je suis victime
Toi seul me les as apportés
As-tu honte, mon ange ?
Qu’un sot dans ton genre
Puisse m’exciter autant
Ne l’as-tu donc jamais remarqué, mon ange ?
Tous ces battements sous ma poitrine
Tous ces durcissements à cet endroit
Ne sont que pour toi, te sont destinés
Ce que tu peux être bête
Ce que je peux t’aimer
Pourtant, pardonne-moi
Car je n’ai jamais autant détesté



Délivre-moi…
Délivre-moi de l’emprise que tu as sur moi
Délivre-moi de cette obsession que je te porte
Pour qu’un jour je sois à nouveau vivant
Et maître de mon âme

Est-il possible que tu puisses me gouverner ainsi ?
Levant un simple doigt ou me lançant un simple regard
Pour que je bondisse et accomplisse ce que tu me dictes
Sans qu’une once de gratitude ne te fusille
Puisqu’à tes yeux, je ne suis considéré que pour un déchet
Un vil déchet que tu ne cesses de tourmenter
Avec tes paroles âcres et tes douces séductions

Tes serres acérées lacèrent mon pauvre esprit adjurant
Ce que jamais je n’aurais la chance de saisir
N’entends-tu pas ces plaintes stridentes ?
Râles infâmes s’échappant de mes lèvres
Qui démontrent mon état dégradant
Ne vois-tu pas cette lueur de passion ?
Celle qui brille tel un brasier éternel dans mes yeux
Proclamant ouvertement ce que je n’ose te dévoiler à nouveau
Ne ressens-tu pas mes mains effleurant ta peau
La nuit lorsque tu dors, si loin de ma personne… ?
Ces caresses pourtant si tendres te sont inconnues
Malheur à toi qui me refuse ces douceurs

Ne perçois-tu pas les battements affolés de mon cœur
Quand je suis en ta divine présence ?
Ne remarques-tu pas me soudaine faiblesse
Au moment où tu poses tes magnifiques prunelles sur moi ?
Es-tu si sot pour confondre amour et haine, désire et dégoût ?
Parfois, je me demande si tu te moques de moi
Mélangeant ton beau rire cristallin avec tes amis
Quand vous vous raillez de la personne que je suis
Celui qui possède le seul cœur qui vit pour toi

Tu ne sais pas à quel point, je peux m’abhorrer
Me détester de t’aimer comme je t’aime
Je me mutile en croyant me discipliner
Afin de ne plus ressentir envers toi autre chose que du mépris
J’ai beau remplir mon lit, ton image me revient en mémoire
Alors je me dégoûte de savourer la chair d’un autre que la tienne
Je me dégoûte de jouir avec un autre, alors que c’est toi que je désire
Tu ne peux savoir à quel point j’ai besoin de toi
Tu ne peux savoir à quel point ma vie ne tourne qu’autour de toi
Et je m’en veux d’être ainsi à tes pieds
Et je m’en veux de m’exécrer
Et je t’en veux de m’exécrer

Je ne veux qu’être libéré
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