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Ashling Swan

4 participants

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Message  Ashling Swan Lun 3 Sep - 2:04

Nom: Swan
Prénom: Ashling
Âge: Quinze ans

Année: Cinquième Année
Maison: Ravenclaw, bien que je ne comprenne toujours pas la décision du Choixpeau...
Animal: Ashling Swan 247824_AEZUYXMI12IBBBSM7ISXCTVUH3ERMB_637134_1__H172414_L
Oui, j'ai un petit animal de compagnie: Spell. Un petit chaton blanc qui, j'en ai bien l'impression, restera de taille mignature durant toutes ses sept vies!

Matière Favorite: Divination. Je sais, je passe pour une allumée! C'est pas la peine de me dire que cette matière avec sa prof tarrée est à ex-aequo avec"Histoire de la Magie" ou "Etude de Moldus" mais depuis l'étrange vision de cette folle concernant mon passé, je ne peux pas m'empêcher de prier pour qu'elle voit autre chose...bien que ce que j'ai appris me suffit amplement!
Hobbies: Me déguiser pour tromper la vigilence des autres étudiants (ce qui marche assez bien, à vrai dire, étant devenue une adepte du Polyjuice Potion!). Sinon, j'adore la musique. Je jouait de la guitarre électrique dans le monde moldu mais comme le dirlo s'est débrouillé pour couper l'électricité dans la château, au revoir mes accords. Néanmoins, j'arriverai bien par le pérsuader de faire une petite entorse à mon égard!
Sinon? Il n'y a pas à dire, mais le monde auquel je fais désormais partie me passionne! Alors je lie beaucoup pour en apprendre davantage, sans parler de ma studiosité maladive concernant mes études, moi, Ashling Swan, qui n'ait jamais aimé prendre des cours! C'es peut-être pour ça que je suis dans la Maison des Surdoués...?
Bande/Amis: Franchement, vous voulez que je vous dise? "Mieux vaut être seule que mal accompagnée"! Surtout dans mon cas. Pourtant, j'arrive à ne pas trop attirer l'attention sur moi en étant sympa avec tout le monde, sans pour autant les apprécier réellement. Les clichés éxistent partout, et c'est pas dans une écolde de sorcellerie que ça va changer. Donc arrêtez un peu de penser que les "p'tits bleux" sont tous des gentils petits chouchous, qui font bien leurs devoirs et sortent d'Hogwarts avec des premiers prix pleins les poches. Je n'aime pas les hypochrites et dans mon dortoir, il n'y a malheureusement que ce fléau qui fait la loi. Pourtant, je me suis liée d'amitié avec une jeune élève de Gryffindor. Sans savoir pourquoi, j'ai l'impression qu'elle sait qui je suis, ce que je suis...sans pour autant me fuir comme une sotte. Je l'aime bien, elle ne passe pas son temps à juger les autres, bien au contraire, il semble qu'elle veut leur redonner courage. Oui, décidément, Lily Evans est une chouette fille et même si nous ne sommes pas dans la même Maison, nous passons du temps ensembles.

Histoire: Partie I Les premiers souvenirs qui surgissent dans mon esprit lorsque l'on arrive tant bien que mal à dégoter quelque chose sur ma vie, ne font pas partie de mon enfance. Autant vous le dire tout de suite, ma vie, jusqu'à un certain âge, n'avait rien de merveilleusement trépident, si ce n'est que je ne me suis jamais sentie chez moi nulle part. Trouvez-moi le plus grand des palaces ou le plus paumé des greniers, je n'était à mon aise ni dans l'un, ni dans l'autre. Moi? Difficile? Pas du tout; simplement jamais prise au sérieux. Je rigole pas! On ne voyait en moi que la pauvre et malheureuse orpheline du Pensionnat Willforth, une banlieue morte située au Nord-Ouest de Londres, et ayant dépassé de beaucoup la date limite pour une quelconque adoption. Mon quotidien se résumait de levés à huit heures du matin, déjêuner après une douche généralement froide et pleine de fourmies qui venaient vous chatouiller les jambes en guise de salutation matinale, suivie des visites d'adopteurs potentiels. Avec mes airs revèches et stupide de fillette d'à peine dix ans, je n'étais pas vraiment le stéréotype du petit ange près à s'envoler vers le monde célestement paradisiaque d'un nouveau "chez soit" mais plutôt le vilain petit canard qui ne trouvera jamais où se caser pour manque d'angélisme. Le pire, c'est que je trouvait ça ringard. Pas parce que j'étais jamais prise, mais parce que c'était tellement le profile parfait de l'héroïne de roman tragique. J'vous jure, pire que les foutaises à la Jane Eire. Et pourtant, ce qui m'est arrivé n'a rien d'une fiction: c'est réel...

A l'orphelinat, il ya vait cinq adultes qui s'occupaient de nous. Premièrement: Miss Smith, la directrice de l'établissement. Miss Smith n'a jamais été sa véritable identité; ce sont les pensionnaires et moi-même qui l'avont surnommée ainsi, n'ayant jamais pû lui arracher quoi que ce soit de sa vie en dehors de Willforth. C'était une femme ultra maigre et déssèchée, le genre de bonne femme qui fait pitié à voir et qu'on à peur de toucher en croyant qu'elle se brisera toutes les côtes en l'aidant à traverser la rue. Les cheveux tirés en chignons, habillée de gris et pourvue de grosses lunettes qui lui donne l'air d'un hiboux en veille perpétuelle, j'étais contente de faire la connaissance de Minerva McGonagall à côté! Ensuite, nous avions à notre disposition Petra, une étudiante allemande, gonflée comme un ballon, qui braille du matin au soir avec son accent bavarrois. Une horreur! Imaginez, les filles, prendren une douche avec devant vous et aux portes de votre intimité, cette grosse dinde qui vous mate de ses yeux globuleux. ( Comparé à Psychose...Rolling Eyes ) Puis arrivent les jumeaux. Pareils, on connait pas leurs prénoms et puis, ils se ressemblent tellement que ce serait une perte de temps de les savoir. Ils s'occupent du ménage, du dortoir des garçons et des gardes des portes, à tour de rôles. S'il n'y avait pas eût Mrs. Devil, je les aurait aimés le plus: ils ne parlent jamais!

Mrs.Devil...C'est peut-être son nom de famille qui m'attirait le plus. Comme je ne faisais jamais rien comme toit le monde, j'allais souvent la voir le soir pour qu'elle me raconte des histoires qui font peur ou encore éllaborer des hypothèses concernant mes deux géniteurs. Curieusement et ça aurait pû me mettre la puce à l'oreille quand j'étais petite, elle ne faisait ça qu'avec moi, le jeu des hypothèses. Comme si ça la fascinait. Quand à moi, même si ça m'amusait d'inventer des trucs plus débiles les uns que les autres, je raffolais plus de ses histoires que de ce jeu. Et d'une histoire en particulier...sans savoir qu'elle me concernait directement...

Caractéristiques Physiques: Sans vouloir me vanter, je suis dotée d'un charme peu commun. Malgrè mes 15 ans, je ressemble plutôt à une jeune fille de 14 ans au corps plutôt masculin. Beaucoup trop mince pour plaire à la bienséance, ma peu est normalement blanche. Normalement parce qu'en dehors des cours, passe son temps dans mon atelier à créer.(Atelier que vous ne découvrirez jamais et je défie les Marauders de me pincer!) Je fait de la poterie, de la peinture et de la sculpture. Aussi, il n'est pas rare de me voir habillée en blanc en plus de l'uniforme classique, des traces de couleur multicolores sur les bras et des tâches d'argile sur les joues. Il va néanmoins de soit (et de mon honneur, je ne suis pas fière de ce que je suis, mais bon...) qu'en sorties pour Hogsmead ou autres réunions, je fais attention à mon apparence et fais grand cas d'une certaine élégance bourgeoise et distinguée (origines que je ne représente pas le moins du monde!)Très mince donc et comme transparente due à mon extrême minceur et à la couleur blafarde de ma peau, j'ai des yeux nuages, presque gris, tirés en amandes mais virant au noir lorsque je ne me contrôle plus, ainsi que des cheveux noirs, infiniement longs, virant eux aussi du violet au bleu lors des nuits et des jours orageux et sans lesquels je me ferais passer sans problèmes pour un garçon.

Mon visage est assez fin et ma bouche constemment fendue en un sourir moqueur, à la limite de la provocation. Mon menton fièrement porté me donne un air de défi et la je refuse d'ailleurs de baisser les yeux, même devant le Directeur. A croire que je me crois tout permis...Le reste de mon corps est assez atypique et comme dit plus haut, il a des caractéristiques masculines. Mes formes ne sont pas pleines et rondes comme celles de certaines beauté spectaculaires; non, à vrai dire, je ne suis rien de plus qu'un vulgaire "planche à pain", dont les hanches carrées et sans volupté, ne cherchent pas désespérément à onduler pour plaire. Très grande, je possède de ce fait deux superbes jambes, lisses et soyeuses, nullement cachées d'ailleurs. Chaussées de bottes à hauts talons, mes pieds viennent complèter une silhouette néanmoins agréable pour le plus grand plaisir des deux sexes!

Caractéristiques Psychologiques: Pour ne rien vous cacher, je suis un curieux oiseau. Imprévisible et riche en surprises, mon caractère est assez changeant, "opportuniste" selon certains. En pérpétuelle métamorphose que je nomme ma "girouette mentale", j' adapte mes pulsions aux situations qui se présentent à moi. Galvanisée d'émotions et d'expérience, je suis néanmoins assez calme, sereine et réfléchie et pratiquement toujours sur la défensive. Cet aspect farouche est sans doute lié à une maladie j'ai attrapé très tôt mais qui, dans certaines circonstances, s'avère être parfaitement utile et à propos: la paranoïa. De ce fait, j'assure mes arrières comme si chaque personne me voulait du mal et use souvent d'ironie et de réthorique face à mes adversaires...nombreux. Dotés d'esprit stratégique, mes capacités à réagir vite et discrètement en dehors du Collège me son infiniement précieuses dans ma Quête.

Côté sentimental, je me demande si j'ai vraiment un coeur. Repoussant tous les hommes que je croise, je me joue du romantisme et n'est pas le genre de femme aspirant à la vie de couple et au bonheur conjugal. Partant du principe que l'amour des corps est une règle d'éthique,je m'envoit en l'air pour sauver les apparences, mais pas avec n'importe qui! Très sûre de moi en amour, je ne me fixe pas sur une personne mais déteste blesser mon partenaire: je suis franche et arrête la chose lorsque je sens qu'aller plus loin rimerait avec puérile bêtise. Si la chose tourne bien, soyez-sûr que je suis la fidélité personnifiée et que je ne suis jamais rassasiée...

Ma colère n'éclate jamais au grand jour. D'ailleurs, rares sont les cas qui me donnent le loisir de m'énerver. Je suis dans le genre "force tranquille", qui ne se laisse déranger par rien ni personne, bien que je me débrouille toujours pour être assez renseignée sur tous pour mieux me protéger. Toute fois, je prend un malin plaisir à détourner en dérision les règles établies et c'est avec amusement que j' aime tromper mes semblables, ayant un certain goût pour le déguisement... Je ne suis pas spécialement loufoque ni trop austère, juste ce qu'il faut des deux côtés pour faire une parfaite...manipulatrice.


Signe(s) Particulier(s): ^^ A par le fait qu'il vaudrait mieux ne pas m'approcher, tout baigne, non?
Ambitions: Réussir mes études de magie, premièrement et avant tout! C'est seulement en ayant mes ASPICs en poches que je pourrais me défaire de ma culpabilité. Après cela, me trouver un appart' (avec le pesant d'or que mes...géniteurs m'ont laissé, ça devrait pas être si dur que ça!). Puis, faire des études en Droit Magique, afin de lutter contre la discrimination qui reigne entre sang-purs et autres sorciers.
Baguette: Elle mesure 13, 7 centimètre et est, curieusement, en bois de "Sorbet des Oiseaux". Sa Magie relève d'un ventricule de dragon est reste ma meilleure amie et peut-être, mon arme lorsque le monde magique saura qui je suis...à supposer que je le sache moi-même avant!


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Ashling Swan
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Message  Ashling Swan Lun 10 Sep - 14:37

Suite de ma fiche (Histoire trop longue pour rester dans le messages de base^^)

Le conte de Mrs.Devil:


"Remontons le temps, et revenons cinq cent quarante ans auparavant…
Nous sommes au XVème siècle, en Italie, et le Quattrocento bat son plein…

En l’an de grâce 1467, lors d’une froide nuitée d’automne, Graziella Lucza mettait au monde deux minuscules créatures, qui devaient être les héritiers de la fortune des Lucza, une puissante et richissime famille roumaine. Sa mère, la belle Graziella, ne supporta guère les complications de l’accouchement, et les relevailles furent un véritable calvaire où la jeune femme oscillait entre vie et mort. Et finalement, Dieu, s’il y en avait un, prit pitié de sa pauvre enfant et lui accorda la vie au prix de celui de l’aîné de ses nouveau-nés.

On prénomma la survivante – car il s’agissait là d’une fille -, Victoria. La victoire sur la soi-disant stérilité de sa mère, la victoire sur la vie, sur son avenir… Son père, Franz, fut ravi de la naissance de l’enfant, mais n’accorda que très peu de tristesse pour la mort de son frère, qui était son aîné d’une heure. En effet, la mortalité infantile était encore très élevée, et ce malgré les progrès fulgurants de la médecine d’alors. Il devina que c’était là l’unique héritière qu’il posséderait de sa vie, et il redoubla alors d’amour et de soins, entourant la petite Victoria d’une nuée de serviteurs chargés d’exaucer tous ses désirs. Contrairement à ce qu’on aurait pu penser, si l’enfant voyait son orgueil flatté du matin au soir, elle ne devint pas autoritaire, capricieuse et insupportable comme tous les enfants gâtés. C’était d’ailleurs une fillette étrange, qui cultivait plutôt la solitude, et restait silencieuse et immobile pendant des heures. Et puis, soudain, elle se mettait en mouvement, et devenait vive et gracieuse. Ses traits de poupée s’animaient, et elle devenait une enfant rieuse et prompte à manifester son sens de la répartie. Elle s’attira d’ailleurs l’amitié et la tendresse de la divine Simonetta Vespucci, dite l’idole de Florence, maîtresse de Julien de Médicis, et frère du ô combien célèbre Laurent le Magnifique. Relation qui d’ailleurs la servirent plus tard…

L’enfance s’écoula avec une lenteur qui, loin d’être désagréable, sembla l’aider à se préparer au monde des adultes et aux premières cruautés que lui réserverait l’existence.

Enfin, Victoria fit ses premiers pas au grand jour, et elle put appliquer ses cours de danse, de maintien et de musique lors de grands bals organisés dans des somptueux et gigantesques palais de Florence. La mort de son amie et sœur spirituelle Simonetta l’avait profondément chagrinée, et ç’avait été le premier traumatisme qu’elle avait eu à subir : Victoria en conçut une peur immodérée pour la mort. Sa légèreté, son esprit et sa beauté étrange attirèrent l’attention des plus hauts dignitaires florentins, et des artistes dont ils étaient les mécènes. Le nom de la belle Vespucci était encore sur toutes les lèvres, son doux visage dans toutes les têtes, et ne s’en sortiraient pas de sitôt : néanmoins, si elle n’arriverait pas à leur faire oublier l’idole, Victoria était toujours capable de devenir une des femmes les plus adulées de Florence. Le brillant Lorenzo s’y intéressa de près, et la jeune fille ne tarda pas à avoir une place privilégiée près de lui. Malheureusement, si il y avait à la clef de cette secrète idylle richesse et renommée, Franz Lucza ne supporta pas de voir sa fille unique et chérie être en les mains de cet homme exceptionnel. Il était fier, trop, et ne voulait en aucun cas que sa « Vica » perdît son innocence trop tôt. Hélas, l’affaire avait été si bien menée qu’il ôtât sa fille du fabuleux univers des Médicis trop tard : heureusement, elle n’avait pas été trop ébruitée, et le père fou de rage pouvait espérer un mariage sans trop de difficultés.

Victoria ne manifesta ni chagrin ni regrets en se séparant du Médicis, et fut emportée dans le pays natal de son père sans avoir son mot à dire. La Roumanie, qui ne serait appelée comme cela bien plus tard, au XIXème siècle, fut un changement à la fois brutal et merveilleux pour la jeune fille. La Transylvanie et l’Italie différaient en tous points : paysages, habitants, arts… Son magnifique palais au cœur de Florence fut remplacé par un gros château trapu et austère, un « burg » du genre comme il n’en existait dans cette région. L’imagination de Victoria, dite « Luczine », dans l’ombre et l’odeur fraîche des vieilles pierres, des vastes forêts, si vastes qu’elles ne semblent s’arrêter jamais, fut comblée. Et ce fut dans une des oubliettes du burg familial des Lucza qu’elle tâtât les premières impressions de l’immortalité…

En effet, dès son arrivée, la jeune Victoria, qui était à peine âgée de dix-sept ans, fut prodigieusement impressionnée par la grandeur et le mystère démesurés des lieux. Elle oubliait l'atmosphère glaciale du château des Lucza, juché fièrement sur une hauteur des Carpathes, comme une menace aux courageux qui auraient l'audace et la présomption de s'aventurer sur les hauteurs venteuses et escarpées ; elle oubliait les querelles de ses parents, les mêmes qu'ils ressassaient depuis que leur fille avait fait sa véritable et triomphante entrée dans l'aristocratie florissante de Florence, soit une des plus puissantes d'Italie à cette époque ; enfin, elle oubliait tout ce qu'elle avait pu apprendre et connaître jusqu'ici, ne gardant et ne mettant en pratique uniquement ses connaissances en littérature, artistiques et linguistiques, puisqu'elle était quasiment trilingue, avec une mère italienne et un père roumain, et parlant courament le français.

C'était comme un deuxième naissance ; Victoria faisait peau neuve, et manifestait le besoin de connaître, de s'imprégner entièrement des terres natales de son père. Bien entendu, ses amis lui manquaient, ainsi que le luxe dans lequel elle avait été élevée, mais le besoin de se voir entourée ou de dormir dans des draps de soie brodés de fils d'or s'estompa. Seul les sauvages paysages de Translvanie la comblaient, l'apaisaient, alors qu'ils faisaient se morfondre sa mère Graziella, qui voulait revoir sa Florence, son Italie ensoleillée et gaie. L'austérité qui régnait dans sa nouvelle demeure venait à l'effrayer, à la terroriser même. Lorsque parfois, elle hurlait de terreur en affirmant avoir aperçu des ombres le long du mur dépouillé de sa chambre, faiblement éclairé par un clair de lune inquiétant.

Victoria, pour sa part, avait bien remarqué ces ombres, qui glissaient silencieusement dans sa chambre la nuit. D’abord un peu apeurée, son tempérament fantasque et aventureux sembla s’habituer à ces apparitions et présences nocturnes, et elle en vint à s’approcher de ces mystérieux phénomènes qui, elle en était absolument certaine puisque sa mère les voyait également, n’étaient pas le fruit de son imagination. La jeune fille avait approché une main à peine tremblante vers une ombre, tant et si bien qu’elle était entrée en contact avec une surface glaciale, et qui semblait être faite de marbre. Stupéfaite, elle l’avait caressée, incroyablement attirée à cet être dans l’ombre de sa chambre, qui exerçait sur elle une attraction irrésistible. Impossible de résister à la tentation de cette jeune fille à la chevelure de feu, et qui s’offrait avec une facilité déconcertante : la créature, d’un pas, s’avança de sorte à ce que le rayon de clair de lune le découvrit entièrement. Et Victoria sombra dans un sommeil des plus profonds…

Cependant, son heure n’était pas encore venue, elle le savait, elle l’avait compris instinctivement. Sa servante attitrée l’avait découverte allongée par terre, avec une mine émerveillée. Une fois les sels respirés et un réveil des plus désagréables, Victoria n’avait pas voulu faire la grâce de prononcer une parole, et son attitude étrange inquiéta fortement ses parents. En vérité, surtout Graziella, qui, après avoir observé sa fille sous toutes les coutures avec une mine des plus soucieuses, se mit à la harceler de questions pressantes.

Elle les avait vues, n’est-ce pas ?
Dans l’ombre, tout près…
Si près de son lit…
Comment avait-elle réagi ?
Qu’avait-elle fait ?!
Les avait-elle touché ? Vu ? Entendu ?
Depuis combien de temps ?
A quelle heure ?
A quelle fréquence ?

A cet impitoyable interrogatoire, Victoria souriait, de ce rictus absent et diabolique qui faisait se reculer et se signer Graziella en poussant des gémissements d’effroi. Elle appelait déjà à l’exorcisme lorsque Franz déboula dans la chambre, et mit un terme à l’étrange scène qui s’y déroulait. Il leur annonça, tout sourire, qu’il avait trouvé un fiancé à sa fille ! La mère de Victoria oublia momentanément le comportement par trop insolite de sa fille, et s’en réjouit avec son époux. L’étreinte de ses parents auraient dû faire plaisir à la jeune fille, mais elle n’y prêtait déjà plus attention : elle ne songeait qu’à cette créature étincelante et à la beauté quasi divine qui était apparue sous ses beaux yeux dorés, un soir de pleine lune. Elle était de sexe masculin, et ses longs cheveux noirs lui retombaient sauvagement sur les épaules. Mais ce qui avait le plus ébloui Victoria, était son regard, d’un rouge intense… et sanguinaire.

Sous le choc, elle ne voyait plus les couleurs, sauf le bordeaux, le rouge, le pourpre, le sang… Devant sa robe de mariée, Victoria avait poussé un cri de ravissement, en affirmant que sa couleur rouge cerise était une pure merveille. Interloquée, sa mère lui avait fait remarqué qu’elle était d’un blanc immaculé. Néanmoins, outre ce petit incident, si le souvenir de cette nuit indicible persistait, la jeune fille y pensait de moins en moins, et n’en rêvait que la nuit, quand elle n’était pas occupée à guetter l’obscurité. Mais c’était peine perdue : la créature n’apparaissait plus, et Victoria se plongea dans une langueur mortelle. Une langueur que ne remarqua pas son promis, un riche commerçant italien, ce qui remplit de joie sa mère à défaut d’elle-même, nullement troublée par son mariage prochain.

« Et alors ? »

Semblait-elle demander silencieusement à ses proches, lorsqu’ils la félicitaient de cette union fort avantageuse financièrement, surtout que le jeune homme bénéficiait d’une belle tournure. Il se nommait Flavio Cosimo, et avait quelques années de plus que la jeune fille, qui l’avait ensorcelée dès le premier regard, avec son mignon petit minois figé dans une douce expression distraite, ses yeux d’or survolant l’horizon, accoudée avec nonchalance à la fenêtre ouverte de sa chambre. On lui avait vanté les charmes de la jeune Lucza, mais il savait combien les bruits pouvaient se fourvoyer, surtout quand ceux-ci dataient un peu. En réalité, il fut subjugué, tandis que Victoria lui accordait une attention très relative, jusqu’à ce qu’il lui parlât d’un retour en Italie, ce qui eut le don de la ramener brusquement sur terre.

Comment ?! Repartir encore une fois ? Loin de lui ? De cet être superbe et inaccessible, qui hantait ses nuits et ses jours, son esprit, encore et toujours ? C’était absolument impossible ! Victoria ne pouvait vivre sans cette créature ! La jeune fille avait, sans le savoir, débuté la douloureuse sensation de côtoyer un vampire… Et la souffrance qui accompagna son carrosse en Italie fut difficilement dissimulée sous des sourires crispés et des regards qui se voulaient joyeux. Le mariage fut célébré à Rome, en grande pompe : Cosimo était cependant génois, mais souhaitait une cérémonie des plus fastueuses et des plus remarquées. Son vœu fut exaucé, et il convola sous les regards admiratifs des riches invités, au bras d’une Victoria absente et mélancolique.

On prit sa complaisance pour de la docilité, son silence pour de la soumission. Flavio montrait tant d’égards pour capter ne serait-ce qu’un regard de celle qui portait désormais son nom, que tout le monde s’accordait à dire que c’était là un touchant tableau. Victoria, de son côté, se plongeait constamment dans une doucereuse rêverie, qui devint bientôt aigre et douloureuse. Il n’empêchait qu’elle manifestait parfois de l’affection pour son époux, et elle se découvrit un nouveau pouvoir autre que le charme, l’argent et la naissance, un pouvoir qui s’exerçait uniquement sur les hommes. Au début, cela ne l’attira guère : elle n’était pas une jeune fille capricieuse, et ne requérait pas de nouveaux présents en permanence, bien que Flavio lui en offrît chaque jour. Elle en tint compte, et tel un objet dont elle savait l’utilité plus tard, elle le mit de côté, et n’en usa guère. Son manque d’attention pour Flavio l’attrista, car si Victoria était certaine que si la créature ne lui était pas apparue cette nuit-là, fatale et ineffable, elle n’aurait pas manqué de trouver beaucoup d’attraits au jeune homme, voire même la possibilité de l’aimer. Malheureusement, elle en était à présent incapable...


Ce fût lors d'une de ces manifestations grandioses que Victoria revît ce qui ne la laissait plus dormir durant ces deux pénibles années.

Dès qu'elle vît entrer dans la salle de réception la haute silhouette gracieuse et finement taillée, portant fièrement le menton et arborant un visage des plus enchanteur, la belle jeune femme ne pouvait que se sentir attirer par celui que l'on nommait Don Alessandro, fils d'un puissant Doge de Venise. Ses chevux d'un noir de jais contrastaient merveilleusement bien avec une peau taillée dans le plus profond des crytaux, tandis que les prunelles or scrutaient les invités. Il ne suffît que d'une seule seconde pour réunir les amants de toujours...

L'ascendant que l'homme avait sur Victoria n'était pas celui que tout homme conscient de son pouvoir de séduction peut cultiver. Il émanait de ce qu'on devait plus appeler créature qu'être humain une force peu commune, doublé d'une envie de violence. Êt même l'objet de tous les désirs, cette beauté fatale qui ne faisait qu'éclater devant l'apparition de l'ombre qui n'avait fait qu'hanter ses rêves bleus de jeune fille, ne pouvait se soutsraire à la fascination.
Lors du banquet, Victoria eût du mal à contenir ses émotions, le mystérieux vénitien dîner en face d'elle, l'ocreté de ses yeux perçant jusqu'aux moindres recoins l'âme de son hôtesse. Ils ne pûrent cependant que ce vor en apparté pendant un court instant. Cette seule et unique seconde suffît pour faire de Vctoria une créatures des ténèbres. Elle avait suivit le jeune homme alors que ce dernier, fatigué des réjouissances, s'était réfugié dans les jardin pour prendre l'air. Avant même que la jeune femme ne pût le rattrapé, Alessandra fût à ses côtés, plantant un regard extraordinairement froid et d'un noir de jais dans celui de sa proie.

Avant l'aube, la jeune femme avaité été mordue...

Suite et fin prochainement!


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Message  Kynalis Drew Lun 10 Sep - 15:00

Héhé, j'aime bien ta fiche! à part le blanc qui est un peu troop pâle et l'effet gras qui n'est pas très esthétique (selon moi xD )

À part ça, j'aime vraiment beaucoup! Very Happy `
Le personnage est très intéressant et tu le joues à merveille, vivement des validations des admins et que tu débutes le Rp xP qui sait, on fera peut-être du Rp ensemble un de ces jours :O
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Message  Edmund O'Dwyer Mar 11 Sep - 8:11

Coucou Ashling!

J'ai supprimé les messages entre tes deux posts de fiche, idée que ce soit plus esthétique. Tu aurais peut-être dû attendre d'avoir ta fiche complétée avant de la poster ;)

Fais aussi attention aux codes de couleurs, ta fiche était pleine de codes en trop ou de codes erronés, j'ai essayé d'arranger ça du mieux possible et de mettre ça propre mais je sais pas trop quelles étaient tes idées au départ x3 Enfin bon, c'est pas plus grave que ça.

Sinon bah...j'attends toujours que tu complètes ta fiche avant de pouvoir la valider. :)
Edmund O'Dwyer
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Message  Ashling Swan Mer 12 Sep - 7:33

Histoire: Partie II

Vous aurez tous compris que la fin est plutôt bizarre. A vrai dire, le conte est une parfaite illustration de ce qu'était Mrs.Devil. Très explicite au début, avec des tas de détails mais quand ça commence à être intéressant, paf!, on retombe dans l'incertain, cette manie de ne pas terminer ses phrases et, à mon plus grad désarroi: s'endormir dans le canapé, la tasse de thé intouchée restée lovée dans sa main squelletique. N'empêche que cette histoire m'intrique et me fascine. Ce genre de truc que tu ne racontes pas forcément à une gamine de huit ans pour afin qu'elle trouve le sommeil, mais plutôt matière de lui donner à réfléchir. Le problème est que, depuis, j'ai découvert une passion pour le surnaturel.

Je suis bien placée pour rêver. Comme dis au dessus, j'ai pratiquement aucune chance de trouver une famille d'accueil, alors pourquoi ne pas rêver qu'un jour, moi aussi je me fasse mordre par un vampire et découvrir les délices de l'immortalités. Drôles de fantasmes certes, mais pas si anormaux que cela pour quelqu'un qui n'a franchement rien à perdre.
Ainsi et autant que je me souvienne, j'ai passé ma vie à l'orphelinat. Sûrement que mes parents s'étaient fait débilement tués dans un accident de voitures ou encore, vait décidé de parcourir le monde et de se défaire d'un bambin encombrant, né comme un cheveux sur la soupe.
Mais voulà qu'à mes onze ans, ma vie pris un court tragique. Ne possèdant ni familles ni amis, les adoptés ne donnant plus aucun signe de vie après avoir quitté ce trou perdu où je vivais depuis si longtemps, je n'auraît jamais cru un jour hériter de quoi que ce soit. Pourtant, ce fût le cas lorsque, subitement et sans nous prévenir, Mrs. Devil décèda. Je n'ai jamais vraiment compris pourquoi, la dirlo murmurant quelque chose du genre "trou noir dans les poumons" pour ne pas nous faire peur. A présent et érudite comme je suis, je sais que je trou noir voulait dire cancer; soit dit en passant, il aurait été beaucoup plus simple de dire cela que "trou", et arrêtons les théorie de préserver les âmes innocentes, les "âmes" en questions n'étant as vraiment aussi angéliques qu'il y paraîssait.

Bref. Tout ça pour dire que le jour de mes onze ans, le testament de la vieille conteuse fût ouvert. J'étais dedans sur toute la ligne. "Légataire universelle" (elle possèdait pas un rond sinon, elle serait pas devenue...comment on appel ça déjà...ah! oui, je sais: pédagogue!); mais au lieux de recevoir du bien, je reçût une simple lettre. Assez étrange d'ailleurs, parce qu'elle n'était pas en papier craft ni quoi, mais en parchemin. Personne n'utilise ça à notre époque, et puis surtout, un cachet de cire avec un blason curieux. Des animaux qui entouraient un grand "H". Le notaire m'ayant laissée tranquille, "pour mieux faire mon deuil", je montais dans mon dortoire et m'installais sur le rebord de la fenêtre pour extraire de l'enveloppe quatre feuillets. Le premier disait:
Ma chère Ashling,
Si tu lis cette lettre, cela voudra dire que notre amie Rosemilda Devil a quitté ce monde. Je t'apprends à présent qu'elle était ta tutrice et qu'elle était chargée par tes parents ainsi que moi-même, de te transmettre le savoir nécéssaire pour affronter ce qui, et je le regrette, ne sera pas une éxistence facile. J'espère que tu as pris conscience de la signification de "Le destin d'une femme" (le conte en question) et que tu sais à quoi t'en tenir. En espérant de voir bientôt,
Mathilda Guipure
La suite, vous conaissez aussi bien que moi! La deuxième lettre était une lettre de rentrée pour une école de sorcellerie, dont Albus Dumbledore était le directeur et dont la rentrée en étude débutait le 1er Septempbre, jour auquel je dvrais me rendre à la garre de King'sCross. La liste des fournitures et, un plan détaillé des métros de Londres pour arriver dans un pub appelé "Le Chaudron Baveur".
Au début, j'ai pris ça au sérieux et je suis allé dans ce pub. Mais après que devais-je faire? Je ne pouvais pas rentrée à l'orphelinat, ayant dit que je partais pour un an suite aux volontés de Devil. La dirlo m'ayant tout de même donné un peu d'argent, j'avais essayé de prendre une chambre, mais le barman n'en voulait pas disant qu'il fallait changer la monnaie à Gringotts. Ne sachant pas de quoi il parlait mais lu rappelant qu'en Angleterre, pas besoin de changer la livre contre des livres, il sonsentit, quelque peu étonné, de me donner une chambre en attendant que je règle mes "problèmes financiers".

Je ne les réglais que le 31 Août, lorsqu'une corpulente femme vint me chercher: la fameuse Mathilda Guipure de la lettre. Elle l'appris qu'elle tenait un magasin de robes au Chemin de Traverse et que, pour l'instant, je logerai chez elle. Et ce fût elle qui m'expliqua votre monde. Gringotts était une banque, le Chemin de Traverse là où l'on se procurait ses fournitures et bien sûr, toute la politique des sorciers. Inutile de préciser que le lendemain sur le quai et une fois dans le wagon du Hogwarts Express, j'avais la tête comme un gros charre, ne povant toujours pas réaliser ce qui se passait. Dans le wagon se tenaient deux autres élèves en devenir: une fille et un garçon. Le garçon avait des cheveux noirs et gras et avait déjà revêtu ses robes d'étudiant, tandis que la fille, aux boucles mi-rousses, mi-brunes, venait de pleurer.
Le garçon venait de se moquer de mon prémon, disant que c'était un "anagramme" du mont: "Ling Ash" qui voulait dire en langue celtique: Cendres oubliées". Dans un sens, c'était ce que j'étais, mais l'entendre de la bouche d'un type qui manifestement, baignait dans la sorcellerie depuis toujours, me donnait des soudaines envies de meutre. Ce fût d'ailleurs toutes griffes dehors, quelques goutes de sang perlant sur mes lèvres, que je me jetais sur ce fils à sorcière, créant ainsi mes premières expériences que je n'avais pas eût avec la sorcellerie. Expériences tout à fait macabres si vous voulez mon avis. Depuis, la jeune fille, Lily Evans, est une très bonne amie...bien que je ne comprenne pas pourquoi. Peut-être parce que, lorsque le Choixpeau cria "Ravenclaw", et que l'on remarquait mes soudaines crispations sanguinaires, que je devenais vite cavalière seule et qu'elle aimait l'ordinaire...

Pourtant, je ne comprend toujours pas pourquoi je ne suis pas à Slytherin. J'avais vaguement entendu dire que c'était la maison des mauvais sorciers et que, suite à de nombreux spasmes dangereux qui s'emparaient de moi lorsque l'on s'approchait trop près de moi physiquement ou psycologiquement, je ne ressentais que le désir de tuer. Même Lily, qui plusieurs fois, me questionnait sur mon passé,devait faire gaffe. Elle essaye encore aujourd'hui mais si elle n'arrête pas!

Et puis il y eût cette étrange prédiction en cours de Divination: que je sentais la mort de mes parents, que je n'étais pas à ma place et qu'il faudrait qu'un fils de nuit vienne reprendre le flambeau des guerres légendaires lorsque sanguinaires et lunaires se livraient une bataille sans mercie.
Un type barge aussi, c'est ce Remus Lupin. il est toujours absent, sous prétexte qu'il est malade. Je penche plutôt sur la théorie du mystère, c'est trop gros pour que Lupin soit simplement atteind d'une légère fièvre de temps en temps, c'est à dire tous les mois à la pleine lune...moment qui, d'ailleurs ne me laisse pas indifférente non plus, me trouvant alors dans un mouvement d'esprit agressif et dont le goût du sang ainsi que son désir de m'en abreuver se fait plus grandissant...

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Message  Remus Lupin Jeu 13 Sep - 15:15

Tout d'abord, milles excuses, j'ai été très tardive, je n'ai malheureusement pas souvent accès à un ordinaire.

Bon. J'adore ta fiche, elle vraiment bien construite, j'aime beaucoup, elle est bien développée!

Bref, je ne vois rien à redire, et si Dmund et Noäh sont d'accord, je la valide!
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Message  Edmund O'Dwyer Jeu 13 Sep - 18:42

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