Une rencontre qui pourrais changer bien des choses...
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Une rencontre qui pourrais changer bien des choses...
Londres, septembre 1968
C’est aujourd’hui le grand jour! Enfin, je vais pouvoir voir ce que c’est, Hogwarts. Madame Youth m’en a tellement parlé, je tiens plus en place! Je crois que maman aussi a hâte que je m’en aille, parce que ça fait deux semaines que je ne suis plus supportable tellement j’ai hâte d’y être. Ah non, ne croyez pas que ma mère ne m’aime pas à cause de ce que j’ai dit! En fait, elle n’as vraiment pas envie que je m’en aille, seulement que je me calme un peu. Parce qu’ elle en a déjà assez sur les bras avec Alexis et encore plus les triplets, le fait que j’en rajoute d’avantage que d’habitude, ce n’est pas une bonne idée. Sauf que dans pas longtemps, elle n’aura plus à s’occuper de moi pour quelques temps – jusqu’à Noël du moins.
Je suis content, parce que tout le monde est venu me dire au revoir. Maman, papa, Alexis, Gary, Wyatt, Nicky… Madame Youth était supposée venir elle aussi, sauf que sa vieillesse l’as empêchée de nous accompagner. J’étais un peu triste ce matin quand je l’ai su, mais elle m’a promis de m’écrire pour voir comment ça allait, alors ça va mieux. De toute façon, elle n’aurait pas été capable de nous suivre, comme je cours depuis tout à l’heure et qu’elle a de la difficulté à marcher. En tous cas, Maman, elle, elle peine à me suivre, et elle n’arrête de pas de me crier depuis tantôt de cesser de faire le fou, car elle doit attendre Nicky et Gary, et que j’entraîne les deux autres à m’imiter. Pauvre maman, quand même : ça doit pas être de tout repos pour une dame de vivre avec six garçons aussi énervés que nous!
-Travis! Peux-tu agir en grand garçon, s’il-te-plait? Et va aider ton père à porter tes valises, c’est pas à lui de faire tout ça! Et Alexis, arrête de parler aux…
D’un bond, je me retourne, puis cours à la rencontre de mon père, quelques mètres derrière moi. Je m’arrête une fraction de seconde à la hauteur du deuxième, histoire de lui donner une petite tape sur la tête, ce qui a pour effet de le faire chialer. Ben voyons! C’était juste une tapette de rien du tout! Mais bien sûr, maman ne me croit pas!
-Andrea! Occupe-toi de Travis, tu veux?
Je vois papa s’approcher de moi, tandis que ma mère s’en va consoler Alexis. Mais je n’ai pas peur, parce que papa est toujours moins sévère avec moi que maman. Faut dire que maman n’est pas grincheuse comme ça d’habitude non plus.
-Mio giovanotto...
Ça me fait toujours drôle quand papa parle en italien, parce que ça ressemble pas du tout à l’anglais.
-Tu le sais qu’on veux pas que tu frappe tes frères...
-J’l’ai même pas frappé!
-Oui tu m’as frappé! que j’entend Alexis gueuler.
-C’est même pas vrai! T’es un menteur!
Je me tais en entendant mon père soupirer. Il a beau être gentil, quand il soupire, c’est qu’il commence à en avoir marre. Et quand papa se fâche, c’est vraiment plus drôle. C’est son italien qui fais ça, que maman dit.
-Travis...
La tête basse, je prononce quelques piètres excuses à l’endroit de mon père. Mais c’est pas à lui qu’il veut que j’en fasse, c’est à Alexis. Je soupire donc, vais voir mon frère puis finit par m’excuser, avant de le serrer dans mes bras. J’entend quelques monsieurs et madames dire qu’on est mignon, et ça me fait plaisir. J’aime que le monde disent que je suis mignon, parce c’est vrai.
On finit donc par arriver devant un mur, où je m’exclame que c’est ici. Ma famille a l’air de me trouver un peu bizarre, et ça me fait rire. On est juste entre les voies neuf et dix, et c’est vrai qu’on doit avoir l’air un peu idiot parce qu’à première vue, il n’y a rien ici.
-T’es sûr que tu ne t’es pas trompé, mon chéri?
Je regarde maman, puis lui explique ce que Madame Youth m’as dit. C’est la voie 9 ¾ que l’on cherche, donc normalement, c’est entre la neuf et la dix.
-Oui, je veux bien croire, mais... comment tu fais pour y entrer?
-Ben, je fonce dans le mur!
Bon. Elle a vraiment pas l’air de me croire. Papa un peu plus, Wyatt trouve ça cool, et Alexis pense que c’est stupide. Mais ce l’est pas! C’est magique!
-Je te jure! Regarde, je vais y entrer, puis revenir, juste pour vous montrer que c’est vrai!
Ma mère s’apprête à dire quelque chose, sauf que je ne l’écoute pas, et je m’élance vers le mur de brique. Je dois avouer que pendant une fraction de secondes, j’ai crains de me retrouver sur les fesses et le nez cassé, sauf qu’à ma grande surprise, lorsque j’ouvre les yeux, c’est sur un quai que je me retrouve. Ébahis, je jette pleins de coup d’oeil autour de moi. Il y a tellement de monde! Et ce sont tous des sorciers, comme moi! Eh bien, je n’aurais pas cru qu’il y en avait autant! Mais ce qui m’inpressionne le plus, c’est le gros train rouge qui semble nous attendre. Le Hogwarts Express! Je le reconnais, Madame Youth m’en avait parlé de ce train flamboyant! Il est encore plus beau que je le croyais!
Sauf que bon, mes parents doivent s’inquiéter, de l’autre côté. Je retraverse donc le mur, et je me rends compte que ma mère était vraiment apeurée, parce qu’elle me serre aussitôt dans ses bras, avant même que je n’aille le temps de m’en rendre compte. Je me sens un peu mal, mais pas tant que ça. Parce que j’ai pu voir le beau train.
Après les au revoir, je retourne sur le voie 9 ¾, mais avec mes valises cette fois-ci. Parce que je suis partit pour de bon, là. Ça me fait un peu peur, mais je me dis que je vais être avec plein de gens qui vont être comme moi, et qui vont aussi être mes amis parce que moi je suis l’ami de tout le monde. Je me dépêche donc d’entrer dans le train rouge, de peur d’être en retard, puis commence à chercher un compartiment de libre. Ce n’est pas évident! C’est sûr que je pourrais m’installer avec quelqu’un d’autre, moi ça ne me dérangerais pas mais peut-être que eux oui. C’est pour ça que j’essaie d’en trouver un où il n’y a personne, comme ça ceux qui veulent me parler pourront venir me voir.
-Idiot! Ouvre-moi la porte, où j’te casse la gueule quand on arrive à Hogwarts!
Eh bien, je crois qu’il y a quelqu’un de pas très content, près d’ici. Et puis effectivement, je n’ai pas besoin de chercher bien longtemps pour remarquer cette fille debout en plein milieu du couloir, à s’engueuler avec la porte d’un compartiment. Mais à qui est-ce qu’elle fait de telles menaces? Ce n’est pas très gentil, de menacer les gens. Mais peut-être a-t-elle une raison de faire ça, aussi.
-Ça ne va pas à une jolie fille de crier comme ça, dis-je lorsque je fut arrivé juste à côté d’elle.
Le fille se tourne vers moi et me considère quelques instants. Elle de beaux yeux, grands et marrons, jolis dans son expression renfrognée. Mais ce que j’aime le plus, ce sont ces cheveux : ils sont super longs, encore plus que maman, et oranges. D’un beau roux éclatant.
-Touche pas à ma sœur, ou t’es mort.
Jetant un regard sur ma gauche, je me rends compte que la porte du compartiment contre lequel la fille criait vient de s’ouvrir. Les yeux tout ronds, comme surpris, je m’exclame :
-Woah! Toi aussi tes cheveux sont oranges!
Le garçon n’as pas l’air de comprendre ce que je raconte, mais n’as pas l’air de s’en préoccuper non plus. Il me regarde quelque instant, puis se tourne vers sa sœur, lui demandant qui je suis. Mais comme elle ne le sait pas puisqu’on vient tout juste de se rencontrer, je m’en occupe moi-même :
-Travis Dessanti! Et je suis en première année! …Vous aussi vous êtes en première?
Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai l’impression que le gars me trouve un peu bizarre. Il faut dire qu’il semble plus introverti que moi, et que les gens introvertis ont toujours ce genre de réaction avec moi.
-Aidan McPherson, et elle c’est Amia. On est tout les deux en première.
-Ça alors, ça veux dire que vous êtes jumeaux, non?!
Eh bien, tu parle d’une coïncidence!
-Moi aussi j’ai des frères qui sont des jumeaux. Ben, en fait, ils sont trois, alors c’est pas réellement des jumeaux, mais…
-Tu joues de la guitare?
Sur le coup, j’étais fâché qu’il m’ait ainsi interrompu, mais lorsque je compris ce qu’il venait de dire, mon regard s’illumina à l’instant.
-Oh oui! Depuis que je suis tout jeune, et puis je joue de la basse aussi! Est-ce que tu en joues, toi?
Aidan hoche la tête de façon positive, et mon sourire s’agrandis encore plus. Ben ça alors, drôle de rencontre! Sans m’inquiéter une seconde de me faire répondre non, je demande à mes nouvelles connaissances si on peut s’installer à l’intérieur, parce qu’on risque de bloquer le passage à d’autres personnes. Ils semblent hésiter quelques secondes, mais finissent par accepter. Aidan pénètre donc à l’intérieur, puis je laisse Amia passer avant moi. Eh bien quoi? Il faut être galant avec les jolies filles, pas vrai?
C’est aujourd’hui le grand jour! Enfin, je vais pouvoir voir ce que c’est, Hogwarts. Madame Youth m’en a tellement parlé, je tiens plus en place! Je crois que maman aussi a hâte que je m’en aille, parce que ça fait deux semaines que je ne suis plus supportable tellement j’ai hâte d’y être. Ah non, ne croyez pas que ma mère ne m’aime pas à cause de ce que j’ai dit! En fait, elle n’as vraiment pas envie que je m’en aille, seulement que je me calme un peu. Parce qu’ elle en a déjà assez sur les bras avec Alexis et encore plus les triplets, le fait que j’en rajoute d’avantage que d’habitude, ce n’est pas une bonne idée. Sauf que dans pas longtemps, elle n’aura plus à s’occuper de moi pour quelques temps – jusqu’à Noël du moins.
Je suis content, parce que tout le monde est venu me dire au revoir. Maman, papa, Alexis, Gary, Wyatt, Nicky… Madame Youth était supposée venir elle aussi, sauf que sa vieillesse l’as empêchée de nous accompagner. J’étais un peu triste ce matin quand je l’ai su, mais elle m’a promis de m’écrire pour voir comment ça allait, alors ça va mieux. De toute façon, elle n’aurait pas été capable de nous suivre, comme je cours depuis tout à l’heure et qu’elle a de la difficulté à marcher. En tous cas, Maman, elle, elle peine à me suivre, et elle n’arrête de pas de me crier depuis tantôt de cesser de faire le fou, car elle doit attendre Nicky et Gary, et que j’entraîne les deux autres à m’imiter. Pauvre maman, quand même : ça doit pas être de tout repos pour une dame de vivre avec six garçons aussi énervés que nous!
-Travis! Peux-tu agir en grand garçon, s’il-te-plait? Et va aider ton père à porter tes valises, c’est pas à lui de faire tout ça! Et Alexis, arrête de parler aux…
D’un bond, je me retourne, puis cours à la rencontre de mon père, quelques mètres derrière moi. Je m’arrête une fraction de seconde à la hauteur du deuxième, histoire de lui donner une petite tape sur la tête, ce qui a pour effet de le faire chialer. Ben voyons! C’était juste une tapette de rien du tout! Mais bien sûr, maman ne me croit pas!
-Andrea! Occupe-toi de Travis, tu veux?
Je vois papa s’approcher de moi, tandis que ma mère s’en va consoler Alexis. Mais je n’ai pas peur, parce que papa est toujours moins sévère avec moi que maman. Faut dire que maman n’est pas grincheuse comme ça d’habitude non plus.
-Mio giovanotto...
Ça me fait toujours drôle quand papa parle en italien, parce que ça ressemble pas du tout à l’anglais.
-Tu le sais qu’on veux pas que tu frappe tes frères...
-J’l’ai même pas frappé!
-Oui tu m’as frappé! que j’entend Alexis gueuler.
-C’est même pas vrai! T’es un menteur!
Je me tais en entendant mon père soupirer. Il a beau être gentil, quand il soupire, c’est qu’il commence à en avoir marre. Et quand papa se fâche, c’est vraiment plus drôle. C’est son italien qui fais ça, que maman dit.
-Travis...
La tête basse, je prononce quelques piètres excuses à l’endroit de mon père. Mais c’est pas à lui qu’il veut que j’en fasse, c’est à Alexis. Je soupire donc, vais voir mon frère puis finit par m’excuser, avant de le serrer dans mes bras. J’entend quelques monsieurs et madames dire qu’on est mignon, et ça me fait plaisir. J’aime que le monde disent que je suis mignon, parce c’est vrai.
On finit donc par arriver devant un mur, où je m’exclame que c’est ici. Ma famille a l’air de me trouver un peu bizarre, et ça me fait rire. On est juste entre les voies neuf et dix, et c’est vrai qu’on doit avoir l’air un peu idiot parce qu’à première vue, il n’y a rien ici.
-T’es sûr que tu ne t’es pas trompé, mon chéri?
Je regarde maman, puis lui explique ce que Madame Youth m’as dit. C’est la voie 9 ¾ que l’on cherche, donc normalement, c’est entre la neuf et la dix.
-Oui, je veux bien croire, mais... comment tu fais pour y entrer?
-Ben, je fonce dans le mur!
Bon. Elle a vraiment pas l’air de me croire. Papa un peu plus, Wyatt trouve ça cool, et Alexis pense que c’est stupide. Mais ce l’est pas! C’est magique!
-Je te jure! Regarde, je vais y entrer, puis revenir, juste pour vous montrer que c’est vrai!
Ma mère s’apprête à dire quelque chose, sauf que je ne l’écoute pas, et je m’élance vers le mur de brique. Je dois avouer que pendant une fraction de secondes, j’ai crains de me retrouver sur les fesses et le nez cassé, sauf qu’à ma grande surprise, lorsque j’ouvre les yeux, c’est sur un quai que je me retrouve. Ébahis, je jette pleins de coup d’oeil autour de moi. Il y a tellement de monde! Et ce sont tous des sorciers, comme moi! Eh bien, je n’aurais pas cru qu’il y en avait autant! Mais ce qui m’inpressionne le plus, c’est le gros train rouge qui semble nous attendre. Le Hogwarts Express! Je le reconnais, Madame Youth m’en avait parlé de ce train flamboyant! Il est encore plus beau que je le croyais!
Sauf que bon, mes parents doivent s’inquiéter, de l’autre côté. Je retraverse donc le mur, et je me rends compte que ma mère était vraiment apeurée, parce qu’elle me serre aussitôt dans ses bras, avant même que je n’aille le temps de m’en rendre compte. Je me sens un peu mal, mais pas tant que ça. Parce que j’ai pu voir le beau train.
Après les au revoir, je retourne sur le voie 9 ¾, mais avec mes valises cette fois-ci. Parce que je suis partit pour de bon, là. Ça me fait un peu peur, mais je me dis que je vais être avec plein de gens qui vont être comme moi, et qui vont aussi être mes amis parce que moi je suis l’ami de tout le monde. Je me dépêche donc d’entrer dans le train rouge, de peur d’être en retard, puis commence à chercher un compartiment de libre. Ce n’est pas évident! C’est sûr que je pourrais m’installer avec quelqu’un d’autre, moi ça ne me dérangerais pas mais peut-être que eux oui. C’est pour ça que j’essaie d’en trouver un où il n’y a personne, comme ça ceux qui veulent me parler pourront venir me voir.
-Idiot! Ouvre-moi la porte, où j’te casse la gueule quand on arrive à Hogwarts!
Eh bien, je crois qu’il y a quelqu’un de pas très content, près d’ici. Et puis effectivement, je n’ai pas besoin de chercher bien longtemps pour remarquer cette fille debout en plein milieu du couloir, à s’engueuler avec la porte d’un compartiment. Mais à qui est-ce qu’elle fait de telles menaces? Ce n’est pas très gentil, de menacer les gens. Mais peut-être a-t-elle une raison de faire ça, aussi.
-Ça ne va pas à une jolie fille de crier comme ça, dis-je lorsque je fut arrivé juste à côté d’elle.
Le fille se tourne vers moi et me considère quelques instants. Elle de beaux yeux, grands et marrons, jolis dans son expression renfrognée. Mais ce que j’aime le plus, ce sont ces cheveux : ils sont super longs, encore plus que maman, et oranges. D’un beau roux éclatant.
-Touche pas à ma sœur, ou t’es mort.
Jetant un regard sur ma gauche, je me rends compte que la porte du compartiment contre lequel la fille criait vient de s’ouvrir. Les yeux tout ronds, comme surpris, je m’exclame :
-Woah! Toi aussi tes cheveux sont oranges!
Le garçon n’as pas l’air de comprendre ce que je raconte, mais n’as pas l’air de s’en préoccuper non plus. Il me regarde quelque instant, puis se tourne vers sa sœur, lui demandant qui je suis. Mais comme elle ne le sait pas puisqu’on vient tout juste de se rencontrer, je m’en occupe moi-même :
-Travis Dessanti! Et je suis en première année! …Vous aussi vous êtes en première?
Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai l’impression que le gars me trouve un peu bizarre. Il faut dire qu’il semble plus introverti que moi, et que les gens introvertis ont toujours ce genre de réaction avec moi.
-Aidan McPherson, et elle c’est Amia. On est tout les deux en première.
-Ça alors, ça veux dire que vous êtes jumeaux, non?!
Eh bien, tu parle d’une coïncidence!
-Moi aussi j’ai des frères qui sont des jumeaux. Ben, en fait, ils sont trois, alors c’est pas réellement des jumeaux, mais…
-Tu joues de la guitare?
Sur le coup, j’étais fâché qu’il m’ait ainsi interrompu, mais lorsque je compris ce qu’il venait de dire, mon regard s’illumina à l’instant.
-Oh oui! Depuis que je suis tout jeune, et puis je joue de la basse aussi! Est-ce que tu en joues, toi?
Aidan hoche la tête de façon positive, et mon sourire s’agrandis encore plus. Ben ça alors, drôle de rencontre! Sans m’inquiéter une seconde de me faire répondre non, je demande à mes nouvelles connaissances si on peut s’installer à l’intérieur, parce qu’on risque de bloquer le passage à d’autres personnes. Ils semblent hésiter quelques secondes, mais finissent par accepter. Aidan pénètre donc à l’intérieur, puis je laisse Amia passer avant moi. Eh bien quoi? Il faut être galant avec les jolies filles, pas vrai?
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