En route vers Hogwarts!
H74 :: Initiation :: Auditions
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En route vers Hogwarts!
Aujourd'hui c'est le grand jour, Hogwarts me voilà. Je suis tellement stresser. Si jamais je ne me fesais pas d'amis. Il ne faut pas que j'y pense..................Impossible! Je ne peux pas m'empêcher d'y penser! En plus je vais être à la même école que mon frère. Quoi qu'il risque de tout faire pour cacher notre lien parental, tout de même. Et où est- il passé d'ailleur, maman lui avait dit de rester avec moi lors du trajet. Il va falloir que je me trouve une place tout seul?! Où est-ce qu'il est? Il sait que je n'ai jamais pris le train et que les endroits nouveaux me térrorise, et ce train n'en fait pas exeption.... Toutes ces petites cabines, ce long corridor et tout ces visages qui vous regarde d'un air désabusé. Oui! ça va je sais que j'ai apporter trop de bagages!!
Je remarque qu'une fille dans un cubicule, me porte un regard de dégout.
Ce doit être l'énorme pot de jus de scarabé que je tiens dans mes mains. Il y en avait 32 hier qui ont rendu l'âme. Je croyais que j'allais les rejoindre tant j'ai souffert de leur perte. Et comme je n'avais pas le temps de leur faire un enterrement digne de ce nom, j'ai décider d'extraire leur intérieur et de les compacter dans un pot de verre.( tout ces corps aurait pris trop de place pour un seul bol et je ne voulais pas le mettre dans un de mes sacs de peur que ça renverse. C'est très collant, surtout se qui provient de leur abdomen) Je ferai leur funéraille sur le terrain de l'école.
J'apperçoit mon frère là- bas qui entre dans un cabinet. Je me hâte à aller le rejoindre. Je suis tellement nerveu, mes mains sont toutes mouates. Je tente de me hisser d'un gros roux qui me bloque la route et " SRATCHHH" mon pot éclate sur le sol laissant aller son contenu un peu partout.
Je remarque qu'une fille dans un cubicule, me porte un regard de dégout.
Ce doit être l'énorme pot de jus de scarabé que je tiens dans mes mains. Il y en avait 32 hier qui ont rendu l'âme. Je croyais que j'allais les rejoindre tant j'ai souffert de leur perte. Et comme je n'avais pas le temps de leur faire un enterrement digne de ce nom, j'ai décider d'extraire leur intérieur et de les compacter dans un pot de verre.( tout ces corps aurait pris trop de place pour un seul bol et je ne voulais pas le mettre dans un de mes sacs de peur que ça renverse. C'est très collant, surtout se qui provient de leur abdomen) Je ferai leur funéraille sur le terrain de l'école.
J'apperçoit mon frère là- bas qui entre dans un cabinet. Je me hâte à aller le rejoindre. Je suis tellement nerveu, mes mains sont toutes mouates. Je tente de me hisser d'un gros roux qui me bloque la route et " SRATCHHH" mon pot éclate sur le sol laissant aller son contenu un peu partout.
Invité- Invité
Re: En route vers Hogwarts!
Tu vas te décider à me laisser passer, saloperie de barrière ignominieuse !? Non mais c’est pas vrai !! Allez, bouge, infâme paysage de briques bouseuses ! Pourquoi est-ce que ce mur idiot (urgh, j’ai du mal à respirer…) reste planté devant moi comme un imbécile, pourquoi, alors que je pousse contre lui de toutes mes forces en crachant de rage depuis un bon deux minutes déjà hein ? Mon chariot est passé, mes bras sont passés, alors pourquoi pas le reste de mon corps !? Réponds cochonnerie de mur !! Qui est l’architecte sans génie du ministère de la Magie qui a conçu cette immondice de plateforme 9 ¾ que je lui torde le cou !? Ça sert à quoi de faire un portail discret quand seul l’avant de votre corps réussit à y passer hein ? Bonjour la discrétion, je serais encore mieux de me promener avec une pancarte ‘Eh les moldus, je suis un sorcier, brûlez-moi !!’ plutôt que d’exposer à tous ces nobles gens l’étendue de mon postérieur COINCÉ dans le mur de briques ! Non mais, et qui est-ce qui est en train d’enfoncer son pied dans la seule partie de moi qui dépasse !?
Une bouffée d’air frais gifle mon visage couvert de sueur alors que j’atteins l’autre côté de la barrière non sans douleur. Ma peau a pris la même couleur que mes cheveux (et que celle de toute cette maudite brique d’ailleurs) tandis que je tentais de me frayer un passage vers le monde magique. Derrière moi, des étudiants et des parents mécontents franchissent à leur tour la barrière libérée de tout ‘OBJET ENCOMBRANT’ comme ils se plaisent à siffler en passant (c’est moi ça, remarquez… Ils auraient pu faire preuve de discrétion s’ils voulaient se plaindre de mon opulent volume; j’ai des sentiments), et ils se dirigent à petits pas pressés vers le train en levant le nez. Je prends en note leurs visages hautains et me promets de leur faire payer ce léger affront dans une vie ou une autre.
C’est en claudiquant que je me dirige vers le train (je soupçonne certains de ces élèves pressés de m’avoir foutu un ou deux coups dans le derrière pendant que j’étais coincé là-bas, suffoquant entre deux briques) et je me hisse à l’intérieur, fulminant comme à mon habitude. Tout cet exercice malsain a réveillé les vieilles cicatrices couturées de mon abdomen enflé. Vous savez bien… celles que ma mère ignoble m’a faites en voulant me ‘réduire’. J’ai eu une enfance tragique.
Les gens dans les compartiments avoisinants me jettent d’étranges regards – je leur rends bien – m’intimant à ne pas les rejoindre. Soit !! Je continue ma route paisiblement lorsqu’on me heurte violement. Oui, on me HEURTE ! Qui ose ? C’est un petit maigrichon sans cervelle qui essaie de se faufiler pour me dépasser. On ne contourne pas Réginald Stebbins ainsi ! Le voilà d’ailleurs qui se prend les pieds dans les fleurs du tapis (ou dans mes bourrelets… tss, les jeunes, de nos jours) et qui échappe au sol son pot d’immondices. Ça c’est moins drôle par contre, surtout quand je m’aperçois que les immondices en question recouvrent mes souliers. Joie. Je jette le maigrelet hors de mon chemin (difficile dans un corridor de train, remarquez l’exploit) et fais un pas en avant.
Ou du moins j’essaie. Damn. Ce jus infect s’est solidement accroché à mes pieds, et le coupable me regarde avec un air de chien battu sur le point de recevoir une nouvelle raclée. C’est alors que je le reconnais.
- Toi.
Les souvenirs affluent. Un salon de coiffure il y a des années… moi qui tente de me débarrasser de mon horrible rousseur… et… LUI. Lui qui découvre la magie en se servant de ma tête comme cobaye… lui qui sans s’en rendre compte me jette un maléfice… un maléfice qui fait de moi… un ROUX ÉTERNEL !!
Je le hais.
Et aujourd’hui mon ennemi juré rampe devant moi alors que mes pieds sont glués au sol par sa faute. Je l’ai recherché pendant des années, j’ai tout appris sur lui, mais il se terrait ! Aujourd’hui je l’ai retrouvé, mais impossible de le piétiner !! Impossible de lui faire payer sa bévue, sa fuite il y a des années, impossible de lui faire payer le prix de mes taches de rousseur ! Mais un jour, je me vengerai… et ce jour est proche. Très proche.
- Tu vas regretter l’utérus de ta mère, Walter Spellman…
Une bouffée d’air frais gifle mon visage couvert de sueur alors que j’atteins l’autre côté de la barrière non sans douleur. Ma peau a pris la même couleur que mes cheveux (et que celle de toute cette maudite brique d’ailleurs) tandis que je tentais de me frayer un passage vers le monde magique. Derrière moi, des étudiants et des parents mécontents franchissent à leur tour la barrière libérée de tout ‘OBJET ENCOMBRANT’ comme ils se plaisent à siffler en passant (c’est moi ça, remarquez… Ils auraient pu faire preuve de discrétion s’ils voulaient se plaindre de mon opulent volume; j’ai des sentiments), et ils se dirigent à petits pas pressés vers le train en levant le nez. Je prends en note leurs visages hautains et me promets de leur faire payer ce léger affront dans une vie ou une autre.
C’est en claudiquant que je me dirige vers le train (je soupçonne certains de ces élèves pressés de m’avoir foutu un ou deux coups dans le derrière pendant que j’étais coincé là-bas, suffoquant entre deux briques) et je me hisse à l’intérieur, fulminant comme à mon habitude. Tout cet exercice malsain a réveillé les vieilles cicatrices couturées de mon abdomen enflé. Vous savez bien… celles que ma mère ignoble m’a faites en voulant me ‘réduire’. J’ai eu une enfance tragique.
Les gens dans les compartiments avoisinants me jettent d’étranges regards – je leur rends bien – m’intimant à ne pas les rejoindre. Soit !! Je continue ma route paisiblement lorsqu’on me heurte violement. Oui, on me HEURTE ! Qui ose ? C’est un petit maigrichon sans cervelle qui essaie de se faufiler pour me dépasser. On ne contourne pas Réginald Stebbins ainsi ! Le voilà d’ailleurs qui se prend les pieds dans les fleurs du tapis (ou dans mes bourrelets… tss, les jeunes, de nos jours) et qui échappe au sol son pot d’immondices. Ça c’est moins drôle par contre, surtout quand je m’aperçois que les immondices en question recouvrent mes souliers. Joie. Je jette le maigrelet hors de mon chemin (difficile dans un corridor de train, remarquez l’exploit) et fais un pas en avant.
Ou du moins j’essaie. Damn. Ce jus infect s’est solidement accroché à mes pieds, et le coupable me regarde avec un air de chien battu sur le point de recevoir une nouvelle raclée. C’est alors que je le reconnais.
- Toi.
Les souvenirs affluent. Un salon de coiffure il y a des années… moi qui tente de me débarrasser de mon horrible rousseur… et… LUI. Lui qui découvre la magie en se servant de ma tête comme cobaye… lui qui sans s’en rendre compte me jette un maléfice… un maléfice qui fait de moi… un ROUX ÉTERNEL !!
Je le hais.
Et aujourd’hui mon ennemi juré rampe devant moi alors que mes pieds sont glués au sol par sa faute. Je l’ai recherché pendant des années, j’ai tout appris sur lui, mais il se terrait ! Aujourd’hui je l’ai retrouvé, mais impossible de le piétiner !! Impossible de lui faire payer sa bévue, sa fuite il y a des années, impossible de lui faire payer le prix de mes taches de rousseur ! Mais un jour, je me vengerai… et ce jour est proche. Très proche.
- Tu vas regretter l’utérus de ta mère, Walter Spellman…
Invité- Invité
Re: En route vers Hogwarts!
Il est là devant moi et me fixe avec ce regard meurtrier, le même qu'il avait dans le salon de coiffure quelques années plus tôt. Après les menaces qu'il m'avait faites, je croyais que ma fin était proche, mais il ne m'avait, heureusement, jamais retrouvé. Mais maintenant, je vais y passer ! C'est effroyable !!! Je n'ai jamais voulu de mal à personne. Les autres élèves dans le train se bousculent pour se frayer un chemin (ce qui est impossible évidemment) Je suis pris au piège, entre la foule et mon futur bourreau. Je tente un misérable :
-" Je suis vraiment désolé....euhhh.(merde je ne me rappelle même plus de son nom. CATASTROPHE!) "
Je vais craquer sous la pression, tous les élèves agglutinés derrière semblent se déchaîner et plusieurs personnes dans les compartiments voisins sont sorties pour admirer cette lamentable scène. J'ai honte, vraiment honte. Ma vie à Hogwarts risque d'être un enfer. J'entends quelques serpentards parler dans mon dos. Ils me lancent des injures malsaines... ma réputation est ruinée. Plus personne ne voudra de moi. J'essaie de me relever en m'agrippant sur les parois des murs, tout en bredouillant des excuses à mon vis- à- vis. Celui- ci m'attrape solidement par le haut du crâne et me tord violement les cheveux. Ce n'est plus seulement son regard qui m'effraie, mais tout son être. Tout semble être réglé pour un meurtre sanglant. J'ai l'impression que le temps marche au ralenti, les lumières semblent tamisées. L'atmosphère est à son comble, les insultes que je pouvais si bien discerner il a à peine quelques minutes me paraissent inaudibles. Je n'entends plus que le frêle écho d'une cohue enragée et les vapeurs du train qui dégagent une odeur morbide...ça sent la mort! Je fixe le sol, et le regarde suppliant, comme si il allait me venir en aide. J'essaie un faible:
-" je...je...crois quuue, al la mei..meilleure ssolution serrais dde prendre de l'huile de..de..ffffoie de morue bouillie avec de..de..la graisse d'elf....."
Il me regarde incrédule, comme si c'était une blague. C'est pourtant vrai. Il me grogne une insulte et sa poigne se referme plus fermement sur mes cheveux. Il me pousse sur les élèves toujours pris dans l'étroit corridor. J'atterris dans les bras d'un Slytherin, qui me lâche aussitôt avec mépris et dégoût. C'en est trop, je me mets en boule sur le plancher la tête cachée sous mes bras. Je crains les poings qui risquent de pleuvoir à grand torrent, mais surtout les larmes qui n'en peuvent plus de rester à l'intérieur. Je les sens monter rapidement vers mes yeux, laissant trace de leur passage, en m'asséchant la gorge, en me picotant le nez. Je les sens maintenant dégouliner sur mes joues. Comme je regrette le ventre de ma mère! J'entends soudainement, une voix très familière:
" Hé, tas de graisse. Tu vois cette demi- portion, eh ben c'est ma demi- portion!"
Je lève la tête, et reconnais tout de suite mon frère qui affronte froidement du regard mon bourreau. Je n'en crois pas mes yeux. Non seulement, il a parlé, mais en plus il venu me sauver. Oui! Espoir retrouvé! C'est bien lui, avec son regard de gangster, il n'y en a pas d'autre semblable. Mon frère c'est le plus fort! J'entends le wagon du train hurler son départ. Le sol tremble, la locomotive est en route. Tout le monde semble éprouver de la difficulté à maintenir son équilibre, même mon ennemi qui est pourtant si bien collé par terre. Sa graisse fait des va-et-vient synchronisés à gauche et à droite. Lorsque le train accélère sa vitesse le corps tout entier du grassouillet n'est plus qu'un énorme mouvement de vibrations, c'est à peine si son visage est perceptible. Inévitablement il s'effondre sur le sol créant un choc, qui fait tomber plusieurs personnes. Sa chute fait décoller ses pieds, et mon frère profite de cet état de faiblesse pour m'agripper le bras et m'emmener dans son compartiment. C'est une première bataille de gagnée mais ce n'était que de la chance. La guerre n'est pas finie je le sens !
-" Je suis vraiment désolé....euhhh.(merde je ne me rappelle même plus de son nom. CATASTROPHE!) "
Je vais craquer sous la pression, tous les élèves agglutinés derrière semblent se déchaîner et plusieurs personnes dans les compartiments voisins sont sorties pour admirer cette lamentable scène. J'ai honte, vraiment honte. Ma vie à Hogwarts risque d'être un enfer. J'entends quelques serpentards parler dans mon dos. Ils me lancent des injures malsaines... ma réputation est ruinée. Plus personne ne voudra de moi. J'essaie de me relever en m'agrippant sur les parois des murs, tout en bredouillant des excuses à mon vis- à- vis. Celui- ci m'attrape solidement par le haut du crâne et me tord violement les cheveux. Ce n'est plus seulement son regard qui m'effraie, mais tout son être. Tout semble être réglé pour un meurtre sanglant. J'ai l'impression que le temps marche au ralenti, les lumières semblent tamisées. L'atmosphère est à son comble, les insultes que je pouvais si bien discerner il a à peine quelques minutes me paraissent inaudibles. Je n'entends plus que le frêle écho d'une cohue enragée et les vapeurs du train qui dégagent une odeur morbide...ça sent la mort! Je fixe le sol, et le regarde suppliant, comme si il allait me venir en aide. J'essaie un faible:
-" je...je...crois quuue, al la mei..meilleure ssolution serrais dde prendre de l'huile de..de..ffffoie de morue bouillie avec de..de..la graisse d'elf....."
Il me regarde incrédule, comme si c'était une blague. C'est pourtant vrai. Il me grogne une insulte et sa poigne se referme plus fermement sur mes cheveux. Il me pousse sur les élèves toujours pris dans l'étroit corridor. J'atterris dans les bras d'un Slytherin, qui me lâche aussitôt avec mépris et dégoût. C'en est trop, je me mets en boule sur le plancher la tête cachée sous mes bras. Je crains les poings qui risquent de pleuvoir à grand torrent, mais surtout les larmes qui n'en peuvent plus de rester à l'intérieur. Je les sens monter rapidement vers mes yeux, laissant trace de leur passage, en m'asséchant la gorge, en me picotant le nez. Je les sens maintenant dégouliner sur mes joues. Comme je regrette le ventre de ma mère! J'entends soudainement, une voix très familière:
" Hé, tas de graisse. Tu vois cette demi- portion, eh ben c'est ma demi- portion!"
Je lève la tête, et reconnais tout de suite mon frère qui affronte froidement du regard mon bourreau. Je n'en crois pas mes yeux. Non seulement, il a parlé, mais en plus il venu me sauver. Oui! Espoir retrouvé! C'est bien lui, avec son regard de gangster, il n'y en a pas d'autre semblable. Mon frère c'est le plus fort! J'entends le wagon du train hurler son départ. Le sol tremble, la locomotive est en route. Tout le monde semble éprouver de la difficulté à maintenir son équilibre, même mon ennemi qui est pourtant si bien collé par terre. Sa graisse fait des va-et-vient synchronisés à gauche et à droite. Lorsque le train accélère sa vitesse le corps tout entier du grassouillet n'est plus qu'un énorme mouvement de vibrations, c'est à peine si son visage est perceptible. Inévitablement il s'effondre sur le sol créant un choc, qui fait tomber plusieurs personnes. Sa chute fait décoller ses pieds, et mon frère profite de cet état de faiblesse pour m'agripper le bras et m'emmener dans son compartiment. C'est une première bataille de gagnée mais ce n'était que de la chance. La guerre n'est pas finie je le sens !
Invité- Invité
Re: En route vers Hogwarts!
J’enfle !! Non je vous jure, j’ENFLE de fureur. Je sens mes joues cuire de rage, de petites veines bleues saillir sur mon front rebondi alors que les satanées vibrations du train, maintenant plus subtiles, s’étendent à tout mon corps mollasson - petit phénomène gênant d’ordre temporaire, espérons-le, il faudra prévoir en conséquence l’an prochain -.
Le farfadet honni sur lequel j’étais occupé à concentrer toutes mes énergies négatives – Walter – disparaît dans le compartiment d’à côté avec un type aux allures de gangster attardé pendant que je chute au ralenti, tout vibrant, déséquilibré par le départ du train. Un bruit lourd ébranle le wagon et le choc subséquent force les élèves encore debout à se rattraper de justesse pour ne pas s’étaler piteusement au sol. Parfois, lors de moments comme ceux-ci, je commence à me demander si je ne devrais pas considérer une cure amaigrissante. Bah.
Je n’ai pas bien l’opportunité de m’interroger plus longuement sur ma personne, car des cris fusent derrière moi et ce que je devine être un sort très dangereux me brûle douloureusement l’oreille avant d’aller ricocher plus loin. J’entends des bribes de hurlements hystériques, autant masculins que féminins, et je ne cherche pas à comprendre ce qui se passe : je plonge pour ma vie, atterrissant dans le premier compartiment à proximité, à savoir celui où tête de nœud vient de disparaître…
La belle ambiance. Je boule dans la petite pièce comme un éléphant dans une soupe, interrompant le plus beau des froids. Je me sens déplacé l’espace d’un instant avant de me rappeler ma rage, et je fixe Walter avec les yeux les plus effrayants accessibles à un roux couvert de veines de fureur, en mode vibrations et écumant superbement de la bouche. Avouez, j’ai de la classe.
La pauvre chose qui sera bientôt mon repas me dévisage avec un air de terreur particulièrement intéressant, mais il est encore loin de se douter de ce que je m’apprête à lui faire.
-« Waaaalter... Je n’en n’ai pas du tout fini avec toi. » je lui annonce de ma voix la plus doucereuse, si mielleuse qu’on croirait y goûter mon dernier festin sucré.
Son gangster attitré se lève pour intervenir mais je tends un bras aux doigts agités de soubresauts nerveux vers lui pour lui faire signe de se rasseoir. Il hausse un sourcil perplexe devant mon regard déterminé - ma paupière sursaute perpétuellement et tient difficilement en place -. Qu’en ai-je à faire de lui ? Je sors ma baguette magique, l’air menaçant, les intimant tous deux au calme bien que je ne connaisse que quelques sorts de récurage à chaudrons.
- « Tu as brisé ma vie… mes rêves… Tout ce que j’aspirais devenir… Regarde-moi, Walter !! Tout ça, par ta faute ! »
Le voilà qui fixe mes bourrelets en mouvement constant qui semble s’amplifier au travers de mon corps adipeux parfait pour ce genre de dispersion des ondes.
- « Je ne parle pas de ça pauvre imbécile !! Mais regarde-moi enfin, je suis ici, en haut !! Mais cesse de fixer envieusement mes formes !
- Mais je…
- Je suis ROUX !!! À jamais, par ta faute ! »
L’autre chien de garde tente un mouvement louche et je l’incite aussitôt au calme d’un brusque mouvement de baguette. Je constate que les bruits dans le corridor du wagon se sont atténués, nous pouvons donc enfin sortir, quitter cet espèce de compartiment qui ressuscite ma vieille claustrophobie. Je tire Walter de son banc, menaçant l’autre gangster qui… regarde le paysage défiler par la fenêtre… bon, très bien, joue les indifférents, et je lui annonce du plus psychotique des tons :
« Viens, on va régler ça toi, moi et les rails du train.. »
Le farfadet honni sur lequel j’étais occupé à concentrer toutes mes énergies négatives – Walter – disparaît dans le compartiment d’à côté avec un type aux allures de gangster attardé pendant que je chute au ralenti, tout vibrant, déséquilibré par le départ du train. Un bruit lourd ébranle le wagon et le choc subséquent force les élèves encore debout à se rattraper de justesse pour ne pas s’étaler piteusement au sol. Parfois, lors de moments comme ceux-ci, je commence à me demander si je ne devrais pas considérer une cure amaigrissante. Bah.
Je n’ai pas bien l’opportunité de m’interroger plus longuement sur ma personne, car des cris fusent derrière moi et ce que je devine être un sort très dangereux me brûle douloureusement l’oreille avant d’aller ricocher plus loin. J’entends des bribes de hurlements hystériques, autant masculins que féminins, et je ne cherche pas à comprendre ce qui se passe : je plonge pour ma vie, atterrissant dans le premier compartiment à proximité, à savoir celui où tête de nœud vient de disparaître…
La belle ambiance. Je boule dans la petite pièce comme un éléphant dans une soupe, interrompant le plus beau des froids. Je me sens déplacé l’espace d’un instant avant de me rappeler ma rage, et je fixe Walter avec les yeux les plus effrayants accessibles à un roux couvert de veines de fureur, en mode vibrations et écumant superbement de la bouche. Avouez, j’ai de la classe.
La pauvre chose qui sera bientôt mon repas me dévisage avec un air de terreur particulièrement intéressant, mais il est encore loin de se douter de ce que je m’apprête à lui faire.
-« Waaaalter... Je n’en n’ai pas du tout fini avec toi. » je lui annonce de ma voix la plus doucereuse, si mielleuse qu’on croirait y goûter mon dernier festin sucré.
Son gangster attitré se lève pour intervenir mais je tends un bras aux doigts agités de soubresauts nerveux vers lui pour lui faire signe de se rasseoir. Il hausse un sourcil perplexe devant mon regard déterminé - ma paupière sursaute perpétuellement et tient difficilement en place -. Qu’en ai-je à faire de lui ? Je sors ma baguette magique, l’air menaçant, les intimant tous deux au calme bien que je ne connaisse que quelques sorts de récurage à chaudrons.
- « Tu as brisé ma vie… mes rêves… Tout ce que j’aspirais devenir… Regarde-moi, Walter !! Tout ça, par ta faute ! »
Le voilà qui fixe mes bourrelets en mouvement constant qui semble s’amplifier au travers de mon corps adipeux parfait pour ce genre de dispersion des ondes.
- « Je ne parle pas de ça pauvre imbécile !! Mais regarde-moi enfin, je suis ici, en haut !! Mais cesse de fixer envieusement mes formes !
- Mais je…
- Je suis ROUX !!! À jamais, par ta faute ! »
L’autre chien de garde tente un mouvement louche et je l’incite aussitôt au calme d’un brusque mouvement de baguette. Je constate que les bruits dans le corridor du wagon se sont atténués, nous pouvons donc enfin sortir, quitter cet espèce de compartiment qui ressuscite ma vieille claustrophobie. Je tire Walter de son banc, menaçant l’autre gangster qui… regarde le paysage défiler par la fenêtre… bon, très bien, joue les indifférents, et je lui annonce du plus psychotique des tons :
« Viens, on va régler ça toi, moi et les rails du train.. »
Invité- Invité
Re: En route vers Hogwarts!
Je n’ai eu droit qu’à 2minutes de repos, car mon adversaire vient de se relever et s’avance dangereusement vers mon compartiment. Étrangement sa voix parait mielleuse. Mais je ne suis pas si stupide, je sens bien derrière son ton, une colère mal contenu. Mon cœur recommence à battre à un rythme effrayant. Mais au moins je ne suis pas seul pour affronter cet horrible personnage. L’affreux entre brutalement dans le compartiment, et me dévisage atrocement. Même si la présence de mon frère m’aide à garder mon calme, je me sens tout de même déstabilisé par le regard machiavélique de l’homme gras. Celui- ci me lance un :
« Waaaalter... Je n’en n’ai pas du tout fini avec toi. »
Cette réplique aurait bien fait fuir tout les lions de la terre. Tout son corps réclame une vengeance, et je sais qu’elle ne sera assouvit que lorsqu’il m’aura châtié la pire des punitions. Oh! Oh! Panique! Je n’ai pas vu qu’il est armé de sa baguette! Mon frère William n’a pas la sienne à proximité et moi j’ignore comment m’en servir! Les veines bleutées de ses temples palpitent à une vitesse folle. La sueur dégouline sur son front et sa main tremble légèrement. Apparemment il est dans tous ses états et moi aussi d’ailleurs. S’aillait la peur, mon pire ennemi, revient à grand galop pour m’empêcher de réfléchir correctement. Un court dialogue s’opère et je ne trouve rien de mieux à faire que de bredouiller des réponses incompréhensives. Je m’en veux de lui avoir fait du mal, au fond, ce n’est peut- être pas un mauvais gars, mais pourquoi veut- il me tuer à ce point?! Je n’arrive pas à comprendre son complexe capillaire. Quel mal il y a-t-il d’être un roux? Une lettre d’excuses ne lui suffirait pas? Je regarde mon frère qui…baille. Je crois que notre vis- à- vis prend ce geste pour une tentative d’attaque, car il bondit sous la surprise de ce soudain « mouvement », et redouble son regard d’une vigilance malsaine. Mon frère nonchalant observe le paysage défiler. Je le regarde suppliant, pour qu’il me vienne en aide et me débarrasse pour une seconde fois de mon agresseur. La seule réponse que je reçois de sa part est un bref coup d’œil négligent qui exprime clairement : « Chari pas trop ». Je suis foutu, mon garde du corps m’a flanché pour s’adonner à de futiles activités telles qu’admirer la nature! Je suis de nouveau seul sur le champ de bataille. S’aillait je retrouve exactement la même angoisse d’il y a quelques instants. Je reste là figer devant ce gars, qui n’a comme seul désir que de me voir souffrir. Il casse le silence en me disant :
« Viens, on va régler ça toi, moi et les rails du train.. »
Non! Non! Non! Je ne veux pas finir ma vie ainsi. J’imagine déjà le scénario : Il m’entraine de force dans le corridor ou plusieurs élèves se moquent de la situation. Il m’attache solidement les bas et les jambes à m’en broyer les os et me balance par la fenêtre ou je me fracasse le crâne sur les rails du train. VISION D’HOREUR!!! Sans même réfléchir un instant je prends fermement la baguette qui se trouvait dans la poche arrière de mon pantalon et cours tout droit vers mon ennemi. Celui- ci (qui ne s’attendait surement pas à ce soudain élan de courage) semble déstabilisé. Je profite de cet état de faiblesse pour lui enfoncer ma baguette magique dans sa narine gauche et sans même regarder derrière moi, je cours vers le compartiment le plus proche. AHHHH! Je suis con. Maintenant, la colère de l’affreux est à son comble, et j’entends ses pas approcher tel un tyrannosaure à crête blanche! (Ce sont les pires!) Je ne peux pas rester à cet endroit, premièrement parce qu’une Ravenclaw de 4 année m’ordonne de sortir, en me donnant de vilaines claques derrière la tête, mais aussi parce que si je reste, je vais me retrouver sans issu (et je n’ai plus de baguette pour me défendre). Je ressors donc à toute vitesse et dans mon élan me cogne le front directement dans une des vitre du train. Je me sens un peu étourdit, mais j’aperçois très bien mon agresseur qui s’élance vers moi, en bousculant les autres élèves sur son passage. Je ne prends même pas le temps d’aligné deux idées cohérente que je prends immédiatement la fuite et je me cache derrière la vieille dame au stand mobile de bonbons. Je lui supplie de me caché. Mais IL m’a vu. La vieillarde se tasse pour me mettre d’avantage devant lui. Mais elle est folle?! Elle veut ma mort elle aussi! Ils sont complices?!?! Je tente de reprendre la fuite, mais elle m’agrippe au col me livrant ainsi aux griffes de mon bourreau. L’obèse s’arrête net devant nous, et me regarde d’un air des plus satisfait. Un regard qui veut clairement dire « Ça va être ta fête ». Il craque ses poings. Cette grand- mère finit par me lâcher et dit :
« LAVIOLENCE! Pourquoi la VIOLENCE! Vous les jeunes vous pensez qu’à ça vous battre! Dans mon temps, nos ainés nous apprenaient les vraies valeurs! J’étais une jeune sorcière remplie de désirs d’apprendre et j’ai à cœur le respect des autres! Mes enfants je les éduqués de même. Pis il n’y en a pas un qui s’est déjà battue et lorsque j’en surprenais un à être impoli je lui tirais les oreilles jusqu’à ce qu’elles deviennent bleues! »
Son discourt est interminable, mais je sais qu’en restant avec elle il ne m’arrivera rien. Cette grand- mère à l’air plus féroce qu’un chacal. Alors je vais rester près d’elle jusqu’à l’arrivé à Hogwarts. Je prends soin de ne pas trop regarder l’obèse. 2 heures s’écoule, la dame aux bonbons continue son charabia qui s’est à présent détourner vers un sujet…plus exotique (celui de la reproduction et de la vie sexuelle active des koalas). Une secousse plus violente se fait soudainement ressentir. Le chauffeur nous hurle que nous sommes arrivés à l’école. Tous les élèves se précipitent vers la sortie. Aussitôt je me lance dans la foule, après avoir salué rapidement la vieille dame. Me voilà arrivé sain et sauf. J’espère que mon frère à penser à apporter mes bagages, parce qu’il n’est pas question que je retourne vers mon compartiments au risque de rencontrer mon agresseur. Une fois de plus je m’en suis tiré. Mais j’y pense, c’est LUI qui a ma baguette magique….
« Waaaalter... Je n’en n’ai pas du tout fini avec toi. »
Cette réplique aurait bien fait fuir tout les lions de la terre. Tout son corps réclame une vengeance, et je sais qu’elle ne sera assouvit que lorsqu’il m’aura châtié la pire des punitions. Oh! Oh! Panique! Je n’ai pas vu qu’il est armé de sa baguette! Mon frère William n’a pas la sienne à proximité et moi j’ignore comment m’en servir! Les veines bleutées de ses temples palpitent à une vitesse folle. La sueur dégouline sur son front et sa main tremble légèrement. Apparemment il est dans tous ses états et moi aussi d’ailleurs. S’aillait la peur, mon pire ennemi, revient à grand galop pour m’empêcher de réfléchir correctement. Un court dialogue s’opère et je ne trouve rien de mieux à faire que de bredouiller des réponses incompréhensives. Je m’en veux de lui avoir fait du mal, au fond, ce n’est peut- être pas un mauvais gars, mais pourquoi veut- il me tuer à ce point?! Je n’arrive pas à comprendre son complexe capillaire. Quel mal il y a-t-il d’être un roux? Une lettre d’excuses ne lui suffirait pas? Je regarde mon frère qui…baille. Je crois que notre vis- à- vis prend ce geste pour une tentative d’attaque, car il bondit sous la surprise de ce soudain « mouvement », et redouble son regard d’une vigilance malsaine. Mon frère nonchalant observe le paysage défiler. Je le regarde suppliant, pour qu’il me vienne en aide et me débarrasse pour une seconde fois de mon agresseur. La seule réponse que je reçois de sa part est un bref coup d’œil négligent qui exprime clairement : « Chari pas trop ». Je suis foutu, mon garde du corps m’a flanché pour s’adonner à de futiles activités telles qu’admirer la nature! Je suis de nouveau seul sur le champ de bataille. S’aillait je retrouve exactement la même angoisse d’il y a quelques instants. Je reste là figer devant ce gars, qui n’a comme seul désir que de me voir souffrir. Il casse le silence en me disant :
« Viens, on va régler ça toi, moi et les rails du train.. »
Non! Non! Non! Je ne veux pas finir ma vie ainsi. J’imagine déjà le scénario : Il m’entraine de force dans le corridor ou plusieurs élèves se moquent de la situation. Il m’attache solidement les bas et les jambes à m’en broyer les os et me balance par la fenêtre ou je me fracasse le crâne sur les rails du train. VISION D’HOREUR!!! Sans même réfléchir un instant je prends fermement la baguette qui se trouvait dans la poche arrière de mon pantalon et cours tout droit vers mon ennemi. Celui- ci (qui ne s’attendait surement pas à ce soudain élan de courage) semble déstabilisé. Je profite de cet état de faiblesse pour lui enfoncer ma baguette magique dans sa narine gauche et sans même regarder derrière moi, je cours vers le compartiment le plus proche. AHHHH! Je suis con. Maintenant, la colère de l’affreux est à son comble, et j’entends ses pas approcher tel un tyrannosaure à crête blanche! (Ce sont les pires!) Je ne peux pas rester à cet endroit, premièrement parce qu’une Ravenclaw de 4 année m’ordonne de sortir, en me donnant de vilaines claques derrière la tête, mais aussi parce que si je reste, je vais me retrouver sans issu (et je n’ai plus de baguette pour me défendre). Je ressors donc à toute vitesse et dans mon élan me cogne le front directement dans une des vitre du train. Je me sens un peu étourdit, mais j’aperçois très bien mon agresseur qui s’élance vers moi, en bousculant les autres élèves sur son passage. Je ne prends même pas le temps d’aligné deux idées cohérente que je prends immédiatement la fuite et je me cache derrière la vieille dame au stand mobile de bonbons. Je lui supplie de me caché. Mais IL m’a vu. La vieillarde se tasse pour me mettre d’avantage devant lui. Mais elle est folle?! Elle veut ma mort elle aussi! Ils sont complices?!?! Je tente de reprendre la fuite, mais elle m’agrippe au col me livrant ainsi aux griffes de mon bourreau. L’obèse s’arrête net devant nous, et me regarde d’un air des plus satisfait. Un regard qui veut clairement dire « Ça va être ta fête ». Il craque ses poings. Cette grand- mère finit par me lâcher et dit :
« LAVIOLENCE! Pourquoi la VIOLENCE! Vous les jeunes vous pensez qu’à ça vous battre! Dans mon temps, nos ainés nous apprenaient les vraies valeurs! J’étais une jeune sorcière remplie de désirs d’apprendre et j’ai à cœur le respect des autres! Mes enfants je les éduqués de même. Pis il n’y en a pas un qui s’est déjà battue et lorsque j’en surprenais un à être impoli je lui tirais les oreilles jusqu’à ce qu’elles deviennent bleues! »
Son discourt est interminable, mais je sais qu’en restant avec elle il ne m’arrivera rien. Cette grand- mère à l’air plus féroce qu’un chacal. Alors je vais rester près d’elle jusqu’à l’arrivé à Hogwarts. Je prends soin de ne pas trop regarder l’obèse. 2 heures s’écoule, la dame aux bonbons continue son charabia qui s’est à présent détourner vers un sujet…plus exotique (celui de la reproduction et de la vie sexuelle active des koalas). Une secousse plus violente se fait soudainement ressentir. Le chauffeur nous hurle que nous sommes arrivés à l’école. Tous les élèves se précipitent vers la sortie. Aussitôt je me lance dans la foule, après avoir salué rapidement la vieille dame. Me voilà arrivé sain et sauf. J’espère que mon frère à penser à apporter mes bagages, parce qu’il n’est pas question que je retourne vers mon compartiments au risque de rencontrer mon agresseur. Une fois de plus je m’en suis tiré. Mais j’y pense, c’est LUI qui a ma baguette magique….
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